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Documents VIOLENCE 373 résultats

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- 128
Cote : LDEFE 18
L'éducation, enjeu politique majeur, est au cœur des offensives conservatrices. Ce numéro explore les résistances et alternatives féministes pour une éducation réellement émancipatrice.

LUTTE FEMINISTE ; FEMINISME ; VIOLENCE

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- 128
Cote : LDEFE 17
Au sommaire de ce numéro :

- ENTRETIEN : Angela Davis, "contre le fascisme, l'espoir est une exigence absolue" / Rokhaya Diallo
- RECIT : Face aux violeurs de Mazan / Marion Dubreuil
- ENTRETIEN : En quoi le procès de Mazan est-il historique ? / Avec Victoria Vanneau
- REPORTAGE : Liban, des sages-femmes sur le qui-vive / Amélie David et Ségolène Ragu
- BANDE-DESSINEE : La renaissance de Boudja / Nygel Panasco
- DOSSIER : TRAVAILLER : à la conquête de l'égalité
- PORTFOLIO : Ruralités queers / Vincent Gouriou
- REPORTAGE : Guerre en Ukraine, violences intimes / Audrey Lebel et Oksana Parafeniuk
- HISTOIRE : Lesbian Avengers, allumer la mèche / Camille Regache
- ENQUETE : La difficile naissance du musée des féminismes en France / Marie-Agnès Laffougère[-]
Au sommaire de ce numéro :

- ENTRETIEN : Angela Davis, "contre le fascisme, l'espoir est une exigence absolue" / Rokhaya Diallo
- RECIT : Face aux violeurs de Mazan / Marion Dubreuil
- ENTRETIEN : En quoi le procès de Mazan est-il historique ? / Avec Victoria Vanneau
- REPORTAGE : Liban, des sages-femmes sur le qui-vive / Amélie David et Ségolène Ragu
- BANDE-DESSINEE : La renaissance de Boudja / Nygel Panasco
- DOSSIER : TRAVAILLER : à la ...[+]

LUTTE FEMINISTE ; FEMINISME ; FASCISME ; EXTREME-DROITE ; VIOL ; VIOLENCE ; TRAVAIL ; PRECARITE ; INEGALITE HOMME-FEMME

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- 288
Cote : G22 SOL
Comment répondre aux viols mais aussi empêcher qu'ils soient commis ? Comment faire face à l'inceste, et éviter sa reproduction de génération en génération ? Comment faire justice sans faire violence ? Ces questions sont au cœur de la justice transformatrice. Centrée sur les besoins des victimes, cette approche vise non seulement à réparer les torts, mais aussi à transformer les conditions qui les ont rendus possibles.

Pratiquée dès les années 1990 au sein des communautés noires américaines et portée principalement par des femmes et des minorités de genre engagées dans les luttes pour l'abolition de la police, cette alternative au système pénal reste pourtant largement méconnue en France.

Définitions, méthodes, témoignages, outils, perspectives critiques : ce livre s'adresse à celles et ceux qui constatent l'incapacité de la mécanique judiciaire à répondre aux besoins des personnes touchées par les violences, et qui désirent explorer d'autres formes de justice, loin des tribunaux et des commissariats.[-]
Comment répondre aux viols mais aussi empêcher qu'ils soient commis ? Comment faire face à l'inceste, et éviter sa reproduction de génération en génération ? Comment faire justice sans faire violence ? Ces questions sont au cœur de la justice transformatrice. Centrée sur les besoins des victimes, cette approche vise non seulement à réparer les torts, mais aussi à transformer les conditions qui les ont rendus possibles.

Pratiquée dès les années ...[+]

LUTTE FEMINISTE ; FEMINISME ; VIOLENCE ; JUSTICE ; Autogestion ; Coup de coeur

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- 104
Cote : G22 TUA
Enfant, il suffisait qu'on me dise « Il faut souffrir pour être belle » ou « Il faut goûter pour savoir si on aime » pour que je préfère encore être moche et perde toute envie de toucher à mon assiette. Alors « Il faut faire confiance à la justice »… Pensez ! Pourtant, peut-être parce que j'avais envie de croire en elle, je suis devenue avocate. Et aujourd'hui, je me demande à quelle catégorie sociale protégée, à quel corps bienheureux il faut appartenir pour pouvoir dire, en matière de violences sexuelles, « Moi, je fais confiance à la justice ».

