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Documents DISCRIMINATION 127 résultats

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- n° 244 - 160
Cote : DIA 244
La matrice originelle des processus menant aux radicalités est la question posée par ce dossier. Nous nous interrogerons sur ce qui a présidé aux actes marquant une rupture avec les systèmes de normes familiales, sociales et culturelles. Cela concerne tant les radicalités religieuses et politiques que les phénomènes de violences intrafamiliales menant à des transgressions radicales, tels que l'inceste ou encore les violences sociales comme les discriminations ou le racisme. [-]
La matrice originelle des processus menant aux radicalités est la question posée par ce dossier. Nous nous interrogerons sur ce qui a présidé aux actes marquant une rupture avec les systèmes de normes familiales, sociales et culturelles. Cela concerne tant les radicalités religieuses et politiques que les phénomènes de violences intrafamiliales menant à des transgressions radicales, tels que l'inceste ou encore les violences sociales comme les ...[+]

FAMILLE ; PARENTALITE ; NORME ; VIOLENCE ; VIOLENCE FAMILIALE ; INCESTE ; DISCRIMINATION

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- 100
Cote : REMAIDES 127
Exclu ! « La santé n'est pas gratuite », expliquait, mi-février, Catherine Vautrin, la ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités, invitée du Grand Jury (RTL, Le Figaro, Paris Première et M6), pour justifier la décision du gouvernement d'augmenter le reste à charge des consultations et le doublement des franchises médicales. Le scoop devait sans doute viser les plus étourdis-es d'entre nous : ceux et celles qui oublient que ce sont leurs contributions et cotisations sociales qui financent majoritairement notre système de santé. Catherine Vautrin en appelait même à la « citoyenneté sanitaire ». Une nouvelle formule, aux contours fumeux, dans ce style que le gouvernement affectionne tant. Ladite formule ayant sans doute pour vocation d'atténuer temporairement dans le discours public un argument particulièrement pénible, seriné depuis l'été dernier par une bonne partie de l'exécutif : l'augmentation des franchises permettrait de « responsabiliser » les Français-es. Le terme n'est pas employé par la numéro quatre du gouvernement, mais dans son intervention au Grand Jury, Catherine Vautrin a bien martelé : « Je pense que c'est important que chacun mesure qu'il y a bien un coût, et que ce coût est payé par la société toute entière ». D'accord sur cette évidence, mais, dans ce cas, pourquoi le gouvernement opte-t-il pour une mesure d'ajustement budgétaire destinée à « préserver le modèle social français » qui ne s'appuie que sur la contribution des malades. En effet, ce sont bien eux et elles qui sont exclusivement visés-es par ces mesures supplémentaires de taxation. Quelles sont-elles ?

Les franchises médicales passent au 31 mars de 50 centimes à un euro par boîte de médicaments et certains actes (kiné, radio, examen biologique) aussi, cela dans la limite d'un plafond journalier passant de deux à quatre euros. Elles passent de deux à quatre euros pour les transports sanitaires avec un plafond journalier de quatre à huit euros. L'ensemble des franchises resteront limitées à 50 euros par an, comme auparavant. Les personnes en ALD n'en sont pas exonérées. Mais le sont les mineurs-es, les femmes enceintes à partir du sixième mois de grossesse, les bénéficiaires de la complémentaire santé solidaire (CSS) et de l'AME (jusqu'à quand ?). De plus, un second décret devrait être pris (probablement en juin) concernant les participations forfaitaires sur les consultations dont le montant est actuellement d'un euro par consultation. Il pourrait passer — les discussions sont en cours — à deux, voire trois euros ; là-encore à concurrence de 50 euros par an et par personne. Cela signifie, a minima, que toute personne (non exonérée) devra s'acquitter (au plus haut) de 50 euros de franchises médicales auxquels s'ajoutent 50 euros de participations forfaitaires.

