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Documents VIOLENCE 394 résultats

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- 128
Cote : LDEFE 18
L'éducation, enjeu politique majeur, est au cœur des offensives conservatrices. Ce numéro explore les résistances et alternatives féministes pour une éducation réellement émancipatrice.

LUTTE FEMINISTE ; FEMINISME ; VIOLENCE

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- 128
Cote : LDEFE 17
Au sommaire de ce numéro :

- ENTRETIEN : Angela Davis, "contre le fascisme, l'espoir est une exigence absolue" / Rokhaya Diallo
- RECIT : Face aux violeurs de Mazan / Marion Dubreuil
- ENTRETIEN : En quoi le procès de Mazan est-il historique ? / Avec Victoria Vanneau
- REPORTAGE : Liban, des sages-femmes sur le qui-vive / Amélie David et Ségolène Ragu
- BANDE-DESSINEE : La renaissance de Boudja / Nygel Panasco
- DOSSIER : TRAVAILLER : à la conquête de l'égalité
- PORTFOLIO : Ruralités queers / Vincent Gouriou
- REPORTAGE : Guerre en Ukraine, violences intimes / Audrey Lebel et Oksana Parafeniuk
- HISTOIRE : Lesbian Avengers, allumer la mèche / Camille Regache
- ENQUETE : La difficile naissance du musée des féminismes en France / Marie-Agnès Laffougère[-]
Au sommaire de ce numéro :

- ENTRETIEN : Angela Davis, "contre le fascisme, l'espoir est une exigence absolue" / Rokhaya Diallo
- RECIT : Face aux violeurs de Mazan / Marion Dubreuil
- ENTRETIEN : En quoi le procès de Mazan est-il historique ? / Avec Victoria Vanneau
- REPORTAGE : Liban, des sages-femmes sur le qui-vive / Amélie David et Ségolène Ragu
- BANDE-DESSINEE : La renaissance de Boudja / Nygel Panasco
- DOSSIER : TRAVAILLER : à la ...[+]

LUTTE FEMINISTE ; FEMINISME ; FASCISME ; EXTREME-DROITE ; VIOL ; VIOLENCE ; TRAVAIL ; PRECARITE ; INEGALITE HOMME-FEMME

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2y
- 4
Focus thématique sur la pornographie réalisé par la Confédération du Planning Familial.

Au sommaire :
🔸Regards sur le porno : pour une approche de la prévention et de réduction des risques sans posture morale
🔸Mauvaise définition, mauvais traitement : la violence et le sexisme sont des continuum qui traversent l'ensemble de la société, la pornographie n'y faisant pas exception
🔸Ouvrir à la réflexion : ces espaces permettent de donner du sens aux images
🔸Repères
🔸Les recos du Planning : aborder le sujet quand les élèves en expriment le besoin, quel que soit leur niveau
🔸Ressources[-]
Focus thématique sur la pornographie réalisé par la Confédération du Planning Familial.

Au sommaire :
🔸Regards sur le porno : pour une approche de la prévention et de réduction des risques sans posture morale
🔸Mauvaise définition, mauvais traitement : la violence et le sexisme sont des continuum qui traversent l'ensemble de la société, la pornographie n'y faisant pas exception
🔸Ouvrir à la réflexion : ces espaces permettent de donner du sens ...[+]

VIOLENCE ; PORNOGRAPHIE ; EDUCATION A LA SEXUALITE

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- 5
Brochure ressources de la ville de Lyon

VIOLENCE ; VIOLENCE CONJUGALE ; ACCOMPAGNEMENT

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- 304
Cote : F46 KHA
Ce sont des femmes que tout le monde regarde mais que personne ne veut voir et encore moins entendre. Elles sont parties civiles dans deux procès majeurs qui doivent se tenir en France, ceux des affaires « French Bukkake » et « Jacquie et Michel ». Pour la première fois, les organisateurs, producteurs et acteurs de la violence pornographique seront jugés pour un système d'exploitation et de domination des femmes, de violences sexistes, racistes et classistes : traite d'êtres humains en bande organisée, proxénétisme, viols en réunion, violence, chantage, menaces.