Comment faire confiance à une justice qui commence presque systématiquement par mettre en doute la parole des plaignantes ? Depuis #MeToo, les plaintes pour viol sont passées du simple au double. On estime que 94 % d'entre elles sont classées sans suite. Que 65 % des victimes de féminicide avaient saisi les forces de l'ordre ou la justice. Et que la vaste majorité des enfants ayant rapporté des violences sexuelles sont laissés sans protection.

Le parcours judiciaire est semé d'embûches pour les victimes que j'accompagne. Et quand je dis « embûches », j'euphémise, probablement pour me tenir à distance des innombrables maux que suscitent ces procédures. Découragement, lassitude, épuisement, victimisation secondaire, réactivation des traumatismes, colère, rage, incompréhension, désespoir, dépression, sidération… Jusqu'à la mort, parfois. Dans les cas où justice est rendue, on n'hésitera pas à crier à la moralisation de la société, aux hommes qui ne pourront bientôt plus prendre un ascenseur avec une femme, aux féministes qui vont trop loin et aux avocates féministes qui veulent piétiner la présomption d'innocence. Le reste du temps, la petite phrase « Il faut faire confiance à la justice », comme une ritournelle, continue de faire le tour de France des propos de comptoir.

Il faut bien s'efforcer, pourtant, de construire cette confiance en la justice. Parce que c'est elle qui pourra permettre de modifier durablement la loi d'airain de la domination masculine. Nous qui avançons dans notre fragilité extrême, qui tentons de déconstruire pour reconstruire, nous n'avons pas que nos larmes ou nos hurlements, contrairement à ce que l'on entend. Nous avons aussi des choses à apprendre aux personnes qui pensent aujourd'hui ne pas nous ressembler, qui sont écœurées quand elles entendent le mot « victime ». Nous avons beaucoup de force et de ressource. Et nous avons notre humanité.[-]
Enfant, il suffisait qu'on me dise « Il faut souffrir pour être belle » ou « Il faut goûter pour savoir si on aime » pour que je préfère encore être moche et perde toute envie de toucher à mon assiette. Alors « Il faut faire confiance à la justice »… Pensez ! Pourtant, peut-être parce que j'avais envie de croire en elle, je suis devenue avocate. Et aujourd'hui, je me demande à quelle catégorie sociale protégée, à quel corps bienheureux il faut ...[+]

PATRIARCAT ; LUTTE FEMINISTE ; JUSTICE ; DISCRIMINATION ; VIOLENCE ; VIOLENCE SEXUELLE ; domination masculine

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- 222
Cote : F43 IDI
Une vision nouvelle et approfondie de la répression des homosexuels au 20e siècle s'appuyant sur des archives encore largement inexploitées. Les témoignages exhumés des archives judiciaires et policières donnent vie à des histoires individuelles souvent tragiques. Alors qu'en France les politiques de réparation commencent à être débattues, Antoine Idier propose des pistes inédites en matière de justice transitionnelle.

HOMOSEXUALITE ; HISTOIRE ; REPRESSION DE LA SEXUALITE ; VIOLENCE

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- 80
Cote : F30 MED
[T'es au courant que ton pote est un violeur ?]
SMS de Zoé à 00 h 54.
Je sors de mon lit, traverse le couloir au radar et entre
dans sa chambre sans frapper. Elle sursaute et hurle :
— Non mais oh ! Ça va pas ? D'où tu rentres comme ça ?
— Et toi, d'où tu m'envoies des messages à la con
à une heure du matin ? Je dormais !
— Ah ! Tu trouves que c'est un message « à la con » ?
Sérieusement ?
— Bon, vas-y ! Accouche !
— Louis a violé une fille.
— Qu'est-ce que tu racontes ?[-]
[T'es au courant que ton pote est un violeur ?]
SMS de Zoé à 00 h 54.
Je sors de mon lit, traverse le couloir au radar et entre
dans sa chambre sans frapper. Elle sursaute et hurle :
— Non mais oh ! Ça va pas ? D'où tu rentres comme ça ?
— Et toi, d'où tu m'envoies des messages à la con
à une heure du matin ? Je dormais !
— Ah ! Tu trouves que c'est un message « à la con » ?
Sérieusement ?
— Bon, vas-y ! Accouche !
— Louis a violé une fille.
— ...[+]

