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y
- 342
Cote : G22 MAS
Le féminisme change-t-il la vie ? Ressurgie dans le sillage du mouvement #MeToo, cette question se pose à chaque grande vague de mobilisation féministe. Dans les années 1970, les mouvements féministes qui clament que « le privé est politique » aspirent précisément à changer la vie des femmes. Le corps, la sexualité, le couple, les tâches domestiques, l'éducation des enfants sont autant de sujets dont les féministes se saisissent alors pour les politiser. Les transformations sociales et politiques engendrées par ces mobilisations sont aujourd'hui connues et célébrées comme des acquis. Moins spectaculaires et plus difficiles à saisir, les révolutions intimes qu'elles ont entraînées à l'échelle individuelle sont davantage restées dans l'ombre. Ces femmes sont-elles parvenues à se libérer de certains carcans grâce à leur engagement ? Quel écho la contestation du patriarcat a-t-elle eu sur leur sexualité et leurs relations de couple ? Comment ont-elles élevé leurs enfants ? Leurs filles et leurs fils sont-ils devenus féministes à leur tour ? À partir d'une enquête sociologique inédite menée auprès de deux générations, ce livre examine l'empreinte laissée par la politisation du privé dans la vie de ces féministes ordinaires et celle de leurs enfants. Il offre une perspective nouvelle sur les effets à long terme de ce mouvement historique et sur sa contribution au changement social et à la transformation du genre, éclairant en retour les mobilisations féministes contemporaines.[-]
Le féminisme change-t-il la vie ? Ressurgie dans le sillage du mouvement #MeToo, cette question se pose à chaque grande vague de mobilisation féministe. Dans les années 1970, les mouvements féministes qui clament que « le privé est politique » aspirent précisément à changer la vie des femmes. Le corps, la sexualité, le couple, les tâches domestiques, l'éducation des enfants sont autant de sujets dont les féministes se saisissent alors pour les ...[+]

Coup de coeur ; FEMINISME ; HISTOIRE ; FAMILLE ; LUTTE FEMINISTE ; PATRIARCAT ; SEXUALITE

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y
- 66
Cote : EPE HS8
Présumés coupables ! Régulièrement, les parents sont montrés du doigt, soupçonnés de mal éduquer leurs enfants, d'être responsables de leurs mauvais comportements. Ils craignent le regard des institutions et des professionnels, se sentent jugés, au point de ne plus oser demander de l'aide, même lorsqu'ils ont conscience d'être perdus ou dépassés. Bien sûr, il n'est pas question de nier que des violences peuvent s'exercer au sein de la sphère familiale. Protéger les enfants victimes est un impératif. Mais nul n'a à gagner à considérer par principe les parents comme défaillants, démissionnaires, incompétents… La plupart font ce qu'ils peuvent, pris entre des injonctions multiples, dans un contexte social fragilisé et des conditions de vie parfois difficiles.

Comment les accompagner sans les stigmatiser ? Permettre à ceux qui en ont besoin d'accepter un appui, sans dévaloriser leur rôle ni leur dénier toute compétence ? Trouver ensemble – parents, professionnels, institutions – des réponses aux difficultés de l'exercice de la parentalité ? Un beau défi, qui commence par l'écoute : c'était l'objectif d'un colloque organisé en octobre par la Fédération nationale des parents et des éducateurs dont ce hors-série rend compte, tout en proposant d'autres contenus, afin de prolonger la réflexion.[-]
Présumés coupables ! Régulièrement, les parents sont montrés du doigt, soupçonnés de mal éduquer leurs enfants, d'être responsables de leurs mauvais comportements. Ils craignent le regard des institutions et des professionnels, se sentent jugés, au point de ne plus oser demander de l'aide, même lorsqu'ils ont conscience d'être perdus ou dépassés. Bien sûr, il n'est pas question de nier que des violences peuvent s'exercer au sein de la sphère ...[+]

PARENTALITE ; FAMILLE ; ENFANT ; VIOLENCE ; ACCOMPAGNEMENT

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y
- n° 655 - 88
Cote : EPE 655
Manque de places, souffrance au travail, dysfonctionnements aux conséquences parfois dramatiques… Ces derniers mois, l'accueil du jeune enfant fait régulièrement la une de l'actualité. Cinq ans après la remise du rapport sur les 1000 premiers jours et alors que le Service public de la petite enfance est entré en vigueur (le 1er janvier), il était temps pour L'école des parents de faire le point sur ce sujet brûlant.

