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- 144
Cote : LDEFE 16
La question de l'habillement se situe à l'intersection des oppressions sexistes, racistes, validistes, classistes, mais aussi économiques et écologiques. Notre dossier examine différentes formes d'oppression qui se nichent dans ce geste quotidien qu'est le fait de s'habiller..

À lire aussi dans ce numéro : une grande rencontre entre l'eurodéputée Rima Hassan et le rappeur Médine, une enquête sur les violences sexuelles à l'encontre des femmes racisées dans les milieux culturels et un débat sur le projet de loi sur l'aide à mourir.[-]
La question de l'habillement se situe à l'intersection des oppressions sexistes, racistes, validistes, classistes, mais aussi économiques et écologiques. Notre dossier examine différentes formes d'oppression qui se nichent dans ce geste quotidien qu'est le fait de s'habiller..

À lire aussi dans ce numéro : une grande rencontre entre l'eurodéputée Rima Hassan et le rappeur Médine, une enquête sur les violences sexuelles à l'encontre des femmes ...[+]

LUTTE FEMINISTE ; FEMINISME ; CORPS ; IMAGE DE LA FEMME ; VETEMENT ; DISCRIMINATION

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- 296
Cote : G8 COL ABO
Qu'apporte l'abolitionnisme carcéral au féminisme et pourquoi choisir l'abolition plutôt qu'une simple réforme du système pénal ? Comment répondre aux violences sexistes et sexuelles sans recourir à l'incarcération ?
Dans Abolition, Féminisme, Tout de suite, les autrices offrent une réflexion essentielle sur le féminisme abolitionniste. À travers une généalogie critique et des exemples issus des luttes anticarcérales, elles montrent l'importance du travail collaboratif, notamment celui des personnes incarcérées et des femmes racisées, pour déconstruire les liens entre racisme, capitalisme et criminalisation, et explicitent le rôle de l'État dans la perpétuation de la violence.[-]
Qu'apporte l'abolitionnisme carcéral au féminisme et pourquoi choisir l'abolition plutôt qu'une simple réforme du système pénal ? Comment répondre aux violences sexistes et sexuelles sans recourir à l'incarcération ?
Dans Abolition, Féminisme, Tout de suite, les autrices offrent une réflexion essentielle sur le féminisme abolitionniste. À travers une généalogie critique et des exemples issus des luttes anticarcérales, elles montrent l'importance ...[+]

DROITS DES FEMMES ; PRISON ; FEMME ET PRISON ; queer ; ABOLITIONNISME ; Coup de coeur

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- 98
Cote : REMAIDES 129
La dissolution à l'issue des élections européennes, le 9 juin, voulue par le chef de l'État, et le timing express de la dernière campagne des législatives (trois semaines !) ont eu pour conséquence de radicaliser, davantage encore, les propositions programmatiques des partis et de renforcer les tensions politiques, à l'œuvre depuis des mois. Dès le résultat du premier tour des législatives (30 juin), il est apparu que le programme discriminatoire, y compris dans le champ de la santé, de l'extrême droite avait le vent en poupe. Ce fut pour beaucoup une surprise, un choc ! Au second tour, un front républicain a joué son rôle, empêchant l'extrême droite d'arriver au pouvoir. Significativement, une bonne part de la société civile — particulièrement celle qui défend les droits des minorités, qui œuvre à l'égalité pour tous et toutes et à un accès universel à la santé — a contribué à la mobilisation de ce front républicain, dont l'objectif prioritaire était de faire barrage à l'extrême droite et à son projet politique. Pour la première fois, des associations, en nombre, ont pris ouvertement position dans le cadre de ces élections pour faire barrage à un projet qui, bien qu'il prétende le contraire, se situe « hors de la démocratie et de la République », comme le rappelait alors Camille Spire, présidente de AIDES.