VIOLENCE ; JEUNESSE ; ADOLESCENCE ; VIOL ; LITTERATURE JEUNESSE

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- 160
Cote : F6 SER
« Un livre essentiel qui retrace les contours et les enjeux des débats actuels sur le consentement. L'autrice nous y raconte une histoire trop souvent occultée par les partisanes du «non c'est non» ou du «oui c'est oui», celle de la rencontre entre le féminisme prohibitif et abolitionniste des sex wars et les approches néolibérales de la sexualité. Elle déchiffre et analyse avec finesse les récentes controverses autour du terme de consentement dans la loi et chez les militantes. Loin d'être simple et transparente, cette notion fait scission dans les rangs féministes. À la fois outil de légifération des violences sexuelles et clé d'une sexualité épanouie et jouissive, on attend du consentement qu'il soit partout à la fois (et aussi : explicite, enthousiaste, libre et éclairé, réversible, informé, spécifique…), tout en remettant en doute la capacité des femmes à le donner dans le cadre d'une société inégale et patriarcale. L'autrice nous conduit à travers ces méandres qui ont fait glisser les féministes et les législateurs vers un hypercontractualisme et une doctrine sécuritaire de la sexualité. À la fois critique et généreux dans son approche, cet ouvrage est un solide appui pour penser la complexité d'un sujet souvent victime de simplifications désastreuses. » Elsa Deck Marsault, autrice de Faire justice « Dans ce court mais puissamment argumenté ouvrage, Clara Serra, ex-députée Podemos à l'Assemblée de Madrid et chercheuse à l'Université de Barcelone, offre une analyse critique de la notion de « consentement », claire et simple à comprendre, et fondée sur un “grande confiance dans les possibilités du langage et du pacte explicite”. L'importance et l'opportunité de cette critique ne peut être ignorée au moment où la notion de consentement est adoptée par de nombreuses féministes en France, qui en font le cœur de propositions de loi. En Espagne, le consentement a conduit à l'adoption de la loi “solo si es si” (seul un oui est un oui), loi à laquelle Serra s'est opposée en tant que députée. La publication de l'ouvrage de Clara Serra enrichira le débat en France, d'une part parce qu'il décrit les conséquences d'une loi pensée au départ comme protectrice et qui se révèle disciplinaire pour les femmes, et d'autre part, parce que l'autrice rappelle que l'espace du désir (consentir n'est pas désirer), de la sexualité et du plaisir échappe à la transparence, que souhaitent autant les féministes abolitionnistes que les néolibérales du contrat. » Françoise Vergès, autrice de Un féminisme décolonial[-]
« Un livre essentiel qui retrace les contours et les enjeux des débats actuels sur le consentement. L'autrice nous y raconte une histoire trop souvent occultée par les partisanes du «non c'est non» ou du «oui c'est oui», celle de la rencontre entre le féminisme prohibitif et abolitionniste des sex wars et les approches néolibérales de la sexualité. Elle déchiffre et analyse avec finesse les récentes controverses autour du terme de consentement ...[+]

CONSENTEMENT ; VIOLENCE ; VIOLENCE SEXUELLE ; LUTTE FEMINISTE

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- 192
Cote : B2 LEW
Biologique ou choisie, traditionnelle ou réinventée, nucléaire ou élargie, Sophie Lewis n'épargne aucune famille. En organisant la pénurie et la privatisation du soin, du soutien et de l'attention, la structure familiale entrave la réappropriation collective des moyens de reproduction, seul chemin possible vers une société plus égalitaire. Dès lors, il ne suffit pas de faire famille autrement, mais il faut nous libérer de cette institution. Dans ce manifeste plein d'humour, l'autrice parcourt l'histoire du mouvement pour l'abolition de la famille : du socialisme utopique au féminisme radical en passant par la théorie communiste et les luttes contre l'imposition raciste du modèle familial.[-]
Biologique ou choisie, traditionnelle ou réinventée, nucléaire ou élargie, Sophie Lewis n'épargne aucune famille. En organisant la pénurie et la privatisation du soin, du soutien et de l'attention, la structure familiale entrave la réappropriation collective des moyens de reproduction, seul chemin possible vers une société plus égalitaire. Dès lors, il ne suffit pas de faire famille autrement, mais il faut nous libérer de cette institution. Dans ...[+]