Que va concrètement changer cette évolution pour les familles ? Où en sont les chantiers amorcés pour redresser ce secteur, frappé par une pénurie de professionnels inédite ? Comment accueillir chaque enfant avec considération et respect, répondre aux besoins spécifiques de certains ? Confier son enfant – qui va vivre ainsi un moment essentiel de son autonomisation – à un professionnel pour reprendre le travail représente une étape cruciale, mais trop souvent anxiogène. Les questions soulevées ici, loin de concerner les seuls parents, constituent une véritable problématique sociétale. À ce titre, ce dossier mérite aussi toute l'attention des pouvoirs publics ![-]
Manque de places, souffrance au travail, dysfonctionnements aux conséquences parfois dramatiques… Ces derniers mois, l'accueil du jeune enfant fait régulièrement la une de l'actualité. Cinq ans après la remise du rapport sur les 1000 premiers jours et alors que le Service public de la petite enfance est entré en vigueur (le 1er janvier), il était temps pour L'école des parents de faire le point sur ce sujet brûlant.

Que va concrètement changer ...[+]

PARENTALITE ; ENFANCE ; SERVICE PUBLIC ; FAMILLE ; ENFANT ; professionnels petite enfance

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y
- 178
Cote : DIA 247
Les contextes social, culturel et économique des familles ne sont aujourd'hui plus ceux de la naissance de la psychanalyse et de la plupart des sciences humaines et sociales. Le remplacement de l'autorité paternelle par l'autorité parentale conjointe, la disjonction du sexuel et de la parenté, l'apparition de nouvelles manières de faire couple et de devenir parents, une certaine redistribution des rôles entre femmes et hommes constituent une nouvelle donne pour l'advenue des sujets et la construction des liens. La figure du père, capable de soutenir une limite au désir incestueux et d'être l'agent de la castration, nécessaire, n'épuise pas la fonction paternelle. Beaucoup d'hommes et de femmes refusent cette réduction et tâtonnent pour passer à d'autres versions : le père contemporain est ainsi appelé par l'enfant et par la mère à être aussi témoin, passeur, soutien, interdicteur, conciliateur, médiateur. L'homme qui devient un père est soumis à un temps de remodelages intrapsychiques, intersubjectifs et psychosomatiques intenses, mettant en jeu son couple et son transgénérationnel.

La clinique contemporaine des couples et des familles nous oblige à repenser les fonctions paternelle et maternelle en les distinguant des rôles sociaux par lesquelles elles s'exercent, des relations réelles qui les incarnent, des figures identificatoires qui les médiatisent, des imagos qui en restent dans le psychisme. A partir d'une élaboration des processus psychiques en jeu et de dispositifs cliniques, ce numéro interroge comment ces changements modifient les figures et les fonctions contemporaines du père.[-]
Les contextes social, culturel et économique des familles ne sont aujourd'hui plus ceux de la naissance de la psychanalyse et de la plupart des sciences humaines et sociales. Le remplacement de l'autorité paternelle par l'autorité parentale conjointe, la disjonction du sexuel et de la parenté, l'apparition de nouvelles manières de faire couple et de devenir parents, une certaine redistribution des rôles entre femmes et hommes constituent une ...[+]

PRATIQUE PROFESSIONNELLE ; FAMILLE ; PARENTALITE ; RELATION PERE-ENFANT

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2y
- 88
La Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) publie un Dossier qui donne à voir le point de vue des pères sur la manière dont se négocie la répartition des temps à la fois dans la sphère professionnelle mais aussi dans la famille, et comment s'organisent au quotidien les temps de la vie privée deux ans après la naissance d'un enfant. Ce dossier s'appuie sur les données issues d'une enquête qualitative menée en 2023 auprès de certains des pères interrogés dans l'enquête Modes de garde et d'accueil des jeunes enfants réalisée par la DREES en 2021.[-]
La Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) publie un Dossier qui donne à voir le point de vue des pères sur la manière dont se négocie la répartition des temps à la fois dans la sphère professionnelle mais aussi dans la famille, et comment s'organisent au quotidien les temps de la vie privée deux ans après la naissance d'un enfant. Ce dossier s'appuie sur les données issues d'une enquête qualitative ...[+]