Cela fait beaucoup. Cela fait trop… pour ce qui n'est rien moins qu'une taxation sur la santé et donc un impôt de plus sur la maladie. On ne peut pas dire les choses autrement puisque cette taxation porte uniquement sur les actes médicaux et l'utilisation de médicaments. Cette mesure est inégalitaire et choquante, d'autant plus dans le contexte actuel : déremboursement de médicaments, inflation, augmentation des restes à charge, des dépassements d'honoraires, des tarifs des complémentaires Santé, etc. Elle tient même de la double peine : on finance par nos cotisations quand on va bien ; on paie en plus lorsqu'on est malade. On a connu plus juste comme mesure. Le gouvernement en escompte quelque 800 millions d'euros d'économie ; des économies faites sur le dos des plus faibles. Dans son argumentaire, le gouvernement va jusqu'à prétendre que le maintien du plafond annuel fixé à 50 euros (pour les franchises) serait protecteur pour les « personnes affectées par une pathologie lourde », celles en ALD. Il reprend parfois son refrain sur la « responsabilisation » des Français-es. Emmanuel Macron, lui-même, avait avancé cet argument lors de sa conférence de presse fleuve en janvier dernier : « Quand je vois ce que nos compatriotes peuvent dépenser pour leurs forfaits de téléphonie, passer de 50 centimes à un euro la boîte de médicament, ce n'est pas un crime terrible. Il faut responsabiliser ».

Ce discours ne passe pas. Quoi qu'en dise l'exécutif, ce sont bien les professionnels-les de santé qui prescrivent (examens et traitements), lorsque les Français-es trouvent un-e médecin et y ont accès. Ce discours sur la présumée responsabilité des usagers-ères du système de soins est un mélange de punition et de paternalisme. Il a d'ailleurs aujourd'hui les mêmes accents que lorsque Roselyne Bachelot, alors ministre de la Santé, s'efforçait d'imposer cette mesure controversée et impopulaire en 2007. Elle expliquait alors : « Quelle est la personne qui ne peut pas payer quatre euros par mois sur des objectifs aussi importants ? » Le vice originel de cette réforme tient dans le fait qu'elle laisse entendre que c'est l'usager-ère qui est responsable d'une dérive financière de l'Assurance maladie. Pourtant, on ne choisit pas d'être malade. Ce sont bien les médecins qui prescrivent. Pourtant, l'usager-ère finance déjà largement le système de soins comme on l'a vu. Et malgré cela, c'est encore à lui, à elle, de faire cet effort supplémentaire. La société civile a eu beau protester depuis des mois, demander l'abandon du projet ; rien n'y a fait. Il faut dire que les malades n'ont pas de tracteurs pour se faire entendre. Dans le fond, ce choix politique illustre bien le rapport de force à l'œuvre. Il est plus facile de taxer les malades (tout en prônant une baisse des impôts et des prélèvements pour tous-tes) que de remettre en cause les pratiques médicales. Il est d'ailleurs intéressant de voir que le gouvernement manifeste de l'intérêt pour la taxe « lapins » qui vise à sanctionner financièrement les patients-es qui n'honoreraient pas un rendez-vous médical, alors qu'il est d'une mollesse coupable pour lutter contre les refus de soins dont sont victimes les patients-es. Il est vrai qu'il est toujours plus aisé et confortable d'être du côté du manche, y compris dans le champ de la santé.[-]
Exclu ! « La santé n'est pas gratuite », expliquait, mi-février, Catherine Vautrin, la ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités, invitée du Grand Jury (RTL, Le Figaro, Paris Première et M6), pour justifier la décision du gouvernement d'augmenter le reste à charge des consultations et le doublement des franchises médicales. Le scoop devait sans doute viser les plus étourdis-es d'entre nous : ceux et celles qui oublient que ce sont ...[+]

V.I.H. ; IST SIDA ; TEMOIGNAGE ; SANTE DE L'ADOLESCENT ; DROIT ; DISCRIMINATION

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- 40
70% des femmes estiment ne pas avoir reçu le même traitement que leurs frères dans la vie de famille, près de la moitié des 25-34 ans pense que c'est également le cas à l'école et 92% des vidéos pour enfants contiennent des stéréotypes genrés : ces trois chiffres issus du 6ème rapport annuel sur l'état du sexisme en France sont révélateurs des causes du sexisme persistant et des inégalités ancrées dans la société. Famille, école et numérique sont les trois incubateurs qui inoculent le sexisme aux enfants dès le plus jeune âge. Il faut donc le combattre là où il nait. C'est une des principales conclusions du rapport.[-]
70% des femmes estiment ne pas avoir reçu le même traitement que leurs frères dans la vie de famille, près de la moitié des 25-34 ans pense que c'est également le cas à l'école et 92% des vidéos pour enfants contiennent des stéréotypes genrés : ces trois chiffres issus du 6ème rapport annuel sur l'état du sexisme en France sont révélateurs des causes du sexisme persistant et des inégalités ancrées dans la société. Famille, école et numérique ...[+]