Pourquoi un tel engagement ? Sans doute parce que le péril est désormais imminent. Si l'association est bien a-partisane (c'est-à-dire qu'elle ne « roule » pour aucun parti), elle n'en est pas pour autant a-politique. L'association, elle-même, fait de la politique dans le sens où elle agit par des actions (santé, égalité des droits, lutte contre les discriminations, etc.), sur l'équilibre, le fonctionnement, le développement de notre société et qu'elle a pour ambition de contribuer à la transformation sociale au bénéfice de chacune et chacun. « Depuis quarante ans, AIDES est engagée dans la lutte contre l'épidémie de VIH qui repose sur la défense des droits des personnes discriminées et stigmatisées, en premier lieu les personnes vivant avec le VIH et toutes les personnes appartenant aux groupes les plus exposés : les homosexuels masculins, les personnes étrangères, les personnes usagères de drogues, les personnes détenues, les travailleurs et travailleuses du sexe, les personnes trans », rappelait Camille Spire dans le contexte électoral d'alors ; soulignant que les combats de AIDES, tout comme les principes et les valeurs qui les sous-tendent, ont permis des avancées favorables à l'ensemble de la société française, bien au-delà des personnes concernées par l'épidémie de VIH. On peut citer l'échange de seringues, les lois sur les droits des malades, les appartements de coordination thérapeutique, les centres d'accueil pour les personnes consommatrices de drogues, l'aide médicale de l'État, etc. Ces combats (gagnés) ont bel et bien profité à l'ensemble de la société, confortant une vision égalitaire, un souci de tous et toutes ; soit l'exact opposé de ce qui est proposé, aujourd'hui comme hier, par l'extrême droite.

Le front républicain de ces derniers mois ne doit pas faire oublier que les élections récentes ont constitué une nouvelle étape dans la « normalisation » de l'extrême droite et son avancée vers le pouvoir. Une banalisation poussée désormais si loin que certains médias n'utilisent plus le terme d'extrême droite, mais parlent désormais de « droite patriotique » ou de « droite nationale ». Cette banalisation n'est évidemment pas la résultante des seuls choix éditoriaux. Elle est le produit de facteurs multiples. Ainsi, des alliances politiques ont contribué à brouiller le paysage politique et ont installé une certaine porosité entre la droite républicaine et l'extrême droite. Le phénomène n'est pas nouveau, mais a franchi, ces dernières semaines, un cap. Au plus haut niveau de l'État aussi, le choix des stratégies, comme des mots, a contribué à cette banalisation. En renvoyant l'extrême droite à son supposé pendant d'extrême gauche (la fameuse théorie des deux blocs), des élites politiques établissent dans les discours, et probablement dans les têtes une équivalence, mensongère, entre les deux. En laissant prospérer, y compris au sein du gouvernement des attaques contre les « ravages du wokisme » ; en ironisant sur les revendications « complètement ubuesques » des personnes trans ; en expliquant que le programme d'un de ses adversaires politiques est un « programme totalement immigrationniste »… Quels messages le président de la République envoie-t-il ? Son opposition à la dénonciation des injustices et des discriminations subies par les minorités ; son incompréhension de revendications légitimes, son goût pour les formules d'extrême droite des années 90. Après tout, on doit à Le Pen père et à Bruno Mégret le terme « immigrationniste », un mot détestable pour « dénigrer le consensus d'accueil des étrangers et suggérer l'idée d'une conspiration des élites pour faire venir une main d'œuvre immigrée », comme l'analysait la sémiologue Cécile Alduy dans Télérama, le 12 juillet dernier.