PATERNITE ; CONGE PARENTAL ; FAMILLE ; INEGALITE HOMME-FEMME

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y
- 7
Fin 2021, 12 % des enfants de moins de 6 ans vivent dans une famille monoparentale, majoritairement chez leur mère (83 %). Si, parmi les jeunes enfants concernés, 13 % passent un week-end sur deux et la moitié des vacances scolaires chez leur père, 25 % – soit environ
130 000 enfants – n'ont aucun contact avec lui. La séparation des parents est plus souvent précoce pour ces enfants et la situation des familles, plus précaire.
Afin de s'organiser au quotidien, les familles monoparentales se tournent davantage vers leurs proches que les couples pour prendre en charge leurs jeunes enfants – au moins une fois dans la semaine (35 %, contre 27 %) –, en particulier les mères seules en emploi dont les enfants n'ont aucun contact avec le père (57 %). Les proches constituent un relais important pour les mères seules, notamment le matin et le soir, avant ou après l'école, la crèche ou l'assistante maternelle.
Les grands-parents sont les premiers à s'occuper des enfants : 25 % d'entre eux leur sont confiés au moins une fois dans la semaine (comme 23 % des enfants des couples). Quand l'enfant réside principalement chez sa mère, les grands-parents maternels la relaient plus souvent que les grands- parents paternels (20 %, contre 7 %). En cas de résidence alternée, la prise en charge de l'enfant est équilibrée entre les deux lignées (19 % dans les deux cas), les grands-parents paternels étant alors deux fois plus sollicités que lorsque les parents sont en couple (10 %). Le recours aux autres membres de la famille est plus rare, mais deux fois plus fréquent pour les familles monoparentales que pour les couples (9 %, contre 4 %), tout comme le recours aux amis ou voisins (4 %, contre 2 %).[-]
Fin 2021, 12 % des enfants de moins de 6 ans vivent dans une famille monoparentale, majoritairement chez leur mère (83 %). Si, parmi les jeunes enfants concernés, 13 % passent un week-end sur deux et la moitié des vacances scolaires chez leur père, 25 % – soit environ
130 000 enfants – n'ont aucun contact avec lui. La séparation des parents est plus souvent précoce pour ces enfants et la situation des familles, plus précaire.
Afin de s'organiser ...[+]

FAMILLE ; FAMILLE MONOPARENTALE ; INEGALITE HOMME-FEMME ; ENQUETE ; PARENTALITE

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- 88
Cote : EPE 654
Un numéro pour décrypter ce phénomène sociétal en pleine mutation : le choix de ne pas avoir d'enfants et ses répercussions sur la structure familiale contemporaine. Dans ce dossier sont questionnés la baisse de la natalité observée dans de nombreux pays, l'émergence croissante d'une jeunesse qui revendique son choix de ne pas devenir parent, et l'évolution des modèles familiaux.

Pourquoi de plus en plus de jeunes décident-ils de ne pas avoir d'enfants ? Quels en sont les facteurs économiques, sociaux, culturels ? Et que signifie cette tendance pour l'avenir des familles et des sociétés ? Des articles, des analyses et des témoignages permettent de réfléchir à ces questions qui redessinent le paysage de nos relations et de notre avenir collectif.[-]
Un numéro pour décrypter ce phénomène sociétal en pleine mutation : le choix de ne pas avoir d'enfants et ses répercussions sur la structure familiale contemporaine. Dans ce dossier sont questionnés la baisse de la natalité observée dans de nombreux pays, l'émergence croissante d'une jeunesse qui revendique son choix de ne pas devenir parent, et l'évolution des modèles familiaux.

Pourquoi de plus en plus de jeunes décident-ils de ne pas avoir ...[+]