SEXISME ; FRANCE ; STEREOTYPE ; DISCRIMINATION ; EGALITE HOMME-FEMME

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- 60
Ce qui nous lie affectivement est aussi politique : nos relations ont une puissance à la fois individuelle et collective. Seulement, nous n'avons pas forcément les outils pour les penser et les vivre de manière émancipatrice et engagée. En tant qu'anarcha-féministe cisgouine, prolo et métisse, j'ai appris que les communautés politiques et affectives sont centrales dans la lutte. L'amitié, la camaraderie, les différentes formes d'amour, tout cela n'a rien de futile. Loin d'être la base arrière de la révolution, c'est une part déterminante de la transformation sociale, personnelle et spirituelle que nous désirons. En plusieurs chapitres, ce zine s'intéresse à l'influence du capitalisme, de l'hétéropatriarcat et du colonialisme sur la construction de nos relations affectives. Il essaye d'imaginer comment s'en émanciper individuellement et collectivement sur une base anarchiste, en transformant le tissage interrelationnel à la base de toute forme d'existence et d'organisation.[-]
Ce qui nous lie affectivement est aussi politique : nos relations ont une puissance à la fois individuelle et collective. Seulement, nous n'avons pas forcément les outils pour les penser et les vivre de manière émancipatrice et engagée. En tant qu'anarcha-féministe cisgouine, prolo et métisse, j'ai appris que les communautés politiques et affectives sont centrales dans la lutte. L'amitié, la camaraderie, les différentes formes d'amour, tout cela ...[+]

HETERONORMATIVITE ; RELATION SEXUELLE ; RELATION AMOUREUSE ; AMITIE ; POLYAMOUR ; DISCRIMINATION

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- 24
Connaissez-vous vos droits en matière de suivi gynécologique ? Ne pas être discriminée, comprendre les actes pratiqués… Pour mieux connaître vos droits, découvrez notre nouveau guide juridique.

SANTE DE LA FEMME ; SANTE ; GYNECOLOGIE ; DISCRIMINATION ; CORPS

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- 304
Cote : G5 TIR
Il y a une décennie, les députés votaient en faveur du mariage pour tous. Les fortes tensions d'alors sont depuis en partie retombées, et la visibilité des personnes LGBT dans le paysage politique français s'est accrue. Les successeurs de Bertrand Delanoë – Gabriel Attal, Clément Beaune, Marie Cau, Alice Coffin, Jean-Philippe Tanguy et tant d'autres – sont ministres, députés, sénateurs, maires, diplomates, militants politiques. Une évolution notable, qui n'empêche pourtant pas les discriminations et le harcèlement de perdurer.
L'orientation sexuelle des politiques LGBT a-t-elle influé sur leur parcours ? A-t-elle été une force ou un frein dans leur ascension ? Doivent-ils être discrets ou militants ? Leur pratique politique et leurs combats sont-ils différents de ceux de leurs collègues ?
Des couloirs de l'Assemblée nationale au Vatican, de Saint-Dié-des-Vosges à la Silicon Valley, Sonia Tir a rencontré plus d'une centaine d'acteurs politiques, associatifs et intellectuels. En résulte un passionnant tour d'horizon du monde politique et des portraits sans fard esquissés grâce à des interviews exclusives. S'appuyant sur un sondage inédit réalisé par l'IFOP, ce livre est aussi tourné vers l'avenir, avec cette question en tête : la France pourrait-elle porter à sa présidence une personne LGBT en 2027 ?[-]
Il y a une décennie, les députés votaient en faveur du mariage pour tous. Les fortes tensions d'alors sont depuis en partie retombées, et la visibilité des personnes LGBT dans le paysage politique français s'est accrue. Les successeurs de Bertrand Delanoë – Gabriel Attal, Clément Beaune, Marie Cau, Alice Coffin, Jean-Philippe Tanguy et tant d'autres – sont ministres, députés, sénateurs, maires, diplomates, militants politiques. Une évolution ...[+]

DISCRIMINATION ; LGBT ; POLITIQUE ; LUTTE FEMINISTE ; HOMOPHOBIE ; HOMOSEXUALITE

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- 4
"4 pages" ou synthèse d'un atelier lors des journées de regroupement du programme Genre et santé sexuelle à Sète en 2023.

