En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

Documents RACISME 72 résultats

Filtrer
Sélectionner : Tous / Aucun
P Q
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° 199 - 28
Cote : clara 199
Le plus difficile, quand on parle de Camille Claudel, est d'en brosser un portrait juste. Est-ce qu'on parle trop de ses souffrances au détriment de son art, est-ce que, si l'on n'en parle pas assez, on nie la réalité de ce qu'elle a vécu ? Comment dire l'histoire complexe d'une artiste exceptionnelle quand elle a si peu pu la dire elle-même ?
📰 Le dossier complet sur Camille Claudel est à retrouver dans le dernier numéro de Clara-magazine.

FEMINISME ; ART ; RACISME ; IRAN ; LUTTE FEMINISTE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 99
Cote : CAU HS 24
Ce hors-série de Causette propose de faire la lumière sur ces femmes qui voyagent ou qui ont voyagé, clandestines ou conquérantes, en solo ou accompagnées et sur leur désir inextinguible de découverte et d'émerveillement.
A sommaire :
1. Les nouvelles voyageuses
2. Exploratrices de l'extrême
3. Pionnières et baroudeuses
4. Artistes en balade

FEMINISME ; FEMME ; MONDE ; RACISME ; FEMME ET CREATION ARTISTIQUE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
Pour LSD, Claire Richard fait entendre d'autres histoires de santé : communautaire, militante, associative. Face aux inégalités de santé, des médecins, des patients, des chercheurs expérimentent d'autres façons de faire du soin.

SANTE ; MEDECINE ; santé communautaire ; RACISME

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 128
Cote : F6 SOU
Les femmes noires et racisées sont largement absentes du débat public lorsqu'il est question de violences sexuelles. Kharoll-Ann Souffrant explore les raisons historiques de ce constat à partir d'exemples tirés du Québec, de la France et des États-Unis. Entre les impacts de la colonisation et de l'esclavage, les stéréotypes liés à la sexualité des Noir·es ainsi que les failles du système de justice, elle révèle les dynamiques à l'oeuvre derrière la marginalisation des femmes afrodescendantes. La parole des survivantes noires serait-elle doublement invisibilisée, tant par les institutions patriarcales que par un certain féminisme blanc et libéral qui aurait accaparé le mouvement #MeToo?[-]
Les femmes noires et racisées sont largement absentes du débat public lorsqu'il est question de violences sexuelles. Kharoll-Ann Souffrant explore les raisons historiques de ce constat à partir d'exemples tirés du Québec, de la France et des États-Unis. Entre les impacts de la colonisation et de l'esclavage, les stéréotypes liés à la sexualité des Noir·es ainsi que les failles du système de justice, elle révèle les dynamiques à l'oeuvre derrière ...[+]

Coup de coeur ; RACISME ; VIOLENCE ; VIOLENCE SEXUELLE ; METOO

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
Plus diplômées, plus mobiles, plus autonomes : le profil des femmes migrantes, aujourd'hui majoritaires en France, a évolué. Entre violences spécifiques sur le parcours et stéréotypes tenaces à l'arrivée, leur expérience diffère de celle des hommes. Que révèle l'exil de la condition féminine ?