FAMILLE ; RELATION FAMILIALE ; VIOLENCE ; PATRIARCAT ; CAPITALISME ; LUTTE FEMINISTE

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- 128
Cote : F6 BLA
Cyberviolence, cyberagression, cyberharcèlement : autant de termes qui renvoient à la violence en ligne sans qu'une définition consensuelle soit arrêtée, ce qui témoigne de la difficulté de la qualifier. Les agressions en ligne - communément appelées cyberviolences - s'imposent néanmoins comme un problème majeur de nos sociétés contemporaines. Que ce soit en milieu scolaire, en famille, entre amis ou dans le milieu professionnel, les messages agressifs, les humiliations, le dénigrement, les menaces, les sollicitations indésirées ou le harcèlement font partie du quotidien de bien des internautes. Aucun milieu ni contexte personnel ou professionnel n'est épargné ; nous sommes tous concernés. Si, auparavant, l'agression ou l'humiliation étaient la plupart du temps circonscrites au contact avec le ou les agresseurs, la nature de la cyberviolence étend sa diffusion potentielle à une large audience, notamment sur les réseaux sociaux, où elle est continue. Catherine Blaya fait le point sur un phénomène omniprésent, sur ses différentes formes, ses manifestations et ses conséquences, et elle nous alerte sur la stigmatisation de plus en plus récurrente de communautés spécifiques.[-]
Cyberviolence, cyberagression, cyberharcèlement : autant de termes qui renvoient à la violence en ligne sans qu'une définition consensuelle soit arrêtée, ce qui témoigne de la difficulté de la qualifier. Les agressions en ligne - communément appelées cyberviolences - s'imposent néanmoins comme un problème majeur de nos sociétés contemporaines. Que ce soit en milieu scolaire, en famille, entre amis ou dans le milieu professionnel, les messages ...[+]

CYBERVIOLENCE ; VIOLENCE ; NUMERIQUE ; Nouvelles technologies ; HARCÈLEMENT MORAL

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- 200
Cote : F45 GIL
Pourquoi les femmes trans sont-elles les plus ciblées au sein de la communauté LGBTQI+ et au coeur d'une résurgence mondiale de politiques réactionnaires transphobes ? Dans Une brève histoire de la transmisogynie, l'historienne Jules Gill-Peterson analyse ces violences en les inscrivant dans l'histoire de la modernité et des systèmes coloniaux. À travers une approche matérialiste, elle introduit le concept de « transféminisation » pour comprendre comment certaines formes de féminité, souvent racialisées, sont ciblées. Préfacé et co-traduit par Mihena Alsharif, ce livre explore aussi les liens historiques entre femmes trans, classe ouvrière et travail du sexe.[-]
Pourquoi les femmes trans sont-elles les plus ciblées au sein de la communauté LGBTQI+ et au coeur d'une résurgence mondiale de politiques réactionnaires transphobes ? Dans Une brève histoire de la transmisogynie, l'historienne Jules Gill-Peterson analyse ces violences en les inscrivant dans l'histoire de la modernité et des systèmes coloniaux. À travers une approche matérialiste, elle introduit le concept de « transféminisation » pour ...[+]

TRANSIDENTITE ; TRANSFEMINISME ; Travailleu.se du Sexe (TDS) ; CLASSE SOCIALE ; VIOLENCE ; LUTTE FEMINISTE ; RACISME ; LGBT

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- 256
Cote : B32 ADR
Mère de 3 enfants, Alix mène une vie plutôt épanouie aux côtés d'un époux aimant et d'amis fidèles. Un jour, au détour d'une conversation, sa mère assène une de ces remarques désobligeantes, dont elle seule a le secret. Mais cette fois, c'est la fille d'Alix qui en est la cible. C'en est trop pour elle. Soudain, toutes les années de souffrances enfouies, les humiliations et les mauvais traitements subis durant l'enfance refont surface. Pourquoi cette femme lui rend-elle la vie impossible ? Les constantes critiques et le manque de considération de la part de cette mère énergivore vont pousser Alix à s'interroger… D'après les spécialistes, 20 % de la population aurait grandi aux côtés d'un parent « toxique ». Commence alors, pour Alix, un long chemin. Sa douloureuse prise de conscience pour briser l'emprise et défaire ses liens va la mettre à rude épreuve. Face à l'adversité et aux désillusions, Alix sent bientôt une boule grossir au fond de sa gorge ; une boule qui l'entrave et qui brûle comme une envie de reprendre le contrôle sur sa vie et de crier tout haut son indépendance… Sophie Adriansen nous livre un récit foudroyant, à la fois drôle et terrible qui décortique le mécanisme insidieux de l'emprise. Le trait expressif de Mlle Caroline illustre le vertige que cette silhouette maternelle, inquiétante et anonyme inspire. Un témoignage libérateur à la mise en scène subtile qui aborde, sans fard, un sujet d'actualité lourd de sens.[-]
Mère de 3 enfants, Alix mène une vie plutôt épanouie aux côtés d'un époux aimant et d'amis fidèles. Un jour, au détour d'une conversation, sa mère assène une de ces remarques désobligeantes, dont elle seule a le secret. Mais cette fois, c'est la fille d'Alix qui en est la cible. C'en est trop pour elle. Soudain, toutes les années de souffrances enfouies, les humiliations et les mauvais traitements subis durant l'enfance refont surface. Pourquoi ...[+]