Grossophobie ; CORPS ; DISCRIMINATION ; SEXISME ; PLANNING FAMILIAL

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- 160
Cote : NQF 43/1
L'égalité est déclarée comme une préoccupation centrale de la pratique sportive, de son éthique du fair play et de la (ré)affirmation de l'égalité citoyenne. Pourtant, le sport reste aujourd'hui encore un haut lieu de la reproduction de l'ordre de genre. Quelles sont les conséquences de la compétition sportive sur les relations humaines, ou sur les corps? Les pratiques physiques et sportives sont-elles incompatibles avec les principes féministes de partage, de soutien, de défense des droits des personnes vulnérables? C'est avec la volonté d'apporter des pistes de réflexion sur ces questions que ce Grand angle de la revue Nouvelles Questions Féministes prend à bras le corps les liens entre genre, féminismes et pratiques sportives.

Ce numéro explorera en particulier les thèmes suivants:
– Puissance des corps et capacité d'agir: le roller derby, entre pratique sportive et engagement féministe (Aurélie Aromatario)
– Football féminin au Sénégal: entre autonomisation des filles et controverses (Marame Cissé)
– Penser les corps sportifs en féministes (Solène Froidevaux et Claire Nicolas)
– Terrain de football, terrain de luttes: un nouvel espace de pratiques féministes, queer et sportives
– Un horizon trans-féministe en EPS? Expériences d'une élève trans dans les activités physiques, sportives et artistiques

Editorial

Sigolène Couchot-Schiex, Eva Nada, Clothilde Palazzo-Crettol and Béatrice Bertho

The Sport question: a challenge for feminism

Zoom in

Solène Froidevaux et Claire Nicolas

Sporting bodies in feminist thought and activism

Bastien Pouy-Bidard

Towards trans-feminist PE? Experiences of a trans student training in physical education

Aurélie Aromatario

Power and agency through the body. Roller derby: practicing a sport, doing feminism

Marame Cissé

Women's football in Senegal: the controversial empowerment of girls

Alison Hernandez-Joset, Virginie Nicaise et Natacha Chetcuti-Osorovitz

Football field, field of resistance: a new space for feminist, queer and sports practices

Zoom out

Sarah Demart and Charlotte Pezeril

Ignorant women, ignored women? Understanding the non-use of new HIV prevention technologies

News

Nessrine Naccach

« A Tour of the possibilities for becoming-woman ». Interview with Ines Orchani about Gazelle Théorie

Reviews

Sigolène Couchot-Schiex : Béatrice Barbusse, Du sexisme dans le sport

Geneviève Cresson : Ludovic Gaussot and Nicolas Palierne, La confiance dans les relations familiales

Ryota Ishida : Ako Inuzuka, Non-western colonization, orientalism, and the comfort women

Danièle Kergoat : Alexandra Oeser, Comment le genre construit la classe

Geneviève Cresson : Travail, genre et société, « (Re)configurations du travail domestique »

Éloïse Pieragostini : Susanne Lettow and Sabine Nessel, Ecologies of gender

Collectives

Femigeeks

Promoting feminist geek culture [-]
L'égalité est déclarée comme une préoccupation centrale de la pratique sportive, de son éthique du fair play et de la (ré)affirmation de l'égalité citoyenne. Pourtant, le sport reste aujourd'hui encore un haut lieu de la reproduction de l'ordre de genre. Quelles sont les conséquences de la compétition sportive sur les relations humaines, ou sur les corps? Les pratiques physiques et sportives sont-elles incompatibles avec les principes féministes ...[+]

LUTTE FEMINISTE ; FEMINISME ; SPORT ; DISCRIMINATION ; VIOLENCE ; TRAVAIL ; NUMERIQUE ; GENRE ; CLASSE SOCIALE ; PATRIARCAT