Des dizaines de femmes ont porté plainte. Quinze autrices sont allées à leur rencontre pour raconter leurs histoires. Chacune à leur façon, elles disent à la fois leur résistance farouche et la violence qui continue longtemps après les tournages.[-]
Ce sont des femmes que tout le monde regarde mais que personne ne veut voir et encore moins entendre. Elles sont parties civiles dans deux procès majeurs qui doivent se tenir en France, ceux des affaires « French Bukkake » et « Jacquie et Michel ». Pour la première fois, les organisateurs, producteurs et acteurs de la violence pornographique seront jugés pour un système d'exploitation et de domination des femmes, de violences sexistes, racistes ...[+]

VIOL ; VIOLENCE ; PORNOGRAPHIE ; TEMOIGNAGE ; SEXISME ; DISCRIMINATION ; Traite des femmes

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- 210
Cote : G3 AMI
En écho au mouvement « Femme, vie, liberté ! », 16 femmes iraniennes livrent ici leurs témoignages. Ces voix s'élèvent parfois depuis l'exil, parfois depuis des cellules de prison. Elles parlent d'une vie sans droits contrôlée par la police des mœurs, d'humiliations, de mise sous tutelle et de détresse économique. Mais aussi d'une nouvelle génération, d'une révolution que plus rien ne pourra arrêter, de libertés qui se gagnent pas à pas et de l'incroyable résilience du peuple iranien. Leurs textes sont bouleversants, remplis de larmes et porteurs d'espoir. Leur bravoure est une leçon d'humanité.[-]
En écho au mouvement « Femme, vie, liberté ! », 16 femmes iraniennes livrent ici leurs témoignages. Ces voix s'élèvent parfois depuis l'exil, parfois depuis des cellules de prison. Elles parlent d'une vie sans droits contrôlée par la police des mœurs, d'humiliations, de mise sous tutelle et de détresse économique. Mais aussi d'une nouvelle génération, d'une révolution que plus rien ne pourra arrêter, de libertés qui se gagnent pas à pas et de ...[+]

IRAN ; LUTTE FEMINISTE ; FEMINISME ; VIOLENCE ; SEXISME

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- 240
Cote : I14 DRO
Pourquoi devient-on violent·e ? Que se passe-t-il dans notre corps lors de traumatismes ? Comment plus de pouvoir facilite le passage à l'acte violent ? Et comment se soigner ?
Telles sont les questions auxquelles s'attaque Juliet Drouar, thérapeute et spécialiste des sujets de dominations. Dans cet essai aux allures de révolution copernicienne, il explore le rôle des traumatismes comme terreau des violences y compris systémiques et leur articulation avec les inégalités sociales.
Il propose une nouvelle éthique du soin et de la responsabilité et, grâce à des outils accessibles à chacun·e, il ouvre la voie à une guérison individuelle et collective.
Une grille de lecture nécessaire pour comprendre la reproduction des violences. Un livre essentiel à notre époque.[-]
Pourquoi devient-on violent·e ? Que se passe-t-il dans notre corps lors de traumatismes ? Comment plus de pouvoir facilite le passage à l'acte violent ? Et comment se soigner ?
Telles sont les questions auxquelles s'attaque Juliet Drouar, thérapeute et spécialiste des sujets de dominations. Dans cet essai aux allures de révolution copernicienne, il explore le rôle des traumatismes comme terreau des violences y compris systémiques et leur ...[+]