BANDE DESSINEE ; RELATION MERE-ENFANT ; MATERNITE ; VIOLENCE

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- 134
Cote : F6 REY
« La culture du viol est la manière dont une société se représente le viol, les victimes de viol et les violeurs à une époque donnée. On parle de “culture” au sens sociologique du terme, car ces idées reçues imprègnent la société, se transmettent de génération en génération et évoluent au fil du temps. » Qu'est-ce que la culture du viol ? Quelles sont les principales idées reçues sur les violeurs, les victimes, les violences sexuelles ? Quel a été l'apport du moment MeToo ? Existe-t-il une exception culturelle française en matière de violences sexistes et sexuelles ? Comment se maintient la culture du viol ? Comment en finir avec celle-ci ? En quelque 130 pages synthétiques et sourcées, l'essayiste et militante féministe Valérie Rey-Robert redéfinit un concept clé de la lutte contre les violences sexuelles. Il s'agit de son sixième ouvrage. [-]
« La culture du viol est la manière dont une société se représente le viol, les victimes de viol et les violeurs à une époque donnée. On parle de “culture” au sens sociologique du terme, car ces idées reçues imprègnent la société, se transmettent de génération en génération et évoluent au fil du temps. » Qu'est-ce que la culture du viol ? Quelles sont les principales idées reçues sur les violeurs, les victimes, les violences sexuelles ? Quel a ...[+]

Coup de coeur ; VIOL ; VIOLENCE ; FEMINISME ; VIOLENCE SEXUELLE ; PATRIARCAT

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- 66
Le mariage forcé confronte les actrices et acteurs associatifs et institutionnels à une articulation de faits sociaux et culturels dont la complexité peut faire obstacle à la protection des victimes Les actrices et acteurs qui œuvrent auprès des victimes de mariage forcé dans les divers champs de l'action sociale (accès aux droits, protection de l'enfance, éducation, prévention, justice, hébergement, logement) ont besoin de mieux décoder la complexité de cette violence pour mener à bien leur mission. Ce guide propose des éléments de connaissance et de réflexion, ainsi que des bonnes pratiques expérimentées par divers acteurs et actrices de terrain qui accompagnent, depuis de longues années, les victimes de mariage forcé.
Le principal objectif de ce guide est d'aider à mieux repérer un mariage forcé et ses conséquences sur les victimes, de partager des savoirs en matière d'accompagnement juridique et social, ainsi que de présenter des bonnes pratiques et des pistes de solution construites en partenariat entre les pouvoirs publics et les associations pour apporter des réponses concrètes aux situations rencontrées sur le terrain Ce guide rend également visibles les éléments qui font obstacle à l'action ou qui, au contraire, la facilitent[-]
Le mariage forcé confronte les actrices et acteurs associatifs et institutionnels à une articulation de faits sociaux et culturels dont la complexité peut faire obstacle à la protection des victimes Les actrices et acteurs qui œuvrent auprès des victimes de mariage forcé dans les divers champs de l'action sociale (accès aux droits, protection de l'enfance, éducation, prévention, justice, hébergement, logement) ont besoin de mieux décoder la ...[+]

MARIAGE FORCE ; VIOLENCE ; PATRIARCAT ; OUTIL PEDAGOGIQUE ; PREVENTION

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- 192
Cote : F6 ROM
Alors présidente de la cour d'assises de Versailles, Isabelle Rome se voit confier une affaire qui sera, à l'époque, peu médiatisée. Nous sommes en 2018, la vague #MeToo n'a pas déferlé dans le milieu judiciaire ni le terme " féminicide " percé la bulle des cercles militants.
En s'appuyant sur les trois jours du procès, la magistrate reconstitue la trajectoire d'un couple, celui d'Éliane et Jean-Pierre V. – une histoire malheureusement banale, mais emblématique de la mécanique des féminicides, notamment sur la notion de contrôle coercitif. Car, de toutes ces femmes qu'elle ne voit plus qu'en photo parce que tuées de la main de leur conjoint, Isabelle Rome en tire une conviction qui fera son engagement : cette violence invisible mais destructrice se retrouve à chaque fois. Comment se met-elle en place ? Quels sont les ressorts à l'oeuvre ? Pourquoi est-il si difficile d'en donner une définition juridique ?