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- 66
Cote : EPE HS6
La lutte contre la sédentarité est devenue un enjeu de santé publique : il faut que les enfants bougent ! Le sport n'est qu'une partie de la réponse à cette injonction, qui vise surtout à promouvoir l'exercice physique. Mais ses vertus ne se limitent pas non plus à ses bénéfices sur la santé. Il joue aussi un rôle en matière d'éducation, de construction de soi, de rapport aux autres, en classe ou hors cadre scolaire. Il peut constituer par ailleurs un formidable outil d'insertion et d'inclusion. Malgré tous ces avantages, les parents se posent bien des questions : vers quelle activité sportive orienter son enfant ? L'encourager à la compétition présente-t-il des risques ? Faut-il s'inquiéter de la tendance à idéaliser le corps que révèlent l'essor de certaines pratiques ? À l'approche des Jeux olympiques de Paris, ce hors-série participe – à sa manière – à l'événement.[-]
La lutte contre la sédentarité est devenue un enjeu de santé publique : il faut que les enfants bougent ! Le sport n'est qu'une partie de la réponse à cette injonction, qui vise surtout à promouvoir l'exercice physique. Mais ses vertus ne se limitent pas non plus à ses bénéfices sur la santé. Il joue aussi un rôle en matière d'éducation, de construction de soi, de rapport aux autres, en classe ou hors cadre scolaire. Il peut constituer par ...[+]

SPORT ; JEUNESSE ; CORPS ; ADOLESCENCE ; DISCRIMINATION ; SANTE DE L'ADOLESCENT ; VIOLENCE

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- 178
En 2023, SOS homophobie a recueilli 2 085 témoignages d'actes lesbophobes, gayphobes, biphobes, transphobes et/ou intersexophobes via ses dispositifs d'écoute. Ce nombre est supérieur aux années précédentes ; nous comptions 1 506 témoignages pour l'année 2022, et 1 515 témoignages pour l'année 2021. En 2023 encore, notre rapport illustre la persistance et l'ancrage de l'exclusion, des discriminations et de la haine à l'encontre des personnes LGBTI, malgré l'évolution des lois et des mentalités.[-]
En 2023, SOS homophobie a recueilli 2 085 témoignages d'actes lesbophobes, gayphobes, biphobes, transphobes et/ou intersexophobes via ses dispositifs d'écoute. Ce nombre est supérieur aux années précédentes ; nous comptions 1 506 témoignages pour l'année 2022, et 1 515 témoignages pour l'année 2021. En 2023 encore, notre rapport illustre la persistance et l'ancrage de l'exclusion, des discriminations et de la haine à l'encontre des personnes ...[+]

LGBT ; DISCRIMINATION

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En Europe, un nombre croissant de personnes LGBTIQ choisissent désormais de vivre ouvertement leur identité . En même temps, elles sont davantage confrontées à la violence, au harcèlement et à l'intimidation qu'auparavant. Cette tendance est particulièrement préoccupante pour les jeunes personnes LGBTIQ, qui se retrouvent dans une situation de vulnérabilité accrue. Telles sont quelques-unes des conclusions de la dernière enquête de l'Agence des droits fondamentaux de l'Union européenne (FRA), basée sur les réponses de plus de 100 000 personnes LGBTIQ dans toute l'Europe.[-]
En Europe, un nombre croissant de personnes LGBTIQ choisissent désormais de vivre ouvertement leur identité . En même temps, elles sont davantage confrontées à la violence, au harcèlement et à l'intimidation qu'auparavant. Cette tendance est particulièrement préoccupante pour les jeunes personnes LGBTIQ, qui se retrouvent dans une situation de vulnérabilité accrue. Telles sont quelques-unes des conclusions de la dernière enquête de l'Agence des ...[+]

LGBT ; DISCRIMINATION ; ADOLESCENCE ; EUROPE

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Les membres du projet SeSAM LGBTI+ ont le plaisir de vous annoncer la publication des contenus de la Conférence Prendre soin des LGBTI+ : évolution et défis d'un champ d'action et de recherche !

Les 18 & 19 janvier 2024, cette conférence internationale a réuni cinquante intervenant-es et 260 participant-es autour de quatre plénières, douze ateliers et quinze posters à la MSH Paris Nord.

Nous avions à cœur de valoriser ces interventions en publiant les vidéos, résumés, présentations et posters sur le site internet du projet Sesam LGBTI+. Ceci, dans l'objectif de contribuer à une meilleure connaissance et reconnaissance des enjeux de santé des communautés LGBTI+. Nous souhaitions également archiver et garder en mémoire les expériences partagées, avec l'accord des intervenant-es. C'est désormais chose faite ![-]
Les membres du projet SeSAM LGBTI+ ont le plaisir de vous annoncer la publication des contenus de la Conférence Prendre soin des LGBTI+ : évolution et défis d'un champ d'action et de recherche !