SANTE MENTALE ; VIOLENCE ; THERAPIE ; TRAUMATISME ; Coup de coeur ; DOMINATION

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- 208
Cote : I0 DAB
« Les scènes de crimes que j'y relate brièvement visent à se poser les bonnes questions : qu'avons- nous fait ou pas fait pour en arriver là ? Pourquoi le nombre de féminicides ne baisse-t-il pas ? Qu'est-ce qui dysfonctionne toujours dans notre système de signalement et de prise en charge des victimes ? » Karine Dabadie est médecin légiste et, par ses expériences et ses réflexions, elle interroge notre rapport aux morts, mais aussi aux vivants. Cassant les représentations réductrices qui entourent son métier, elle se livre sur son quotidien et replace au centre de sa profession les notions de respect des corps et d'écoute qui l'animent, et qui sont indispensables à son travail auprès des femmes victimes de violences sexuelles et sexistes. Corps, corps, corps apporte un éclairage essentiel sur la condition des victimes et sur les manquements du système de leur prise en charge, à tous les niveaux. C'est un guide de survie autant qu'un appel à agir, qui nous rappelle à chaque page qu'il est inconcevable d'attendre l'irrémédiable. [-]
« Les scènes de crimes que j'y relate brièvement visent à se poser les bonnes questions : qu'avons- nous fait ou pas fait pour en arriver là ? Pourquoi le nombre de féminicides ne baisse-t-il pas ? Qu'est-ce qui dysfonctionne toujours dans notre système de signalement et de prise en charge des victimes ? » Karine Dabadie est médecin légiste et, par ses expériences et ses réflexions, elle interroge notre rapport aux morts, mais aussi aux vivants. ...[+]

MEDECIN ; VIOLENCE ; CORPS

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- 73
Le kit de formation « SELMA » est composé d'un court-métrage et d'un guide de formation qui donne les clés pour repérer la stratégie des agresseurs, identifier les différentes formes de violences, comprendre leurs impacts sur les victimes et en reconnaître les signaux, être en capacité d'intervenir pour signaler les violences et protéger les victimes.

Le film court traite de la question centrale du repérage des violences et du signalement. En effet, Selma, jeune animatrice de « colo » est confrontée à un agresseur en position d'autorité.

« SELMA » met également en scène une audition de témoin par les forces de sécurité.[-]
Le kit de formation « SELMA » est composé d'un court-métrage et d'un guide de formation qui donne les clés pour repérer la stratégie des agresseurs, identifier les différentes formes de violences, comprendre leurs impacts sur les victimes et en reconnaître les signaux, être en capacité d'intervenir pour signaler les violences et protéger les victimes.

Le film court traite de la question centrale du repérage des violences et du signalement. En ...[+]

VIOLENCE ; MINEUR ; OUTIL PEDAGOGIQUE

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- 143
La montée des médias sociaux a permis le développement d'une multitude de sous-cultures en ligne, dont les incels (involuntary celibates). En plus de plusieurs tueries commises par des hommes se revendiquant de cette communauté, les incels ont attiré une attention particulière en raison de leurs discours misogynes ainsi que leur vocabulaire et imaginaire singuliers. Ce mémoire de maîtrise porte sur les discours de la communauté masculiniste des incels : plus précisément, il s'agit d'une analyse critique et féministe de discours de 60 fils de conversations sur un forum incel, recueillis en juin 2024. Cette recherche a pour objectif de comprendre les constructions de sens et spécificités langagières qui contribuent au caractère misogyne, violent et dangereux de leurs discours. Cette ambition nous mène donc aux questions de recherche suivante : comment les discours des incels construisent, mettent en scène ou représentent les femmes ? (SQ1) Quelles sont les caractéristiques discursives des échanges entre incels sur Incels.is, et de quelles manières ces discours s'inscrivent-ils dans une rhétorique de domination masculine et de subordination des femmes ? (SQ2) Quelles formes prennent l'antiféminisme et la misogynie sur le forum Incels.is ? En expliquant la façon dont certains mythes concernant les femmes sont construits et reproduits à travers les discours, la visée de cette étude est de contribuer à une réflexion critique et féministe des normes de genres et des rapports sociaux genrés, tout en montrant le caractère performatif du langage.[-]
La montée des médias sociaux a permis le développement d'une multitude de sous-cultures en ligne, dont les incels (involuntary celibates). En plus de plusieurs tueries commises par des hommes se revendiquant de cette communauté, les incels ont attiré une attention particulière en raison de leurs discours misogynes ainsi que leur vocabulaire et imaginaire singuliers. Ce mémoire de maîtrise porte sur les discours de la communauté masculiniste des ...[+]