On l'a vu avec les dernières élections, l'immigration est une obsession de l'extrême-droite. Elle serait la cause de tous les maux et sa fin, celle de tous les problèmes, y compris ceux que connait le champ de la santé. C'est inquiétant que l'extrême droite ait toujours pensé de la sorte. C'est dramatique que cette « idée » ait fait école, qu'elle ait prospéré dans des partis, des médias, l'opinion publique, certaines élites intellectuelles. Désormais, plus rare est le contre-discours : celui qui démontre l'inanité de ce raisonnement à la fois discriminatoire et profondément antirépublicain. Il y a d'ailleurs une certaine amertume à voir que des personnalités et des formations politiques qui se rêvaient rempart à l'extrême droite en deviennent le marchepied. Bien sûr, cette fois-ci encore, l'extrême droite a échoué aux portes du pouvoir, au grand soulagement d'une bonne part de l'opinion publique et de la société civile : celle pour qui la devise républicaine a encore tout son sens. Mais combien de temps cette digue républicaine va-t-elle encore tenir ? Combien de temps ce péril va-t-il être tenu éloigné de Matignon et de l'Élysée ?

Dans le champ de la santé qui est le nôtre, mais plus largement dans celui des libertés publiques, de l'égalité (d'accès, de traitement, etc.), des droits des minorités, les motifs de préoccupation étaient réels, forts. Ils le sont toujours. Une fois encore, nous avons senti le vent du boulet. Désormais, à chaque élection, celui-ci passe de plus en plus près. Des commentateurs-rices ont parfois ironisé sur l'impréparation de l'extrême droite. Mais nous, étions-nous préparés-es à faire face à ce qui aurait pu arriver en cas de victoire de l'extrême droite ? Il suffit de lire son programme pour en comprendre les implications. Il suffit de regarder partout où l'extrême droite avance ses pions illibéraux contre la société civile et la solidarité pour en saisir les ravages. Il est encore temps de se préparer. In extremis.[-]
La dissolution à l'issue des élections européennes, le 9 juin, voulue par le chef de l'État, et le timing express de la dernière campagne des législatives (trois semaines !) ont eu pour conséquence de radicaliser, davantage encore, les propositions programmatiques des partis et de renforcer les tensions politiques, à l'œuvre depuis des mois. Dès le résultat du premier tour des législatives (30 juin), il est apparu que le programme discr...[+]

V.I.H. ; IST SIDA ; TEMOIGNAGE ; DISCRIMINATION

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- 240
Cote : NQF 43/2
Que font nos institutions publiques pour véritablement lutter contre les violences patriarcales? Pourquoi des femmes meurent-elles de féminicides alors qu'elles avaient alerté la police de la violence de leur conjoint? Pourquoi les agressions sexuelles sont-elles si répandues, si banales et si peu sanctionnées par la Justice? Il faut bien constater que les politiques publiques ne sont pas à la hauteur des enjeux et de nos légitimes attentes. L'indignation face à cette situation a déclenché une vaste mobilisation féministe, à l'échelle mondiale, qui a abouti en ce début des années 2020 à l'obtention de nouvelles mesures, que les articles réunis dans ce numéro ont décidé d'examiner avec minutie. Au Chili, des Centres d'accueil pour victimes de violences sexuelles ont été mis en place. En France, Le Téléphone Grave Danger et les bracelets anti-rapprochement ont été adoptés pour protéger les victimes de violences conjugales, tandis que des cellules d'écoute ont été mises sur pied dans les universités pour accompagner les victimes de harcèlement sexuel. Ces dispositifs sont-ils efficaces et apportent-ils les réponses espérées? L'analyse critique menée par ces équipes de recherche témoigne de certaines avancées, mais aussi des obstacles qu'il reste à surmonter.
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Que font nos institutions publiques pour véritablement lutter contre les violences patriarcales? Pourquoi des femmes meurent-elles de féminicides alors qu'elles avaient alerté la police de la violence de leur conjoint? Pourquoi les agressions sexuelles sont-elles si répandues, si banales et si peu sanctionnées par la Justice? Il faut bien constater que les politiques publiques ne sont pas à la hauteur des enjeux et de nos légitimes attentes. ...[+]

LUTTE FEMINISTE ; FEMINISME ; VIOLENCE ; PATRIARCAT ; JUSTICE

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- 176
Cote : B3 COL
« J'arrive à la fin de ma lettre et crois-moi, je vais profiter de ce qui m'attend et en savourer chaque minute, chaque seconde, et vous laisser, toi, tes démons et ta conscience, si tu en as une […]. Mon corps n'est pas à ta disposition. » Manon Sainte-Rose-Franchine