FEMME ; FEMME IMMIGREE ; exil ; MIGRATION ; RACISME ; STEREOTYPE ; VIOLENCE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 336
Cote : A32 PRO
L'oppression est limitation d'une expérience, assignation d'un corps. L'oppression suppose le sujet sur lequel elle s'exerce, elle n'est étouffement qu'en étant insupportable. Si l'expérience de l'oppression prépare une résistance possible, c'est parce qu'elle est d'emblée paradoxale. En montrant que l'oppression caractérise indissociablement une violence sociale objective et la manière dont celle-ci est singulièrement perçue, éprouvée et signifiée, ce livre cherche à penser l'oppression en termes d'expérience vécue. Afin d'élucider comment elle affecte les corps, les rapports intersubjectifs ou les relations à la temporalité et à l'espace vécu, l'ouvrage déploie une phénoménologie allant au coeur de l'objectif et du subjectif, des rapports sociaux et des expériences ordinaires. Faisant résonner les oeuvres de Simone de Beauvoir et de Frantz Fanon avec les textes de Richard Wright ou ceux de la pensée féministe contemporaine, l'autrice met au jour certaines dimensions typiques du vécu d'oppression et ouvre une voie nouvelle pour conceptualiser l'expérience, la subjectivité et les corps en tant qu'ils sont traversés par le sexisme et le racisme. Mais l'analyse ne s'attache pas simplement aux dépossessions et blocages suscités par l'oppression : elle envisage l'expérience dans ses possibilités et devenirs, ouvrant la voie d'une phénoménologie des résistances politiques.[-]
L'oppression est limitation d'une expérience, assignation d'un corps. L'oppression suppose le sujet sur lequel elle s'exerce, elle n'est étouffement qu'en étant insupportable. Si l'expérience de l'oppression prépare une résistance possible, c'est parce qu'elle est d'emblée paradoxale. En montrant que l'oppression caractérise indissociablement une violence sociale objective et la manière dont celle-ci est singulièrement perçue, éprouvée et ...[+]

DISCRIMINATION ; SEXISME ; RACISME ; FEMINISME ; PHILOSOPHIE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 168
Cote : A32 TAI
Le paradigme identitaire et son corollaire, l'intersectionnalité, s'invitent désormais dans toutes les discussions, exacerbant les conflits et polarisant les opinions. Forgés dans les années 1970 pour créer des ponts entre toutes les luttes contre les différentes oppressions, ils sont aujourd'hui trop souvent utilisés pour resserrer les rangs autour de causes de plus en plus restreintes.

Mais, comme le démontre Olúfémi O. Táíwò, ce n'est pas le paradigme identitaire qui pose problème. Grâce à une connaissance intime de la tradition radicale noire et une compréhension critique des mécanismes de domination sociale, le philosophe décrit ici comment les élites instrumentalisent les luttes identitaires en les vidant de leur substance politique et de leur potentiel libérateur. Il incite à rejeter tout discours identitaire émanant de celles et ceux à qui profite l'injustice sociale, et plaide pour une approche constructive de solidarité émancipatrice. Une réflexion cruciale pour envisager la possibilité réelle de s'organiser au-delà de nos différences dans la lutte urgente pour un monde meilleur.

Figure montante de la philosophie américaine, Olúfémi O. Táíwò est professeur associé à l'université de Georgetown. Il écrit pour divers journaux et magazines, dont The Nation, Jacobin et The New Republic. Il est également l'auteur de Reconsidering Reparations (Oxford University Press, 2022). [-]
Le paradigme identitaire et son corollaire, l'intersectionnalité, s'invitent désormais dans toutes les discussions, exacerbant les conflits et polarisant les opinions. Forgés dans les années 1970 pour créer des ponts entre toutes les luttes contre les différentes oppressions, ils sont aujourd'hui trop souvent utilisés pour resserrer les rangs autour de causes de plus en plus restreintes.

Mais, comme le démontre Olúfémi O. Táíwò, ce n'est pas le ...[+]