SOCIOLOGIE ; SEXISME ; MOUVEMENT MASCULINISTE ; VIOLENCE ; PATRIARCAT ; domination masculine

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- 288
Cote : E6 PER
À partir de plusieurs années d'enquête combinant observation du travail médical dans des centres d'IVG, enquête statistique et entretiens menés auprès de professionnelles et professionnels de santé, ce livre éclaire les causes et les mécanismes de l'asymétrie de la relation entre les patientes et le corps médical. Il en décrit les formes, souvent banales et invisibles, mais parfois brutales, par lesquelles les médecins orientent les comportements vers ce qui leur semble être les bonnes manières morales et sanitaires de vivre. En décrivant le processus d'intériorisation d'une position dominante des médecins et d'une position dominée des profanes, ce livre montre comment les corps sont gouvernés – en imposant la raison médicale même s'il faut outrepasser le consentement – il fournit ainsi un cadre pour comprendre les modalités par lesquelles le corps médical exerce une violence, pas seulement symbolique, sur le corps des femmes. Toutes les avortantes et toutes les demandes d'avortement ne se valent pas : selon leur classe sociale, leur couleur de peau, leur langue, leur âge, leurs comportements sexuels et procréatifs, les femmes accèdent plus ou moins facilement à l'avortement. En montrant comment le consentement « libre et éclairé » n'est le privilège que de quelques-unes, l'auteur éclaire le rôle que joue la médecine dans la production des inégalités et, à l'instant de l'école, de l'Eglise ou de la justice, dans l'institution et le maintien de l'ordre social.[-]
À partir de plusieurs années d'enquête combinant observation du travail médical dans des centres d'IVG, enquête statistique et entretiens menés auprès de professionnelles et professionnels de santé, ce livre éclaire les causes et les mécanismes de l'asymétrie de la relation entre les patientes et le corps médical. Il en décrit les formes, souvent banales et invisibles, mais parfois brutales, par lesquelles les médecins orientent les com...[+]

AVORTEMENT ; IVG ; LUTTE FEMINISTE ; ASPECT MEDICAL ; VIOLENCE

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- 128
11 500 mineurs en moyenne sont mis en cause chaque année pour des faits de violences sexuelles ; sur les 15 729 personnes mineures mises en cause pour au moins une infraction sexuelle en 2024 (+ 77 % comparé à 2017), 11 183 sont non poursuivables. Environ 30 % des agressions sexuelles sur mineurs sont commises par d'autres mineurs, souvent eux-mêmes victimes de violences dans leur enfance.

Les violences sexuelles ayant un mineur pour auteur sont très fortement genrées, puisque commises à 93 % par des garçons. Dans le cadre d'infractions pour proxénétisme, les jeunes filles représentent 40 % des auteurs poursuivies/condamnées.

Ce rapport de la commission d'audition publique dresse un état des lieux, aborde le sujet de l'évaluation et de l'expertise des mineurs auteurs de violences sexuelles (MAVS) ainsi que les modalités d'accompagnement des MAVS.

La commission d'audition publique liste 45 recommandations autour de quatre priorités :

mieux connaître : recueillir la parole des jeunes concernés et structurer le recueil de données (de santé, de justice, de protection de l'enfance) ;
évaluer tôt et accompagner les enfants, de façon spécifique et adaptée : dispositifs éducatifs spécialisés, saisine systématique du juge des enfants, guide national pour les professionnels ;
coordonner les acteurs pour une intercontenance autour de l'enfant : convention-cadre interinstitutionnelle, justice restaurative ;
prévenir pour protéger : soutien à la parentalité, éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle à l'école, contrôle effectif de l'accès à la pornographie.
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11 500 mineurs en moyenne sont mis en cause chaque année pour des faits de violences sexuelles ; sur les 15 729 personnes mineures mises en cause pour au moins une infraction sexuelle en 2024 (+ 77 % comparé à 2017), 11 183 sont non poursuivables. Environ 30 % des agressions sexuelles sur mineurs sont commises par d'autres mineurs, souvent eux-mêmes victimes de violences dans leur enfance.