« Aujourd'hui je peux écrire cette honte et l'enterrer parce qu'un mot – harcèlement – est venu m'en décharger. J'ai commencé cette lettre en affirmant qu'il est bon parfois de ne pas oser. Mais quand il s'agit de la honte de soi, alors là, il faut y aller. Il faut se jeter sur les mots. » Arnaud Cathrine

Écrire une lettre que l'on n'a jamais osé ou pu écrire auparavant. Une lettre comme un espace de liberté, l'occasion d'exprimer ce qui s'est d'abord inscrit à l'intérieur de soi. Expérimenter le pouvoir libérateur des mots, ce que ceux-ci ouvrent comme possibles. Plus de 100 heures d'ateliers d'écriture menés auprès de 100 jeunes.

Un recueil épistolaire qui mêle voix adultes et voix adolescentes, 35 lettres sensibles et parfois bouleversantes.[-]
« J'arrive à la fin de ma lettre et crois-moi, je vais profiter de ce qui m'attend et en savourer chaque minute, chaque seconde, et vous laisser, toi, tes démons et ta conscience, si tu en as une […]. Mon corps n'est pas à ta disposition. » Manon Sainte-Rose-Franchine

« Aujourd'hui je peux écrire cette honte et l'enterrer parce qu'un mot – harcèlement – est venu m'en décharger. J'ai commencé cette lettre en affirmant qu'il est bon parfois de ne ...[+]

HARCÈLEMENT MORAL ; HARCELEMENT SEXUEL ; TEMOIGNAGE ; VIOLENCE ; RELATION FAMILIALE ; FAMILLE

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- n° 88 - 133
Cote : Rhizome 88
Alors que la pair-aidance se développe et se formalise dans les champs sanitaires et sociaux, et que le savoir expérientiel s'institutionnalise, c'est plus globalement la question de la place de l'expérience et du savoir associé qui se pose aux métiers de la relation et aux institutions. Les différents articles de ce Cahier de Rhizome font échos les uns aux autres et participent à faire évoluer la connaissance portée aux liens entre vulnérabilité sociale et santé mentale.[-]
Alors que la pair-aidance se développe et se formalise dans les champs sanitaires et sociaux, et que le savoir expérientiel s'institutionnalise, c'est plus globalement la question de la place de l'expérience et du savoir associé qui se pose aux métiers de la relation et aux institutions. Les différents articles de ce Cahier de Rhizome font échos les uns aux autres et participent à faire évoluer la connaissance portée aux liens entre vul...[+]

SANTE ; SANTE MENTALE ; PAIR-AIDANCE ; travail social ; INSTITUTION ; ACCOMPAGNEMENT

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- n° 86 - 20
Cote : Rhizome 86
Ce numéro de la revue Rhizome thématise certaines des épreuves vécues par les fratries : les placements, les violences, l'exil, le retour de zone de guerre, le handicap, les ruptures ou encore les recompositions familiales. Directement ou indirectement concernées par les vulnérabilités psychiques ou sociales, les frères et sœurs sont aussi des personnes ressources. La lecture des articles nous invite à porter une attention particulière aux frères et sœurs, à proposer des espaces thérapeutiques dédiés, des outils de psychoéducation et plus généralement à « prendre soin des fratries ».[-]
Ce numéro de la revue Rhizome thématise certaines des épreuves vécues par les fratries : les placements, les violences, l'exil, le retour de zone de guerre, le handicap, les ruptures ou encore les recompositions familiales. Directement ou indirectement concernées par les vulnérabilités psychiques ou sociales, les frères et sœurs sont aussi des personnes ressources. La lecture des articles nous invite à porter une attention particulière aux ...[+]