INTERSECTIONNALITE ; DISCRIMINATION ; CLASSE SOCIALE ; LUTTE FEMINISTE ; identité ; POLITIQUE ; RACISME

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 320
Cote : G10 V
L'infatigable V a été de tous les combats (féminisme, antiracisme, LGBT-phobies, lutte contre le sida), toujours à l'épicentre de l'activisme. Activiste culte célébrée dans le monde entier depuis le succès extraordinaire de ses Monologues du vagin, V a consacré plus de quarante ans de sa vie à faire entendre la parole des femmes. Faire face, autobiographie composite, faite de textes rédigés à toutes les époques de sa vie, revient sur ses combats. Naviguant brillamment entre l'intime et le politique, mêlant les formes littéraires, V explore les traumatismes de son enfance, emmène les lecteurs au camp de Theresienstad, en Oklahoma ou dans un centre d'accueil pour femmes au Congo. En évoquant des sujets aussi variés que l'urgence climatique, les sans-domicile, le colonialisme, l'amitié et le patriarcat, l'autrice donne à voir la richesse et la profondeur de sa pensée. À la fois manuel de survie, réflexion sur l'Histoire et appel au pardon et à l'amour, Faire face emprunte avec courage le chemin de la liberté.[-]
L'infatigable V a été de tous les combats (féminisme, antiracisme, LGBT-phobies, lutte contre le sida), toujours à l'épicentre de l'activisme. Activiste culte célébrée dans le monde entier depuis le succès extraordinaire de ses Monologues du vagin, V a consacré plus de quarante ans de sa vie à faire entendre la parole des femmes. Faire face, autobiographie composite, faite de textes rédigés à toutes les époques de sa vie, revient sur ses ...[+]

TEMOIGNAGE ; FEMINISME ; LUTTE FEMINISTE ; DISCRIMINATION ; RACISME ; LGBT ; IST SIDA ; PATRIARCAT

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 96
Cote : A3 OBS
Pour la première fois, un ouvrage réunit des preuves chiffrées des discriminations en France, que leur motif soit la couleur de peau, l'origine, le sexe, le handicap, l'orientation sexuelle, l'identité de genre ou encore l'appartenance syndicale. Il apporte également les explications utiles sur la définition et la mesure des discriminations.

DISCRIMINATION ; SOCIOLOGIE ; INEGALITE HOMME-FEMME ; RACISME ; HANDICAP ; ORIENTATION SEXUELLE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 400
Cote : A5 SUD
L'école républicaine française est un espace où nommer et analyser les les formes institutionnelles du racisme peut s'avérer périlleux. En 2017, le syndicat SUD Éducation 93 organise un stage de formation à la pédagogie antiraciste destiné à la communauté éducative, qui fera l'objet d'attaques judiciaires et médiatiques sans précédent. Au-delà de la controverse, l'ouvrage revient sur les outils proposés au cours des stages préparés par la commission antiraciste du syndicat donnant ainsi accès à une ressource pionnière en la matière en France. Les analyses des rouages du racisme à l'école se mêlent à des contributions d'enseignantxes, de CPE, d'assistantxes d'éducation et de parents pour intégrer concrètement l'antiracisme aux méthodes d'apprentissage et d'accueil des élèves et de leur famille. Empruntant à la pensée de bell hooks, Amílcar Cabral, Élise et Célestin Freinet ou Paulo Freire, Entrer en pédagogie antiraciste met en avant une multiplicité de démarches.[-]
L'école républicaine française est un espace où nommer et analyser les les formes institutionnelles du racisme peut s'avérer périlleux. En 2017, le syndicat SUD Éducation 93 organise un stage de formation à la pédagogie antiraciste destiné à la communauté éducative, qui fera l'objet d'attaques judiciaires et médiatiques sans précédent. Au-delà de la controverse, l'ouvrage revient sur les outils proposés au cours des stages préparés par la ...[+]

EDUCATION ; ÉDUCATION POPULAIRE ; RACISME ; OUTIL PEDAGOGIQUE ; DISCRIMINATION

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 176
Cote : G7 KAR
Mes larmes étaient celles d'un désenchantement : un désenchantement féministe. J'avais échoué à trouver les mots qui auraient fait douter ces femmes de leur offensive contre d'autres femmes, de leur trahison d'un féminisme universel, de leur aveuglement par des biais racistes et islamophobes. Puisque l'islamisme était l'ennemi, celles qui affichaient leur adhésion à l'islam devenaient à leurs yeux l'incarnation de ce danger, et se retrouvaient exclues des luttes pour les droits des femmes.