ENFANCE ; FAMILLE ; PARENTALITE ; CHOISIR

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- n° 246 - 154
Cote : DIA 246
Depuis quelques décennies, la fratrie est envisagée comme un espace relationnel, qui ne se résume pas à un lien de dépendance aux figures parentales.
La vision du fraternel dans son rapport aux parents est aujourd'hui complétée par une conception narcissique, qui nous fait passer d' un axe vertical parent-enfant, à la spécificité d'un axe horizontal. Freud, en dépit du mythe nodal œdipien centré sur l'histoire d'un enfant unique, a souligné qu'à partir du deuxième enfant, le complexe œdipien devient un complexe familial. Le fraternel est un déclencheur d'éléments essentiels d'envie, de culpabilité et d'identification ; il prépare ainsi le processus d'œdipification. Lacan évoque une double issue du complexe fraternel : soit le sujet reste dans une position d'alliance

narcissique avec la mère, repoussant dans la destructivité tout autre vécu comme un intrus, soit il reconnaît l'autre avec lequel va s'engager une lutte rivale impliquant un rapport à l'objet.
Il trouve alors à la fois autrui et l'objet socialisé. Le lien fraternel, modèle de l'amitié ou du lien de couple, recouvre une position initiale à élaborer, fondée sur la haine pré-ambivalentielle. Le frère haï n'est alors pas seulement un rival envié, il incarne les désirs incestueux que le sujet ne peut reconnaître, mais qu'il identifie chez cet autre soi-même qu'est le frère. Le frère est une surface d'inscription projective, un miroir qui renvoie le caractère insupportable de ses propres désirs ; il représente un alter ego mais également un double, comme le souligne le lien gémellaire. Ce numéro de la revue Dialogue concerne les variations du lien fraternel comme les diverses scènes du soin psychique où se rejouent transférentiellement les scènes fraternelles.[-]
Depuis quelques décennies, la fratrie est envisagée comme un espace relationnel, qui ne se résume pas à un lien de dépendance aux figures parentales.
La vision du fraternel dans son rapport aux parents est aujourd'hui complétée par une conception narcissique, qui nous fait passer d' un axe vertical parent-enfant, à la spécificité d'un axe horizontal. Freud, en dépit du mythe nodal œdipien centré sur l'histoire d'un enfant unique, a souligné qu'à ...[+]

FAMILLE ; RELATION FRERE-SOEUR ; PARENTALITE

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- 64
Cote : EPE HS7
Les animaux font partie intégrante du quotidien de nombreux foyer français : plus de la moitié d'entre eux en possèdent au moins un, en majorité un chien ou un chat ; plus on est jeune et plus la famille compte de membres, plus il y a de chances d'y trouver l'un de ces petits compagnons de vie. Depuis peu, la recherche s'intéresse à la façon dont ils contribuent à façonner l'univers affectif et relationnel de l'enfant, participent à son développement émotionnel, cognitif, social. Ils renforceraient même les liens familiaux ! Mais l'animal est aussi de plus en plus souvent invité à devenir un partenaire de soins, notamment pour des enfants souffrant de handicaps physiques, mentaux ou de troubles du neurodéveloppement. Nous sommes allés voir cela de plus près, sans oublier de nous pencher sur les questions éthiques que pose la médiation animale. De nombreux experts ont accepté d'explorer avec nous cette relation aux multiples facettes que nous entretenons avec les animaux depuis l'enfance. En témoigne la place qui leur est accordée dans la littérature jeunesse ![-]
Les animaux font partie intégrante du quotidien de nombreux foyer français : plus de la moitié d'entre eux en possèdent au moins un, en majorité un chien ou un chat ; plus on est jeune et plus la famille compte de membres, plus il y a de chances d'y trouver l'un de ces petits compagnons de vie. Depuis peu, la recherche s'intéresse à la façon dont ils contribuent à façonner l'univers affectif et relationnel de l'enfant, participent à son ...[+]