FAMILLE ; STRUCTURE D'ACCUEIL ET DE SOIN ; SANTE ; SANTE MENTALE ; RELATION FRERE-SOEUR

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Ces derniers jours, la montée des groupes d'extrême droite et la banalisation de leurs idées ont été accompagnées d'attaques directes contre les droits reproductifs. Attaques subies par le planning familial, autocollants anti-avortement, instrumentalisation nataliste par le Rassemblement National du mouvement pour les retraites, stérilisations proposées aux femmes se présentant à l'hôpital à Mayotte... Pour défendre ces droits, un ensemble d'organisations et personnalités appellent à « construire un front féministe, antiraciste et antifasciste ».[-]
Ces derniers jours, la montée des groupes d'extrême droite et la banalisation de leurs idées ont été accompagnées d'attaques directes contre les droits reproductifs. Attaques subies par le planning familial, autocollants anti-avortement, instrumentalisation nataliste par le Rassemblement National du mouvement pour les retraites, stérilisations proposées aux femmes se présentant à l'hôpital à Mayotte... Pour défendre ces droits, un ensemble ...[+]

EXTREME-DROITE ; droits sexuels ; PLANNING FAMILIAL ; anti-IVG

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Mauvaises mères ! Collectif | CQFD 06/2023 H

Revue

- n° 221 - 24
Cote : CQFD 221
Le dossier du mois met à l'honneur les daronnes. Celles auxquelles on reproche d'être trop ceci, pas assez cela, qu'on juge si facilement et qu'on excuse si difficilement, alors qu'elles sont prises en tenaille entre les injonctions du capitalisme et du patriarcat. Ici, des voix s'élèvent pour revendiquer d'autres manières d'être femmes et mères, et tracer des lignes émancipatrices pour des maternités libérées.

MERE CELIBATAIRE ; MATERNITE ; CAPITALISME ; PATRIARCAT ; validisme

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- 20
Cote : Rhizome 84
Ce numéro de la revue Rhizome explore différentes formes d'expressions artistiques. Certaines affichent des vertus thérapeutiques, d'autres ont des visées politiques ou sont reconnues dans le domaine de l'art.

La lecture de ce numéro nous encourage à ne pas chercher à circonscrire ces expressions a priori à tel ou tel champ, mais plutôt à les valoriser comme autant d'échappées créatives.

SANTE MENTALE ; ART ; THERAPIE

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- 144
Cote : LDEFE 9
Pour ce premier numéro de 2023, nous consacrons notre dossier au thème BAISER car, oui la révolution sexuelle reste encore à venir ! On y parle de sexologie féministe, de désirs qui font désordre, on y déconstruit les normes validistes et on plonge à pieds joints dans le récit de science-fiction érotique « Tout est chaos », signé Wendy Delorme et Elise Bonnard.

SEXUALITE ; PLANNING FAMILIAL ; IRAN ; VIOLENCE ; violence sexiste ; PLAISIR ; LUTTE FEMINISTE ; Coup de coeur

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- 174
Cote : D5 COL
Quand le roman Bien trop petit de Manu Causse, publié dans la collection L'Ardeur, a été interdit de vente aux mineurs, Nicolas Mathieu lance le hashtag #whenIwas15, invitant tout un chacun à raconter, en lien avec la littérature, ses premiers émois amoureux à l'âge de 15 ans (âge de désir, d'ébullition, de découverte du corps et de la sexualité). Le #whenIwas15 remporte un grand succès et de nombreux textes sont publiés sur les réseaux. Ce recueil, préfacé par Nicolas Mathieu, en compile une centaine dont les droits d'auteur seront versés à une association militante (le Planning familial) en faveur de l'éducation à la sexualité.[-]
Quand le roman Bien trop petit de Manu Causse, publié dans la collection L'Ardeur, a été interdit de vente aux mineurs, Nicolas Mathieu lance le hashtag #whenIwas15, invitant tout un chacun à raconter, en lien avec la littérature, ses premiers émois amoureux à l'âge de 15 ans (âge de désir, d'ébullition, de découverte du corps et de la sexualité). Le #whenIwas15 remporte un grand succès et de nombreux textes sont publiés sur les réseaux. Ce ...[+]