La fabrique d'un féminicide d'un point de vue subjectif assumé – celui d'une magistrate considérée aujourd'hui comme l'une des plus acquises à la cause des femmes. [-]
Alors présidente de la cour d'assises de Versailles, Isabelle Rome se voit confier une affaire qui sera, à l'époque, peu médiatisée. Nous sommes en 2018, la vague #MeToo n'a pas déferlé dans le milieu judiciaire ni le terme " féminicide " percé la bulle des cercles militants.
En s'appuyant sur les trois jours du procès, la magistrate reconstitue la trajectoire d'un couple, celui d'Éliane et Jean-Pierre V. – une histoire malheureusement banale, ...[+]

féminicide ; VIOLENCE ; PATRIARCAT ; JUSTICE ; PROCES

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- 21
La prise de conscience de l'ampleur du phénomène des violences sexuelles suite au phénomène « Me too » a conduit en France à une demande croissante de statistiques de la part de différents acteurs (pouvoirs publics, associations, médias, etc.) sur ce sujet afin d'alimenter le débat public. Le service statistique du ministère de la justice (SSER) a été sollicité dans ce cadre et a réalisé des travaux qui ont pris différentes formes (études, demandes ponctuelles et récurrentes, indicateurs de pilotage, etc.). Dans ce contexte, le champ des violences sexuelles commises par des personnes mineures a été peu concerné. S'agissant des mineurs, les demandes de statistiques adressées au SSER se sont davantage focalisées sur les violences sexuelles commises sur les mineurs (particulièrement dans le cadre de l'inceste), les violences commises par les mineurs étant plutôt considérées sur le plan des violences physiques (coup et violences volontaires, homicide volontaire, etc.).
Le sujet des infractions sexuelles perpétrées par les personnes mineures est néanmoins digne d'intérêt car c'est un phénomène qui est loin d'être marginal. Ainsi en 2024, plus d'un mis en cause sur quatre pour viol et près d'un mis en cause sur trois pour agression sexuelle est mineur au moment des faits, des parts assez stables sur les dernières années. Les infractions sexuelles commises par les mineurs nécessitent ainsi -de la même manière que les autres catégories de violences sexuelles- d'être quantifiées du point de vue de leur traitement judiciaire afin de pouvoir orienter les politiques publiques de prévention.
L'objectif de ce rapport est ainsi de donner un éclairage statistique sur les infractions sexuelles perpétrées par les mineurs sur la période récente (depuis 2017), à partir des sources utilisées au ministère de la justice. Seules les infractions ayant été traitées par la justice seront étudiées, (ce qui exclut toutes celles qui ne sont pas signalées à l'autorité judiciaire). L'intérêt sera porté sur la réponse judiciaire apporté aux infractions sexuelles commises par les mineurs, mesurée à l'aune des statistiques sur les orientations des personnes mises en cause (notamment les poursuites et classements) ainsi que des condamnations prononcées par les juridictions. Des données sur les victimes peuvent également être produites à partir des applicatifs du ministère de la justice. Toutefois, elles sont basées sur un concept large, incluant l'ensemble des personnes se portant partie civile (par exemple les proches de la victime). Leur nombre serait ainsi surestimé, c'est pourquoi il a été choisi de ne pas
les présenter.[-]
La prise de conscience de l'ampleur du phénomène des violences sexuelles suite au phénomène « Me too » a conduit en France à une demande croissante de statistiques de la part de différents acteurs (pouvoirs publics, associations, médias, etc.) sur ce sujet afin d'alimenter le débat public. Le service statistique du ministère de la justice (SSER) a été sollicité dans ce cadre et a réalisé des travaux qui ont pris différentes formes (études, ...[+]