Les violences sexuelles ayant un mineur pour auteur ...[+]

AUTEUR DE VIOLENCES ; VIOLENCE ; MINEUR ; VIOLENCE À L'EGARD DE L'ENFANT ; VIOLENCE SEXUELLE

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- 224
Cote : T&T 46
Violences de genre à l'encontre des groupes minorisés : catégories, démarches, analyses, par Pauline Delage, Émeline Fourment, Margot Giacinti, Tania Lejbowicz et Anna Perraudin

Sur qui compter ? Faire face aux violences conjugales en milieu rural et désindustrialisé, par Perrine Agnoux et Maeva Durand

Le harcèlement de rue en contexte de violences armées. Le cas des quartiers marginalisés de Medellín (Colombie), par Samantha Joeck

Violences de genre au sein des couples transnationaux à La Réunion. Un racisme invisibilisé par l'institution du mariage, par Mamaye Idriss

L'importance des violences de genre dans la production du sans-domicilisme caché des femmes, par Marie Loison

Sexe, genre et parenté dans la minorisation des filles de la famille à travers des cas d'inceste commis par des garçons, par Corentin Legras

Pouvoir médical, domination adulte et normes de genre. Les mécanismes de la violence à l'encontre des personnes intersexes, par Gaëlle Larrieu, Loé Petit et Michal Raz

Quand les violences de genre oublient le handicap. Éclairage à partir des expériences des femmes handicapées, par Célia Bouchet, Mathéa Boudinet et Amandine Couraud


Des politiques alimentaires sous influence « infrastructurelle » ? Trois enquêtes sur l'outillage de l'action publique par des acteurs privés, par Bastien Soutjis
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Violences de genre à l'encontre des groupes minorisés : catégories, démarches, analyses, par Pauline Delage, Émeline Fourment, Margot Giacinti, Tania Lejbowicz et Anna Perraudin

Sur qui compter ? Faire face aux violences conjugales en milieu rural et désindustrialisé, par Perrine Agnoux et Maeva Durand

Le harcèlement de rue en contexte de violences armées. Le cas des quartiers marginalisés de Medellín (Colombie), par Samantha Joeck ...[+]

VIOLENCE ; GENRE ; SOCIOLOGIE

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- 342
Cote : F6 CHA
Dans l'ombre, les violences sexuelles sont le quotidien de chacun.e de nous. Depuis 2017, #MeToo les met en lumière de manière inédite. Du monde du travail jusqu'au cœur des couples et des familles, en passant par l'Église, les témoignages, rendus publics sur les réseaux sociaux, par des commissions ou lors de procès retentissants, attestent encore et encore de l'ampleur des violences sexuelles dans tous les milieux et les demandes de justice se font toujours plus pressantes. Cependant les débats politiques et médiatiques occultent bien souvent les enjeux les plus profonds : ces violences ne sont pas des actes isolés, elles participent d'une structuration sociale plus large. Alors comment les concevoir ? Et comment lutter contre ?
Si la philosophie a été historiquement muette sur le sujet, les féministes élaborent des réponses théoriques et pratiques à ces questions depuis des décennies. Dans les années 1970, ces mouvements font émerger les violences sexuelles comme un problème politique : elles seraient le fondement même du genre – de ce qui fait "des hommes" et "des femmes". Mais ce modèle théorique est-il suffisant pour saisir l'ensemble de ces violences ? Comment l'articuler avec les autres logiques à l'œuvre dans leur perpétuation, au premier rang desquelles l'âge ?
En relisant les rapports entre violences sexuelles et genre, cet ouvrage appréhende les premières en tant qu'injustices sociales structurelles et jette une lumière nouvelle sur la façon de les penser dans leur diversité. Il esquisse alors, depuis les pratiques féministes, les conditions d'une justice qui serait véritablement transformative – une justice qui sera féministe, ou ne sera pas. [-]
Dans l'ombre, les violences sexuelles sont le quotidien de chacun.e de nous. Depuis 2017, #MeToo les met en lumière de manière inédite. Du monde du travail jusqu'au cœur des couples et des familles, en passant par l'Église, les témoignages, rendus publics sur les réseaux sociaux, par des commissions ou lors de procès retentissants, attestent encore et encore de l'ampleur des violences sexuelles dans tous les milieux et les demandes de justice se ...[+]