EDUCATION A LA SEXUALITE ; ADOLESCENCE ; DESIR ; LITTERATURE ; FANTASME SEXUEL ; TEMOIGNAGE ; Coup de coeur

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- 15
Les questions relatives à la vie affective et sexuelle (VAS) des personnes en situation de handicap sont en constante évolution depuis plus de deux décennies en France. Ces évolutions inscrivent aujourd'hui l'accès de chacunꞏe à une vie affective et sexuelle comme droit fondamental tout en visant la protection contre les violences sexuelles. Dans le champ du handicap, la mise en pratique de ce sujet autant incontournable que tabou fait face à des cadres institutionnels encore souvent mal adaptés et à des professionnelꞏleꞏs en manque d'outils et de ressources. L'objectif de ce Porte-Clés est ainsi de faciliter l'accès aux connaissances et outils indispensables pour appréhender ces enjeux et promouvoir une VAS épanouie dans les accompagnements des personnes en situation de handicap. À noter que l'essentiel du texte de ce dossier est issu d'extraits des ouvrages référencés en bibliographie.

Les ressources d'intervention sélectionnées dans ce numéro ciblent particulièrement les personnes en situation de handicap mental, mais les repères relatifs au contexte et à l'action globale sont applicables à tout type de handicap.

Bien qu'abordant un sujet visant particulièrement le champ du médico-social, ce Porte-Clés Santé s'adresse à tout acteurꞏrice agissant pour une meilleure santé des personnes en situation du handicap : décideurꞏriceꞏs, professionnelꞏleꞏs et bénévoles de différents secteurs (éducatif, social, sanitaire, collectivités, privés…). Il a été réalisé en partenariat avec le centre ressources IntimAgir Pays de la Loire.[-]
Les questions relatives à la vie affective et sexuelle (VAS) des personnes en situation de handicap sont en constante évolution depuis plus de deux décennies en France. Ces évolutions inscrivent aujourd'hui l'accès de chacunꞏe à une vie affective et sexuelle comme droit fondamental tout en visant la protection contre les violences sexuelles. Dans le champ du handicap, la mise en pratique de ce sujet autant incontournable que tabou fait face à ...[+]

HANDICAP ; professionnels de santé ; RELATION AMOUREUSE ; INTIMITE ; OUTIL PEDAGOGIQUE

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- 84
Ce carnet présente le projet de recherche « Expérimentation d'un programme de prévention des violences dans les relations amoureuses “Sortir Ensemble & Se Respecter” auprès d'une population de jeunes de 13-25 ans » (SE&SR France). Il s'agit de son premier volet dont l'expérimentation s'est déroulée en région Centre-Val de Loire (SE&SR, 2021-2023).

Contexte : Les violences dans les relations amoureuses (VRA) sont définies comme des violences faites au partenaire intime (violences conjugales), mais concernant spécifiquement les adolescents et les jeunes adultes, soit 6% à 21% des garçons et 9% à 37% des filles de 13 à 25 ans. Elles comportent des spécificités propres à cette période de la vie. Les politiques publiques insistent sur la nécessité de développer des programmes de prévention probants (dont l'efficacité a été démontrée), mais très peu s'inscrivent dans cette voie et on sait que les actions ponctuelles s'avèrent peu efficaces en termes de stratégie de « prévention santé ». Le programme « Safe Dates » a montré une efficacité réelle reconnue par l'OMS en termes de prévention des VRA. Il a été adapté au contexte francophone suisse et s'intitule « Sortir Ensemble & Se Respecter » (SE&SR). Ce projet pilote avait pour objectif principal l'étude de la faisabilité, de la transférabilité et de l'évaluation du programme SE&SR en France auprès de jeunes de 13 à 25 ans.