JUSTICE ; VIOLENCE ; MINEUR ; AUTEUR DE VIOLENCES ; VIOLENCE SEXUELLE

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- 232
Cote : F6 GAR
"Je suis philosophe, je m'intéresse aux rapports entre les femmes et les hommes : après un premier livre sur la soumission des femmes aux hommes, j'ai écrit un ouvrage sur le consentement et les injustices de genre dans la sexualité hétérosexuelle. Je suis aussi une femme de bientôt quarante ans, qui voudrait pouvoir exister dans le monde sans s'inquiéter sans cesse des violences sexistes et sexuelles dont mes amies, mes filles ou moi pourrions être victimes. J'ai vu les changements apportés par le mouvement #MeToo, je vois le backlash masculiniste qui s'efforce de renvoyer les femmes à leur position de deuxième sexe. Lorsque je découvre les crimes commis sur Gisèle Pelicot, je sais que se condensent dans cette histoire toutes les questions philosophiques qui sont les miennes. J'hésite à aller au procès de Mazan. Puis je me rends à l'évidence : il me faut écrire ce procès et l'expérience que j'en fais, comme philosophe et comme femme. Et tenter de répondre à cette question qui me hante : peut-on vivre avec les hommes ?"[-]
"Je suis philosophe, je m'intéresse aux rapports entre les femmes et les hommes : après un premier livre sur la soumission des femmes aux hommes, j'ai écrit un ouvrage sur le consentement et les injustices de genre dans la sexualité hétérosexuelle. Je suis aussi une femme de bientôt quarante ans, qui voudrait pouvoir exister dans le monde sans s'inquiéter sans cesse des violences sexistes et sexuelles dont mes amies, mes filles ou moi pourrions ...[+]

Coup de coeur ; LUTTE FEMINISTE ; VIOLENCE ; MOUVEMENT MASCULINISTE ; METOO ; PHILOSOPHIE ; CONSENTEMENT

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L'impunomètre LAPALUS, Marylène | HAL Open Science 2025 H

Matériel Pédagogique

- 7
Comment expliquer que la violence contre les filles et les femmes perdure depuis des siècles ? Comment comprendre que, malgré des avancées législatives, des politiques publiques de prévention et des mouvements de mobilisation puissants et continus, la violence masculine tue encore massivement des femmes dans la sphère privée et publique ?
Marylène Lapalus, sociologue au Centre Max Weber de Lyon, tente de répondre à ces questions. Elle travaille sur la violence féminicide et sur l'impunité comme motif déterminant de la continuité de la violence masculine contre les femmes. Sa réflexion s'inscrit dans la lignée de plusieurs travaux scientifiques féministes qui soulignent la nécessité de penser le rôle des institutions dans l'exercice de la violence contre les femmes. Marylène Lapalus a identifié un continuum d'impunité qui soutient la violence masculine et qui envoie aux agresseurs le message que la violence dont ils sont auteurs est tolérée, voire encouragée par la société. Elle propose également, sur le modèle du violentomètre, de pouvoir mesurer, grâce à l'impunomètre, le degré d'impunité porté par nos actions individuelles, collectives et institutionnelles, d'identifier les attitudes « complices » qui alimentent et légitiment la violence masculine ou au contraire les bonnes pratiques en matière de prise en charge des victimes et des auteurs.
L'impunomètre est ainsi un outil destiné à la sensibilisation du grand public et à la formation des professionnels (éducation, santé, protection sociale, sécurité et justice). Il mobilise plusieurs concepts utiles pour déconstruire les comportements individuels et collectifs qui freinent l'avancée des droits des femmes et qui, s'ils sont correctement employés, contribuent à lutter contre l'impunité sociale et institutionnelle qui sous-tend la violence masculine. Douze concepts clés sont ainsi définis dans la notice « Les bons mots contre l'impunité ».[-]
Comment expliquer que la violence contre les filles et les femmes perdure depuis des siècles ? Comment comprendre que, malgré des avancées législatives, des politiques publiques de prévention et des mouvements de mobilisation puissants et continus, la violence masculine tue encore massivement des femmes dans la sphère privée et publique ?
Marylène Lapalus, sociologue au Centre Max Weber de Lyon, tente de répondre à ces questions. Elle travaille ...[+]

VIOLENCE ; PATRIARCAT ; professionnels de santé ; VIOLENTOMETRE ; OUTIL PEDAGOGIQUE