VIOLENCE ; VIOLENCE SEXUELLE ; VIOL ; PATRIARCAT ; LUTTE FEMINISTE ; PHILOSOPHIE

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y
- 288
Cote : G22 SOL
Comment répondre aux viols mais aussi empêcher qu'ils soient commis ? Comment faire face à l'inceste, et éviter sa reproduction de génération en génération ? Comment faire justice sans faire violence ? Ces questions sont au cœur de la justice transformatrice. Centrée sur les besoins des victimes, cette approche vise non seulement à réparer les torts, mais aussi à transformer les conditions qui les ont rendus possibles.

Pratiquée dès les années 1990 au sein des communautés noires américaines et portée principalement par des femmes et des minorités de genre engagées dans les luttes pour l'abolition de la police, cette alternative au système pénal reste pourtant largement méconnue en France.

Définitions, méthodes, témoignages, outils, perspectives critiques : ce livre s'adresse à celles et ceux qui constatent l'incapacité de la mécanique judiciaire à répondre aux besoins des personnes touchées par les violences, et qui désirent explorer d'autres formes de justice, loin des tribunaux et des commissariats.[-]
Comment répondre aux viols mais aussi empêcher qu'ils soient commis ? Comment faire face à l'inceste, et éviter sa reproduction de génération en génération ? Comment faire justice sans faire violence ? Ces questions sont au cœur de la justice transformatrice. Centrée sur les besoins des victimes, cette approche vise non seulement à réparer les torts, mais aussi à transformer les conditions qui les ont rendus possibles.

Pratiquée dès les années ...[+]

LUTTE FEMINISTE ; FEMINISME ; VIOLENCE ; JUSTICE ; Autogestion

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- 104
Cote : G22 TUA
Enfant, il suffisait qu'on me dise « Il faut souffrir pour être belle » ou « Il faut goûter pour savoir si on aime » pour que je préfère encore être moche et perde toute envie de toucher à mon assiette. Alors « Il faut faire confiance à la justice »… Pensez ! Pourtant, peut-être parce que j'avais envie de croire en elle, je suis devenue avocate. Et aujourd'hui, je me demande à quelle catégorie sociale protégée, à quel corps bienheureux il faut appartenir pour pouvoir dire, en matière de violences sexuelles, « Moi, je fais confiance à la justice ».

Comment faire confiance à une justice qui commence presque systématiquement par mettre en doute la parole des plaignantes ? Depuis #MeToo, les plaintes pour viol sont passées du simple au double. On estime que 94 % d'entre elles sont classées sans suite. Que 65 % des victimes de féminicide avaient saisi les forces de l'ordre ou la justice. Et que la vaste majorité des enfants ayant rapporté des violences sexuelles sont laissés sans protection.

Le parcours judiciaire est semé d'embûches pour les victimes que j'accompagne. Et quand je dis « embûches », j'euphémise, probablement pour me tenir à distance des innombrables maux que suscitent ces procédures. Découragement, lassitude, épuisement, victimisation secondaire, réactivation des traumatismes, colère, rage, incompréhension, désespoir, dépression, sidération… Jusqu'à la mort, parfois. Dans les cas où justice est rendue, on n'hésitera pas à crier à la moralisation de la société, aux hommes qui ne pourront bientôt plus prendre un ascenseur avec une femme, aux féministes qui vont trop loin et aux avocates féministes qui veulent piétiner la présomption d'innocence. Le reste du temps, la petite phrase « Il faut faire confiance à la justice », comme une ritournelle, continue de faire le tour de France des propos de comptoir.