Ce projet de recherche est porté par l'Unité de recherche ‘Qualité de vie et santé psychologique' (QualiPsy), UR 1901 de l'université de Tours et la Fédération Régionale des Acteurs en Promotion de la Santé (FRAPS) Centre-Val de Loire, en collaboration avec les équipes de recherche ‘Éducation, Éthique et Santé' (EES) EA 7505 de l'université de Tours et le ‘Laboratoire de psychologie des Pays de la Loire' (LPPL) UR 4638 de l'université d'Angers.

Le projet a été financé par la CNAM, la DGS, l'Inserm et Santé Publique France, dans le cadre de l'Appel à projets de Recherche en santé publique 2020 conduit par l'Institut pour la Recherche en Santé Publique (IReSP). Il a également a été soutenu la Direction Départementale de la Cohésion Sociale (DDCS) de l'Indre-et-Loire, le Conseil Régional (CR) et l'Agence Régionale de Santé (ARS) CVDL.
RAPPORT FINAL DE RECHERCHE : https://sesrfrance.hypotheses.org/1093
(Résumé du rapport : https://sesrfrance.hypotheses.org/717)[-]
Ce carnet présente le projet de recherche « Expérimentation d'un programme de prévention des violences dans les relations amoureuses “Sortir Ensemble & Se Respecter” auprès d'une population de jeunes de 13-25 ans » (SE&SR France). Il s'agit de son premier volet dont l'expérimentation s'est déroulée en région Centre-Val de Loire (SE&SR, 2021-2023).

Contexte : Les violences dans les relations amoureuses (VRA) sont définies comme des violences ...[+]

VIOLENCE ; RELATION AMOUREUSE ; ADOLESCENT ; ADOLESCENCE

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- 240
À travers trente portraits individuels et collectifs, Foutues pour foutues dresse une histoire de la justice faite aux femmes qui parcourt un millénaire et de nombreux pays. Les autrices, « Les neuf incorrigibles », signent un ouvrage résolument féministe et accessible au plus grand nombre, illustré par trente œuvres graphiques originales.

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Une étude qui révèle que la moitié des articles n'ont pas un traitement respectueux des personnes trans, un sur quatre sont même anti-trans.

TRANSIDENTITE ; journalisme ; MEDIA ; TRANSPHOBIE ; transgenre

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« Écoutez-nous bien », le podcast mensuel de la Fondation des Femmes et de son équipe “Force Juridique” va donner la parole aux femmes, les écouter, les soutenir et les orienter. Chaque troisième mercredi du mois, trois invitées échangeront aux micros de Camille Dahan et Wassila Messaoudi, autour d'un sujet lié aux droits des femmes. A travers leurs histoires et expertises, elles échangeront autour de problématiques et combats féministes, partageant leurs visions et leurs recommandations.[-]
« Écoutez-nous bien », le podcast mensuel de la Fondation des Femmes et de son équipe “Force Juridique” va donner la parole aux femmes, les écouter, les soutenir et les orienter. Chaque troisième mercredi du mois, trois invitées échangeront aux micros de Camille Dahan et Wassila Messaoudi, autour d'un sujet lié aux droits des femmes. A travers leurs histoires et expertises, elles échangeront autour de problématiques et combats féministes, ...[+]

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2y
- 44
Ce recueil d'informations est le fruit d'une étroite collaboration entre le C'JAAD (Centre d'Evaluation pour Jeunes Adultes et Adolescents) du GHU Paris Psychiatrie et Neurosciences, le Réseau Transition (Institut de Psychiatrie), et l'association La Maison Perchée. Il a été réalisé dans le cadre du RHU PsyCARE financé via le programme investissements d'avenir (PIA 4)
Soigné·es et soignant·es se sont réuni·es pour co-rédiger ces brochures afin de les nourrir d'expériences de terrain et du vécu d'une diversité de professionnel·es et de personnes concernées.
Le contenu sera amené à évoluer au cours du temps,.[-]
Ce recueil d'informations est le fruit d'une étroite collaboration entre le C'JAAD (Centre d'Evaluation pour Jeunes Adultes et Adolescents) du GHU Paris Psychiatrie et Neurosciences, le Réseau Transition (Institut de Psychiatrie), et l'association La Maison Perchée. Il a été réalisé dans le cadre du RHU PsyCARE financé via le programme investissements d'avenir (PIA 4)
Soigné·es et soignant·es se sont réuni·es pour co-rédiger ces brochures afin ...[+]