Mais les femmes musulmanes ne sont-elles pas des femmes ?

Maîtresse de conférences en sociologie à l'université de Strasbourg, Hanane Karimi déploie ici une réflexion sur la « nouvelle laïcité », l'islamophobie et l'héritage colonial français pour montrer comment les femmes musulmanes, désignées comme des ennemies de l'intérieur, se voient refuser l'accès à une citoyenneté pleine et entière, à l'espace public et à l'arène politique – voire, tout simplement, le fait d'être des femmes dignes d'avoir des droits.[-]
Mes larmes étaient celles d'un désenchantement : un désenchantement féministe. J'avais échoué à trouver les mots qui auraient fait douter ces femmes de leur offensive contre d'autres femmes, de leur trahison d'un féminisme universel, de leur aveuglement par des biais racistes et islamophobes. Puisque l'islamisme était l'ennemi, celles qui affichaient leur adhésion à l'islam devenaient à leurs yeux l'incarnation de ce danger, et se retrouvaient ...[+]

DISCRIMINATION ; INTERSECTIONNALITE ; RACISME ; islamophobie ; LAICITE ; colonialisme ; FEMME

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 176
Cote : G10 NOM
Des meufs comme moi sont des ovnis et tout le monde me le montre sans cesse. J'absorbe toutes les violences quotidiennes, j'encaisse les petits regards, les incompréhensions. Je prends sur moi. J'avale. La frustration s'amasse et quand c'est trop, tout ressort d'un coup et sans crier gare. Je suis incapable de dire stop parce que, paradoxalement, je sais qu'on attend de moi que j'accepte tout, que j'encaisse tout, et que je dise merci d'être arrivée jusque-là.

Aloé, femme noire, en surpoids, queer et pauvre, n'a pas toujours manqué d'estime d'elle-même. Mais d'innombrables regards, remarques, violences quotidiennes se sont chargés de lui attribuer une place et de lui faire comprendre qu'elle devrait s'en contenter. Loin d'accepter cette violence qu'il serait si simple de renvoyer, elle choisit d'aimer – car l'heure de l'amour a sonné.

L'Amour de nous-mêmes est le premier roman d'Erika Nomeni, afroqueer, autrice-compositrice, rappeuse et DJ. Elle vit et travaille à Marseille depuis 2016.[-]
Des meufs comme moi sont des ovnis et tout le monde me le montre sans cesse. J'absorbe toutes les violences quotidiennes, j'encaisse les petits regards, les incompréhensions. Je prends sur moi. J'avale. La frustration s'amasse et quand c'est trop, tout ressort d'un coup et sans crier gare. Je suis incapable de dire stop parce que, paradoxalement, je sais qu'on attend de moi que j'accepte tout, que j'encaisse tout, et que je dise merci d'être ...[+]

queer ; TEMOIGNAGE ; RACISME ; IMAGE DE LA FEMME ; VIOLENCE ; Grossophobie ; PRECARITE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 48
Le zine que vous tenez entre les mains est un recueil de texte qui parle handicap et politique. La majorité des textes ont été publiés sur les internets entre 2020 et 2023 et sont de la même auteure, aussi à l'origine de cet objet.
L'idée ici, c'est d'observer le handicap sous un angle politique et intersectionnel. Ça paraît peut-être logique pour certain·es, que c'est un truc politique, mais je sais que ce n'est pas une évidence pour tout le monde, même dans les milieux militants.
On va parler de validisme, ce système de pensée qui considère que la valeur d'un être humain se mesure à sa capacité à respecter des normes physiques, cognitives ou psychiques. Et, parce que ce système d'oppressions n'existe pas en vase clos, on va aussi causer de comment ça s'imbrique avec le reste, et les conséquences que ça peut avoir.[-]
Le zine que vous tenez entre les mains est un recueil de texte qui parle handicap et politique. La majorité des textes ont été publiés sur les internets entre 2020 et 2023 et sont de la même auteure, aussi à l'origine de cet objet.
L'idée ici, c'est d'observer le handicap sous un angle politique et intersectionnel. Ça paraît peut-être logique pour certain·es, que c'est un truc politique, mais je sais que ce n'est pas une évidence pour tout le ...[+]