Il faut bien s'efforcer, pourtant, de construire cette confiance en la justice. Parce que c'est elle qui pourra permettre de modifier durablement la loi d'airain de la domination masculine. Nous qui avançons dans notre fragilité extrême, qui tentons de déconstruire pour reconstruire, nous n'avons pas que nos larmes ou nos hurlements, contrairement à ce que l'on entend. Nous avons aussi des choses à apprendre aux personnes qui pensent aujourd'hui ne pas nous ressembler, qui sont écœurées quand elles entendent le mot « victime ». Nous avons beaucoup de force et de ressource. Et nous avons notre humanité.[-]
Enfant, il suffisait qu'on me dise « Il faut souffrir pour être belle » ou « Il faut goûter pour savoir si on aime » pour que je préfère encore être moche et perde toute envie de toucher à mon assiette. Alors « Il faut faire confiance à la justice »… Pensez ! Pourtant, peut-être parce que j'avais envie de croire en elle, je suis devenue avocate. Et aujourd'hui, je me demande à quelle catégorie sociale protégée, à quel corps bienheureux il faut ...[+]

PATRIARCAT ; LUTTE FEMINISTE ; JUSTICE ; DISCRIMINATION ; VIOLENCE ; VIOLENCE SEXUELLE ; domination masculine

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- 222
Cote : F43 IDI
Une vision nouvelle et approfondie de la répression des homosexuels au 20e siècle s'appuyant sur des archives encore largement inexploitées. Les témoignages exhumés des archives judiciaires et policières donnent vie à des histoires individuelles souvent tragiques. Alors qu'en France les politiques de réparation commencent à être débattues, Antoine Idier propose des pistes inédites en matière de justice transitionnelle.

HOMOSEXUALITE ; HISTOIRE ; REPRESSION DE LA SEXUALITE ; VIOLENCE

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- 80
Cote : F30 MED
[T'es au courant que ton pote est un violeur ?]
SMS de Zoé à 00 h 54.
Je sors de mon lit, traverse le couloir au radar et entre
dans sa chambre sans frapper. Elle sursaute et hurle :
— Non mais oh ! Ça va pas ? D'où tu rentres comme ça ?
— Et toi, d'où tu m'envoies des messages à la con
à une heure du matin ? Je dormais !
— Ah ! Tu trouves que c'est un message « à la con » ?
Sérieusement ?
— Bon, vas-y ! Accouche !
— Louis a violé une fille.
— Qu'est-ce que tu racontes ?[-]
[T'es au courant que ton pote est un violeur ?]
SMS de Zoé à 00 h 54.
Je sors de mon lit, traverse le couloir au radar et entre
dans sa chambre sans frapper. Elle sursaute et hurle :
— Non mais oh ! Ça va pas ? D'où tu rentres comme ça ?
— Et toi, d'où tu m'envoies des messages à la con
à une heure du matin ? Je dormais !
— Ah ! Tu trouves que c'est un message « à la con » ?
Sérieusement ?
— Bon, vas-y ! Accouche !
— Louis a violé une fille.
— ...[+]