EDUCATION A LA SEXUALITE ; ADOLESCENT ; SANTE SEXUELLE ; SANTE MENTALE

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- n° 138 - 99
Cote : CAU 138
Je ne suis pas misandre, j'ai un très bon ami homme. Mais force est de constater que ce numéro que vous vous apprêtez à découvrir, petit·es chanceux·ses que vous êtes, est entièrement consacré à célébrer l'incroyable force des femmes. C'est pas nous, c'est elles. Et l'actu aussi. Déjà, pardon, mais petit mémo : novembre, c'est le mois de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes (le 25). Donc, on ne sait pas, vous, mais de notre côté, on commence déjà à préparer les pancartes et à repasser nos tee-shirts violets pour la marche #NousToutes. À vos agendas, cette année, elle aura lieu le 19 novembre. On se voit là-bas ? Pour honorer cette journée si importante, nous vous proposons une magnifique enquête sur la sororité qui peut naître entre les femmes quand elles se découvrent covictimes d'un même agresseur. Le lien, la solidarité, l'amour même qui se forme parfois entre elles, est d'une force sans pareille. Comment, non plus, ne pas mettre à l'honneur la grande Annie Ernaux ? Madame la « Nobelle » ! Celle qui, grâce à son œuvre, a guidé, accompagné, libéré tant de femmes. On aurait bien publié un papier pour défendre ces pauvres bonshommes qu'on empêche de faire leurs barbecues pépouze, mais finalement, on a préféré rendre hommage aux femmes iraniennes qui se battent pour leur liberté au péril de leur vie, aux Américaines qui luttent pour le droit à l'IVG et aux Brésiliennes qui pourraient faire perdre ce gros macho de Bolsonaro. Ah oui, et comme si ça suffisait pas, on a tendu le micro à Corinne Masiero. Et pas qu'un peu. Car quoi de mieux, en ces temps de crise globale, que d'écouter l'actrice la plus vénère et la plus sans filtre du cinéma français ? Vous verrez, ça décrasse. Ah mais si, on a laissé un peu de place aux hommes ! Page 44, on vous raconte pourquoi ils font trop de bruit ! Allez, on blague, les mecs ! On sait que, grâce à vos sœurs, vos mères, vos compagnes, vous nous lisez. Et que grâce à cette saine lecture, vous saurez vous réjouir qu'en ce mois de novembre, nous laissions toute la place aux femmes.
Bon 25 novembre à tous·tes ! Et see you en manif, les gars ![-]
Je ne suis pas misandre, j'ai un très bon ami homme. Mais force est de constater que ce numéro que vous vous apprêtez à découvrir, petit·es chanceux·ses que vous êtes, est entièrement consacré à célébrer l'incroyable force des femmes. C'est pas nous, c'est elles. Et l'actu aussi. Déjà, pardon, mais petit mémo : novembre, c'est le mois de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes (le 25). Donc, on ne sait pas, ...[+]

FEMINISME ; LUTTE FEMINISTE ; AVORTEMENT ; ETATS-UNIS

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- n° 8 - 144
Cote : LDEFE 8
Dans ce numéro, La Déferlante explore un fait social majeur au prisme du genre : le jeu. A lire aussi : une rencontre inédite entre l'écrivaine Virginie Despentes et l'ex-candidat à la présidentielle Philippe Poutou ; un portrait de l'autrice de BD queer Alison Bechdel et une enquête très forte sur les séquelles des victimes de violences conjugales.

EGALITE DES SEXES ; FEMINISME ; VIOLENCE CONJUGALE ; SOCIALISATION

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