validisme ; HANDICAP ; LUTTE FEMINISTE ; RACISME ; POLITIQUE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 288
Cote : A32 BIL
Lieu commun dans les sciences sociales et dans certains cercles militants, féministes et antiracistes en particulier, la notion d'intersectionnalité alimente dernièrement l'une des grandes paniques morales dont notre époque est coutumière : elle serait synonyme de « communautarisme », de « séparatisme ». Ce n'est absolument pas le cas, comme le montre ce livre riche, synthétique et vivant, qui a pour ambition d'introduire le concept auprès d'un large lectorat. Il s'agit d'un outil d'analyse des situations de tort, généralement constituées d'oppressions imbriquées. L'analyse intersectionnelle ne consiste pas à plaquer des notions génériques (la triade « race, classe, genre ») sur des faits, mais à développer une perception fine et située du caractère relationnel des oppressions.

L'intersectionnalité est en outre une pratique critique ayant la justice sociale pour horizon. En ce sens, elle ne se réduit pas au champ académique, loin de là. Les autrices font commencer son histoire dans les années 1960-1970, avec les pratiques intellectuelles et politiques de femmes non blanches et, plus spécifiquement encore, avec le féminisme noir et chicano de cette période. Puis elles expliquent comment cette approche s'est institutionnalisée et mondialisée à partir de la fin des années 1980. La pédagogie critique inspirée de Paulo Freire constitue un autre axe généalogique, plus inattendu, développé dans l'ouvrage. Ni communautariste, ni individualiste, ni victimaire, l'approche intersectionnelle souligne donc le caractère social et concret des identités, individuelles comme collectives, dans une perspective émancipatrice.[-]
Lieu commun dans les sciences sociales et dans certains cercles militants, féministes et antiracistes en particulier, la notion d'intersectionnalité alimente dernièrement l'une des grandes paniques morales dont notre époque est coutumière : elle serait synonyme de « communautarisme », de « séparatisme ». Ce n'est absolument pas le cas, comme le montre ce livre riche, synthétique et vivant, qui a pour ambition d'introduire le concept auprès d'un ...[+]

INTERSECTIONNALITE ; SCIENCES HUMAINES ; LUTTE FEMINISTE ; FEMINISME ; RACISME

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 150
Cote : G11 DEV
Le colorisme est un sous-produit du racisme et hiérarchise les personnes en fonction de la teinte de leur peau : plus elle est claire, plus elle est appréciée et valorisée - dans le domaine esthétique, intellectuel, ou professionnel, avec des différences entre les hommes et les femmes. Les origines violentes du colorisme remontent au temps de l'esclavage et de la colonialité, où les enfants métis·ses illégitimes des maîtres bénéficiaient de privilèges basés sur leur proximité d'avec la norme européenne, alors seul modèle d'humanité. Mais la grande conquête des mouvements sociaux actuels est d'avoir réuni l'ensemble des Noir·es, des carnations les plus foncées aux plus claires, mettant ainsi fin à un éclatement qui opposait des personnes de la même communauté et niait tout l'éventail des négritudes de la diaspora. Pour l'autrice, la lutte antiraciste passe par la lutte contre le colorisme. Les Noir·es à peau claire, tout en reconnaissant certains de leurs privilèges, peuvent aussi vivre pleinement leur négritude. Alessandra Devulsky est avocate, docteure en droit économique et financier de l'Université de Sao Paulo. Elle vit aujourd'hui à Montréal, où elle enseigne à l'université du Québec.[-]
Le colorisme est un sous-produit du racisme et hiérarchise les personnes en fonction de la teinte de leur peau : plus elle est claire, plus elle est appréciée et valorisée - dans le domaine esthétique, intellectuel, ou professionnel, avec des différences entre les hommes et les femmes. Les origines violentes du colorisme remontent au temps de l'esclavage et de la colonialité, où les enfants métis·ses illégitimes des maîtres bénéficiaient de ...[+]