VIOLENCE ; JEUNESSE ; ADOLESCENCE ; VIOL ; LITTERATURE JEUNESSE

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- 160
Cote : F6 SER
« Un livre essentiel qui retrace les contours et les enjeux des débats actuels sur le consentement. L'autrice nous y raconte une histoire trop souvent occultée par les partisanes du «non c'est non» ou du «oui c'est oui», celle de la rencontre entre le féminisme prohibitif et abolitionniste des sex wars et les approches néolibérales de la sexualité. Elle déchiffre et analyse avec finesse les récentes controverses autour du terme de consentement dans la loi et chez les militantes. Loin d'être simple et transparente, cette notion fait scission dans les rangs féministes. À la fois outil de légifération des violences sexuelles et clé d'une sexualité épanouie et jouissive, on attend du consentement qu'il soit partout à la fois (et aussi : explicite, enthousiaste, libre et éclairé, réversible, informé, spécifique…), tout en remettant en doute la capacité des femmes à le donner dans le cadre d'une société inégale et patriarcale. L'autrice nous conduit à travers ces méandres qui ont fait glisser les féministes et les législateurs vers un hypercontractualisme et une doctrine sécuritaire de la sexualité. À la fois critique et généreux dans son approche, cet ouvrage est un solide appui pour penser la complexité d'un sujet souvent victime de simplifications désastreuses. » Elsa Deck Marsault, autrice de Faire justice « Dans ce court mais puissamment argumenté ouvrage, Clara Serra, ex-députée Podemos à l'Assemblée de Madrid et chercheuse à l'Université de Barcelone, offre une analyse critique de la notion de « consentement », claire et simple à comprendre, et fondée sur un “grande confiance dans les possibilités du langage et du pacte explicite”. L'importance et l'opportunité de cette critique ne peut être ignorée au moment où la notion de consentement est adoptée par de nombreuses féministes en France, qui en font le cœur de propositions de loi. En Espagne, le consentement a conduit à l'adoption de la loi “solo si es si” (seul un oui est un oui), loi à laquelle Serra s'est opposée en tant que députée. La publication de l'ouvrage de Clara Serra enrichira le débat en France, d'une part parce qu'il décrit les conséquences d'une loi pensée au départ comme protectrice et qui se révèle disciplinaire pour les femmes, et d'autre part, parce que l'autrice rappelle que l'espace du désir (consentir n'est pas désirer), de la sexualité et du plaisir échappe à la transparence, que souhaitent autant les féministes abolitionnistes que les néolibérales du contrat. » Françoise Vergès, autrice de Un féminisme décolonial[-]
« Un livre essentiel qui retrace les contours et les enjeux des débats actuels sur le consentement. L'autrice nous y raconte une histoire trop souvent occultée par les partisanes du «non c'est non» ou du «oui c'est oui», celle de la rencontre entre le féminisme prohibitif et abolitionniste des sex wars et les approches néolibérales de la sexualité. Elle déchiffre et analyse avec finesse les récentes controverses autour du terme de consentement ...[+]

CONSENTEMENT ; VIOLENCE ; VIOLENCE SEXUELLE ; LUTTE FEMINISTE

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- 192
Cote : B2 LEW
Biologique ou choisie, traditionnelle ou réinventée, nucléaire ou élargie, Sophie Lewis n'épargne aucune famille. En organisant la pénurie et la privatisation du soin, du soutien et de l'attention, la structure familiale entrave la réappropriation collective des moyens de reproduction, seul chemin possible vers une société plus égalitaire. Dès lors, il ne suffit pas de faire famille autrement, mais il faut nous libérer de cette institution. Dans ce manifeste plein d'humour, l'autrice parcourt l'histoire du mouvement pour l'abolition de la famille : du socialisme utopique au féminisme radical en passant par la théorie communiste et les luttes contre l'imposition raciste du modèle familial.[-]
Biologique ou choisie, traditionnelle ou réinventée, nucléaire ou élargie, Sophie Lewis n'épargne aucune famille. En organisant la pénurie et la privatisation du soin, du soutien et de l'attention, la structure familiale entrave la réappropriation collective des moyens de reproduction, seul chemin possible vers une société plus égalitaire. Dès lors, il ne suffit pas de faire famille autrement, mais il faut nous libérer de cette institution. Dans ...[+]

FAMILLE ; RELATION FAMILIALE ; VIOLENCE ; PATRIARCAT ; CAPITALISME ; LUTTE FEMINISTE

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