Les 18 & 19 janvier 2024, cette conférence internationale a réuni cinquante intervenant-es et 260 participant-es autour de quatre plénières, douze ateliers et quinze posters à la MSH Paris Nord.

Nous avions à cœur de valoriser ces interventions en ...[+]

SANTE ; SANTE SEXUELLE ; LGBT ; DISCRIMINATION ; SCIENCES HUMAINES ; RECHERCHE

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2y

Jeu des définitions LGBTQI+ | CRIPS Ile de France 2024 H

Matériel Pédagogique

Jeu de cartes permettant d'aborder les discriminations LGBTQI+. Chaque personne est invitée à donner une définition des mots inscrits sur les cartes.

DISCRIMINATION ; ORIENTATION SEXUELLE ; OUTIL PEDAGOGIQUE ; JEUX

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- n° 44 - 14
Si les liens entre inégalités sociales et santé sont aujourd'hui bien identifiés, ceux entre discriminations et santé restent encore largement ignorés et peu débattus. Pourtant, les discriminations vécues au quotidien impactent bel et bien la santé physique et mentale des personnes concernées ; plusieurs études récentes montrent même que les discriminations subies par les personnes racisées ont un effet délétère sur leur espérance de vie. Que faire ? Comment agir ? expériences pratiques au Village 2 Santé, centre de santé communautaire d'Échirolles.[-]
Si les liens entre inégalités sociales et santé sont aujourd'hui bien identifiés, ceux entre discriminations et santé restent encore largement ignorés et peu débattus. Pourtant, les discriminations vécues au quotidien impactent bel et bien la santé physique et mentale des personnes concernées ; plusieurs études récentes montrent même que les discriminations subies par les personnes racisées ont un effet délétère sur leur espérance de vie. Que ...[+]

SANTE ; DISCRIMINATION ; POLITIQUE SOCIALE

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6y
Le jeu « Un Pas Devant l'autre » est une version – créée avec et pour les jeunes – d'une méthode de l'Éducation Populaire déjà éprouvée : « la marche des privilèges » ou « jeu du pas en avant », comme pour celui de CCFD Terres Solidaires sur la question des droits fondamentaux.

DISCRIMINATION ; INEGALITE HOMME-FEMME ; GENRE ; OUTIL PEDAGOGIQUE

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- n° 126 - 100
Cote : REMAIDES 126
Annoncé comme explosif, le projet de loi Immigration et Intégration, examiné en séance publique à l'Assemblée nationale, aura tenu toutes ses promesses. Bang ! Il a explosé en plein vol, le 11 décembre dernier, à la suite de l'adoption à cinq voix près d'une motion de rejet du projet. Exit donc la version construite laborieusement en commission des Lois par les députés-es et annulation à la clef des deux semaines de débats prévues où quelque 2 600 amendements devaient être débattus. Une version qui revenait — toutes proportions gardées — sur celle, très coercitive, marquée par la peur et la caricature, imaginée et adoptée par la majorité sénatoriale de droite et du centre. Différentes hypothèses se présentaient pour le gouvernement. Celle qui a été retenue est de convoquer la commission mixte paritaire (CMP). Cette instance, composée de sept députés-es et sept sénateurs-rices, aura la charge de se mettre d'accord (en petit comité, donc) sur une version de consensus du texte. Une version qui pourrait être proche de celle sortie des débats au Sénat, car la CMP penche à droite et au centre. Le calcul est que cette nouvelle mouture pourrait être plus facilement adoptée par la droite parlementaire, le centre et l'actuelle majorité. Voilà pour la cuisine politique. Reste le fond.

Initialement, le texte du gouvernement ne prévoyait pas de traiter de la santé. Mais la créature a échappé au Dr Frankenstein. À l'initiative de la majorité sénatoriale, des articles de loi ont été introduits : l'un supprimant l'aide médicale d'État (AME), remplacée par une aide médicale d'urgence (AMU), préjudiciable aux besoins des personnes et aux enjeux ; l'autre détériorant notablement le droit au séjour pour raisons médicales, qui n'avait nullement besoin de cela. Du côté du gouvernement, le texte est présenté comme un « tour de vis sécuritaire ». Il tombe dans un contexte (attentat terroriste, sondages qui indiqueraient une « demande d'autorité » des Français-es, peur de l'autre, etc.) qui n'échappe à aucune caricature ou amalgame. Du côté de certaines oppositions, on a choisi ce texte pour avancer ses pions et tenter de faire progresser ses marottes, dont la fin de l'AME. Il ne s'agit rien moins que de faire de la santé un mode de contrôle, un moyen de chantage, un mécanisme (de plus) de sélection des étrangers-ères. Chacun-e doit prendre la mesure de ce qui est aujourd'hui en jeu, du sens profond de cette vision.