RACISME ; DISCRIMINATION ; IMAGE DE LA FEMME ; colonialisme

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 203
Cote : G10 ADJ
Émancipées, diplômées et féministes, de nombreuses jeunes femmes d'origine maghrébine dissimulent leur vie sentimentale à leur famille pour pouvoir aimer un homme blanc, non musulman. Écartelées entre désir d'affranchissement et injonctions familiales, elles mènent une double vie construite sur le mensonge : vacances inventées, photos cachées, traces effacées.
À 27 ans, Rahma Adjadj, journaliste, appartient à cette génération lassée de mentir. Elle s'interroge sur ce qui la pousse à protéger ses parents de sa vérité inavouable et découvre une histoire familiale lestée de souffrances. Elle sonde aussi ses propres tabous : le racisme intériorisé, le rejet de sa culture et des hommes maghrébins.
Avec ce livre, elle se révèle telle qu'elle est : une transgressive.
Un témoignage fondamental pour toutes celles qui, déchirées, ne veulent plus se taire.[-]
Émancipées, diplômées et féministes, de nombreuses jeunes femmes d'origine maghrébine dissimulent leur vie sentimentale à leur famille pour pouvoir aimer un homme blanc, non musulman. Écartelées entre désir d'affranchissement et injonctions familiales, elles mènent une double vie construite sur le mensonge : vacances inventées, photos cachées, traces effacées.
À 27 ans, Rahma Adjadj, journaliste, appartient à cette génération lassée de mentir. ...[+]

TEMOIGNAGE ; RACISME ; DISCRIMINATION ; LUTTE FEMINISTE ; FEMINISME

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 150
Cote : F6 ALE
Comment vivre ensemble en ville ? Quelle place les femmes occupent-elles dans l'espace urbain, malgré la quotidienneté du sexisme ? Quelles expériences de la ville ont les minorités de genre et de sexualité ou bien encore les personnes victimes de racisme ? Et que font (ou ne font pas) les témoins des discriminations qui s'y déroulent ? Au travers de multiples enquêtes statistiques et d'entretiens approfondis, deux sociologues tentent de restituer les pleins et les déliés d'un espace public marqué par les opprobres, les injures, les craintes, les discriminations, les sentiments de relégation, d'ostracisme.... Car l'espace public n'est pas neutre. S'il génère du lien social, il est aussi excluant - de manière parfois non intentionnelle, mais toujours blessante, laissant ainsi des traces profondes dans les vies des personnes discriminées.[-]
Comment vivre ensemble en ville ? Quelle place les femmes occupent-elles dans l'espace urbain, malgré la quotidienneté du sexisme ? Quelles expériences de la ville ont les minorités de genre et de sexualité ou bien encore les personnes victimes de racisme ? Et que font (ou ne font pas) les témoins des discriminations qui s'y déroulent ? Au travers de multiples enquêtes statistiques et d'entretiens approfondis, deux sociologues tentent de ...[+]

DISCRIMINATION ; LGBT ; SEXISME ; MILIEU URBAIN ; RACISME

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° 194 - 28
Cote : Clara 194
Dossier : Iran, les femmes défient l'idéologie islamiste
Egalement au sommaire :
-Inflation : l'impact des inégalités femmes-hommes
- Dulcie September : à quand la vérité ?
- Lutte contre le sexisme : les vêtements pour enfants
- Honduras : une longue route vers l'égalité