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- 176
Cote : NQF 44/1
Encore un numéro de NQF sur les violences patriarcales ! Après le premier opus, publié à l'automne 2024, consacré à l'analyse critique des politiques publiques censées prévenir ces violences, Nouvelles Questions Féministes a fait le choix de dédier un second dossier thématique aux mobilisations féministes dénonçant ces violences, ainsi qu'aux pratiques féministes d'accompagnement des victimes.
Si le numéro précédent s'intéressait aux politiques publiques mises en place contre les violences patriarcales, les dispositifs institutionnels d'accompagnement des victimes et de sanction des agresseurs ne forment cependant que l'une des facettes des revendications et des actions féministes contre les violences. On ne saurait négliger les efforts des militantes qui œuvrent continuellement à la politisation de l'ensemble des violences patriarcales et dénoncent non seulement les dysfonctionnements existants en matière de prise en charge institutionnelle et de sanction, mais aussi la persistance de ces violences misogynes. Dans ce contexte, comment militer efficacement ? Comment instaurer un rapport de force politique et un mouvement social suffisamment puissant pour atteindre l'objectif d'une société sans violences contre les femmes ? Quels militantismes féministes (modes d'action, théories, organisations) et quels savoirs avons-nous forgés au fur et à mesure des luttes contre les violences patriarcales ?
Ce dossier entend participer à l'exploration des voies pouvant être suivies pour poursuivre les mobilisations féministes contre les violences, en questionnant les limites des stratégies militantes contemporaines ainsi que la pertinence de leurs approches théoriques, modes d'action et formes d'organisation. Face au backlash et aux contre-offensives patriarcales, parfois très virulentes – comme en témoignent les attaques en diffamation et le cyberharcèlement des militantes féministes, ou encore la réélection de Donald Trump en novembre 2024 notamment grâce à ses soutiens masculinistes –, quelles pratiques militantes envisager ?[-]
Encore un numéro de NQF sur les violences patriarcales ! Après le premier opus, publié à l'automne 2024, consacré à l'analyse critique des politiques publiques censées prévenir ces violences, Nouvelles Questions Féministes a fait le choix de dédier un second dossier thématique aux mobilisations féministes dénonçant ces violences, ainsi qu'aux pratiques féministes d'accompagnement des victimes.
Si le numéro précédent s'intéressait aux politiques ...[+]

LUTTE FEMINISTE ; FEMINISME ; VIOLENCE ; PATRIARCAT ; Coup de coeur

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Créée en novembre 2024 à la suite du viol et du meurtre de la jeune Philippine, dont l'auteur présumé avait déjà été condamné pour viol, la mission conjointe de contrôle de la commission des lois et de la délégation aux droits des femmes a évalué la pertinence des textes en vigueur et l'efficacité de l'action publique en matière de lutte contre la récidive du viol et des agressions sexuelles. Après avoir entendu près de cent personnes et effectué
trois déplacements, elle formule 24 recommandations pour garantir la prise en compte des spécificités des auteurs d'infractions sexuelles et prévenir le risque de récidive.[-]
Créée en novembre 2024 à la suite du viol et du meurtre de la jeune Philippine, dont l'auteur présumé avait déjà été condamné pour viol, la mission conjointe de contrôle de la commission des lois et de la délégation aux droits des femmes a évalué la pertinence des textes en vigueur et l'efficacité de l'action publique en matière de lutte contre la récidive du viol et des agressions sexuelles. Après avoir entendu près de cent personnes et ...[+]

LEGISLATION ; AUTEUR DE VIOLENCES ; VIOLENCE

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SOS homophobie publie en ce 15 mai 2025 la 29ᵉ édition de son rapport annuel afin de dresser un état des lieux des violences, discriminations et obstacles auxquels sont confrontées les personnes lesbiennes, gays, bies, trans et intersexes en France. À partir des vécus des personnes qui ont témoigné auprès d'elle, mais aussi de son analyse de l'actualité et des évolutions politiques et sociales, SOS homophobie constate un climat politique et social réactionnaire qui ne cesse de prendre pour cible les personnes LGBTI. Le mal de vivre suscité par la banalisation des discours de haine renforce les dynamiques d'exclusion subies par les personnes LGBTI et brise le tissu social. Par ce rapport, l'association souligne la nécessité de remettre au centre de l'espace politique et social les vécus des personnes LGBTI et la lutte contre les discriminations.[-]
SOS homophobie publie en ce 15 mai 2025 la 29ᵉ édition de son rapport annuel afin de dresser un état des lieux des violences, discriminations et obstacles auxquels sont confrontées les personnes lesbiennes, gays, bies, trans et intersexes en France. À partir des vécus des personnes qui ont témoigné auprès d'elle, mais aussi de son analyse de l'actualité et des évolutions politiques et sociales, SOS homophobie constate un climat politique et ...[+]

VIOLENCE ; DISCRIMINATION ; LGBT

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