Ceci est sans doute le résultat d'un long travail de sape entretenu depuis des décennies par certaines formations politiques à droite et l'extrême droite. Exit la fraternité ; balayée l'égalité ; finie la solidarité. De fait, l'immigration n'est plus présentée désormais que comme un « problème », et son arrêt comme une « solution » à tout. Ce texte du gouvernement — comme les vingt-neuf autres qui l'ont précédé en 40 ans sur le même sujet — véhicule un regard suspicieux sur la personne d'origine étrangère. Une personne forcément attirée par des droits et des aides en France qu'elle ne trouverait nulle part ailleurs et qui créeraient ce prétendu « appel d'air » (y compris dans la santé), que toutes les données démentent pourtant. Un « appel d'air » si souvent seriné qu'on en arrive… à manquer d'air quand on entend certaines saillies politiques au Sénat ou à l'Assemblée.

Cette théorie fumeuse a été au centre des attaques contre l'AME, pour limiter le droit au séjour pour raisons médicales. La sortie de route (provisoire ?) du texte gouvernemental n'écarte pas le danger. Les atteintes contre les droits à la santé des personnes étrangères demeurent dans le texte qui devrait servir de base de travail à la CMP. Quant à l'AME, le gouvernement envisage de lui faire un sort dans une loi dédiée, qui pourrait reprendre certaines conclusions du rapport Evin-Stefanini, établissant de nouvelles contraintes (critères d'éligibilité renforcés, etc.). L'AME risquerait ainsi de se trouver amoindrie par calcul gouvernemental alors que le gouvernement prétend défendre bec et ongle ce dispositif, et qu'il n'avait pas prévu de le réformer. Ces derniers mois, la contestation de ces attaques contre la santé des étrangers-ères a été particulièrement forte, rassurante en ce qu'elle va à rebours du climat actuel fait de défiance et d'égoïsme. Reste une énigme. Pourquoi maintenir des dispositions critiquées par les professionnels-les de santé, des organismes officiels (Conseil national du sida et des hépatites virales, Défenseure des droits, Conseil consultatif national d'éthique, etc.) et l'ensemble des ONG de santé ? Pourquoi chercher à les imposer à coups d'arguments mensongers démentis par la quasi-totalité des travaux de recherche ? Pourquoi, comme le fait le gouvernement, épouser la vision punitive, xénophobe et dangereuse de certaines de ses oppositions : le droit au séjour pour soins en est le triste exemple ?

Les personnes étrangères sont ici dans toutes les têtes et pourtant invisibles, voire oubliées. Elles ne sont pas consultées sur un texte où nombre d'entre elles jouent leur (sur)vie, comme le rappelle de façon édifiante un récent article de Mediapart. Au pire, on parle sur elles ; au mieux, on parle pour elles. Elles sont le plus souvent cantonnées à des chiffres et chez certains-es ne sont que la variable d'ajustement d'un délire obsessionnel motivé par une forme de haine de l'autre… un poison lent.
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Annoncé comme explosif, le projet de loi Immigration et Intégration, examiné en séance publique à l'Assemblée nationale, aura tenu toutes ses promesses. Bang ! Il a explosé en plein vol, le 11 décembre dernier, à la suite de l'adoption à cinq voix près d'une motion de rejet du projet. Exit donc la version construite laborieusement en commission des Lois par les députés-es et annulation à la clef des deux semaines de débats prévues où quelque 2 ...[+]

IST SIDA ; V.I.H. ; TEMOIGNAGE ; DISCRIMINATION ; SANTE ; DROIT ; DISCRIMINATION

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- 64
Connaissez-vous les liens entre les femmes, les violences et le VIH ? En cette journée internationale de lutte contre le VIH, Ikambere publie un rapport inédit "Femmes, violences et VIH : une réalité étouffée" et une tribune.