MOUVEMENT DES FEMMES ; FEMINISME ; IRAN ; LUTTE FEMINISTE ; RACISME ; INEGALITE HOMME-FEMME ; SEXISME

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° 8 - 100
Cote : PAN 8
Pendant que les champs brûlent, on apprendra pourquoi Elio Maldonado Granda s'est écroulé de soif au milieu d'une exploitation provençale ; on découvrira que les féministes ne cassent pas l'ambiance seulement en soirée, mais aussi au travail; on lira dans les blessures d'anciens manuscrits arabes en écoutant le silence du corps des vieilles et des vieux ; dans le New York des années 1960, on attendra la butch en pleurant la mort d'un amant sur une plage de cruising ; on se consolera auprès de toutous rebelles, avant de comprendre que la résilience avec laquelle on nous rebat les oreilles n'est que la doctrine de ceux qui aiment jouer à la guerre ; on se réfugiera dans le chocolat, mais on s'arrêtera en apprenant qu'il fond plus vite que le colonialisme ; on se mettra en cortège, de la colère sous nos jupons puis, lasses mais pleines d'espoir, on se laissera bercer par Monique, qui nous dira la bonne aventure. À un moment, on fera les comptes. On parlera cash, thunes, money money money. Voilà longtemps qu'on ne se demande plus si l'argent fait le bonheur, mais plutôt comment sortir du Flouze complet.[-]
Pendant que les champs brûlent, on apprendra pourquoi Elio Maldonado Granda s'est écroulé de soif au milieu d'une exploitation provençale ; on découvrira que les féministes ne cassent pas l'ambiance seulement en soirée, mais aussi au travail; on lira dans les blessures d'anciens manuscrits arabes en écoutant le silence du corps des vieilles et des vieux ; dans le New York des années 1960, on attendra la butch en pleurant la mort d'un amant sur ...[+]

ARGENT ; LUTTE FEMINISTE ; TRAVAIL ; RACISME

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° 5 - 144
Cote : LDEFE 5
Dans ce cinquième numéro, retrouvez notre dossier central sur le thème « PARLER » : une enquête sur les groupes de parole comme outils d'émancipation ; un reportage où l'on suit une orthophoniste accompagnant des personnes trans dans la recherche de leur identité vocale ; un récit d'Axelle Jah Njiké qui revient sur le silence autour des violences subies par les femmes noires ou encore un décryptage de l'expression « On ne peut plus rien dire ».

À découvrir également dans nos pages, la rencontre inédite entre l'actrice Adèle Haenel et la journaliste Rokhaya Diallo, un article sur les collectifs de collages féministes, une carte blanche d'Amanda Devi sur l'écrivaine Sylvia Plath, une BD signée Claire Braud, un retour sur la candidature de Ségolène Royal, en 2007 et les attaques sexistes dont elle a fait l'objet et enfin un débat intitulé : « Droits des femmes, droits des enfants, même combat ? »[-]
Dans ce cinquième numéro, retrouvez notre dossier central sur le thème « PARLER » : une enquête sur les groupes de parole comme outils d'émancipation ; un reportage où l'on suit une orthophoniste accompagnant des personnes trans dans la recherche de leur identité vocale ; un récit d'Axelle Jah Njiké qui revient sur le silence autour des violences subies par les femmes noires ou encore un décryptage de l'expression « On ne peut plus rien dire ». ...[+]

FEMINISME ; LUTTE FEMINISTE ; SEXISME ; POLITIQUE ; DIALLO, Rokhaya ; HAENEL, Adèle ; RACISME ; INTERSECTIONNALITE ; DROITS DES FEMMES ; DROIT DE L'ENFANT ; POESIE

Favoris

Filtrer

Type
Référence
Descripteurs

J Plus

Date de parution

!4d=exec;Select ("02";"$0201";"21";"="))!!4d=insert;Requete_Libelle!