V.I.H. ; VIOLENCE ; FEMME ; SANTE ; DISCRIMINATION

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- n° 4 - 96
Cote : LOAP 4
Interviews, portraits, analyses, enquêtes, bande dessinée, nouvelle ou encore reportage photos : les formats sont variés.
Vous y trouverez des sujets sur les discriminations à l'embauche, le congé menstruel, la psychophobie au travail, l'exploitation dans les ESAT, les grèves de femmes, les agricultrices, le travail du sexe, une interview de Marie Dasylva… En dehors du dossier, d'autres thématiques seront abordées : une interview du collectif écoféministe Voix Déterres, des conseils de lecture sur la grossophobie ou encore une interview croisée entre les afroféministes Christelle Murhula et Kiyémis.[-]
Interviews, portraits, analyses, enquêtes, bande dessinée, nouvelle ou encore reportage photos : les formats sont variés.
Vous y trouverez des sujets sur les discriminations à l'embauche, le congé menstruel, la psychophobie au travail, l'exploitation dans les ESAT, les grèves de femmes, les agricultrices, le travail du sexe, une interview de Marie Dasylva… En dehors du dossier, d'autres thématiques seront abordées : une interview du collectif ...[+]

FEMINISME ; LUTTE FEMINISTE ; TRAVAIL ; DISCRIMINATION

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Maladies, troubles psychologiques, assuétudes, violences, exclusion sociale, pauvreté… Certains parcours sont semés de souffrance sociale, psychologique ou physique. En s'appuyant sur leur expérience de vie, les « pairs-aidants », « experts du vécu » ou encore « patients experts » accompagnent d'autres personnes dans leur rétablissement et les aident dans l'accès à leurs droits.

Les pratiques basées sur le vécu et le soutien par les pairs rencontrent un intérêt grandissant dans le secteur social-santé. Elles invitent à repenser le soin et l'aide aux personnes, quitte à parfois bousculer les équipes psycho-médico-sociales. Elles agissent, à leur échelle, pour plus de démocratie en santé et de justice sociale.

La publication « Ces vécus qui en aident d'autres » vous immerge dans le monde du soutien par les pairs et les paires, au travers de témoignages de celles et ceux qui ont fait de leurs difficultés du passé une force.[-]
Maladies, troubles psychologiques, assuétudes, violences, exclusion sociale, pauvreté… Certains parcours sont semés de souffrance sociale, psychologique ou physique. En s'appuyant sur leur expérience de vie, les « pairs-aidants », « experts du vécu » ou encore « patients experts » accompagnent d'autres personnes dans leur rétablissement et les aident dans l'accès à leurs droits.

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PROFESSIONNALISATION ; professionnels de santé ; DISCRIMINATION ; VIOLENCE ; TEMOIGNAGE

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" Ce jeudi 30 mars, nous nous rendons au piquet de grève du Planning Familial 38, à Grenoble. Une soixantaine de personnes sont présentes. Le ciel est gris. On sert le café et le thé. Sur des tables basses, on a disposé des brochures, des stickers et des tracts. Une prénommée Christèle s'empare du mégaphone ; son discours va durer quelques minutes. Et les grévistes de conclure, en chœur : « De l'argent il y en a dans les caisses du patronat, de l'argent il en faut pour les plannings familiaux ! » L'AG féministe prend la parole, puis c'est au tour des postiers et des postières venus en soutien de s'exprimer. On évoque les violences policières ; mieux : on appelle à rejoindre le rassemblement qui se tiendra, le soir même, contre lesdites violences devant la préfecture. Trois policiers motorisés passent — ils ne détournent pas la tête. Nous avons interrogé cinq de ces salarié·es en grève contre la réforme des retraites. "[-]
" Ce jeudi 30 mars, nous nous rendons au piquet de grève du Planning Familial 38, à Grenoble. Une soixantaine de personnes sont présentes. Le ciel est gris. On sert le café et le thé. Sur des tables basses, on a disposé des brochures, des stickers et des tracts. Une prénommée Christèle s'empare du mégaphone ; son discours va durer quelques minutes. Et les grévistes de conclure, en chœur : « De l'argent il y en a dans les caisses du patronat, de ...[+]

PLANNING FAMILIAL ; RETRAITE ; LUTTE FEMINISTE ; TRAVAIL ; DISCRIMINATION ; GRENOBLE

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