ENFANCE ; PARENTALITE ; FAMILLE ; EDUCATION ; ANIMAL

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- 245
Cote : DIA 245
Aujourd'hui la notion de genre ne peut être évitée. Si, dans la plupart des sciences humaines, les débats à son propos, nombreux et pas toujours nuancés, font désormais partie du cadre « normal » dans lequel se confrontent les approches, en clinique d'orientation psychanalytique la reconnaissance des études de genre comme interlocuteur ne va pas encore de soi. Dialogue se donne comme premier objectif de participer à une clarification des enjeux théoriques, épistémologiques, idéologiques qui sous-tendent ces débats. Le second objectif sera de réfléchir aux conséquences de la référence à la notion de genre pour la pratique des thérapeutes de couple et de famille et leur compréhension des couples et des familles aux prises avec des déclinaisons des questions de genre en termes d'identité non binaire. Celle-ci désigne au moins trois réalités différentes : s'identifier en dehors des identités masculine et féminine ; avoir une identité de genre située entre ces deux identifications ; se vivre soit homme soit femme à des périodes différentes. Une quatrième réalité englobe le rejet de toute identité de genre. L'identité de genre binaire ou non binaire étant indépendante de l'orientation sexuelle amoureuse et affective du sujet... Comment ces réalités se manifestent-elles dans le quotidien de la pratique de la prise en charge des couples et des familles ? Comment les thérapeutes de couple et de famille « s'arrangent-ils » avec les questions qu'elles posent à leurs théories de référence, à leurs dispositifs cliniques, à leurs réactions contre-transférentielles ? En retour, le processus thérapeutique, par ses effets, interroge-t-il la référence au genre elle-même ?[-]
Aujourd'hui la notion de genre ne peut être évitée. Si, dans la plupart des sciences humaines, les débats à son propos, nombreux et pas toujours nuancés, font désormais partie du cadre « normal » dans lequel se confrontent les approches, en clinique d'orientation psychanalytique la reconnaissance des études de genre comme interlocuteur ne va pas encore de soi. Dialogue se donne comme premier objectif de participer à une clarification des enjeux ...[+]

GENRE ; IDENTITE SEXUELLE ; PSYCHANALYSE ; FAMILLE ; BINARITE

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- n° 244 - 160
Cote : DIA 244
La matrice originelle des processus menant aux radicalités est la question posée par ce dossier. Nous nous interrogerons sur ce qui a présidé aux actes marquant une rupture avec les systèmes de normes familiales, sociales et culturelles. Cela concerne tant les radicalités religieuses et politiques que les phénomènes de violences intrafamiliales menant à des transgressions radicales, tels que l'inceste ou encore les violences sociales comme les discriminations ou le racisme. [-]
La matrice originelle des processus menant aux radicalités est la question posée par ce dossier. Nous nous interrogerons sur ce qui a présidé aux actes marquant une rupture avec les systèmes de normes familiales, sociales et culturelles. Cela concerne tant les radicalités religieuses et politiques que les phénomènes de violences intrafamiliales menant à des transgressions radicales, tels que l'inceste ou encore les violences sociales comme les ...[+]

FAMILLE ; PARENTALITE ; NORME ; VIOLENCE ; VIOLENCE FAMILIALE ; INCESTE ; DISCRIMINATION

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y
- 88
Cote : EPE 652
L'été arrive, enfin ! D'ici peu, les journées des enfants ne seront plus rythmées par les heures de classe. En quoi cette parenthèse peut-elle être bénéfique, pour eux et pour leurs parents ? Est-elle l'occasion de se retrouver ou plutôt de se séparer, de découvrir de nouveaux horizons, un autre rapport au temps ou aux autres ? Cette pause est-elle trop longue ? Pourquoi, d'ailleurs, notre calendrier scolaire est-il ainsi organisé ? Que font ceux qui s'en vont, que font ceux qui restent ? Et que sont devenus les colonies de vacances, plébiscitées dans les années 1960 ?

Ce dossier vous emmène au cœur d'un moment, tant attendu, qui structure l'organisation de notre société mais révèle aussi de profondes inégalités entre les familles : il ne faut pas oublier, en effet, que près de la moitié des Français ne partent pas en vacances, les plus aisés étant deux fois plus nombreux à voyager que les plus modestes. Des chiffres qui n'ont guère varié depuis vingt ans…[-]
L'été arrive, enfin ! D'ici peu, les journées des enfants ne seront plus rythmées par les heures de classe. En quoi cette parenthèse peut-elle être bénéfique, pour eux et pour leurs parents ? Est-elle l'occasion de se retrouver ou plutôt de se séparer, de découvrir de nouveaux horizons, un autre rapport au temps ou aux autres ? Cette pause est-elle trop longue ? Pourquoi, d'ailleurs, notre calendrier scolaire est-il ainsi organisé ? Que font ...[+]

PARENTALITE ; FAMILLE ; ENFANCE ; EDUCATION ; EDUCATION PARENTALE

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y
- 296
Cote : B3 DEB
Pour lire cet ouvrage, il suffit d'aimer les histoires de famille et d'avoir envie d'en savoir un peu plus sur ce qui se passe dans les entretiens de médiation et comment cette approche peut, petit à petit, transformer les conflits et parfois les résoudre.

Ce livre propose un voyage dans l'intimité de familles contemporaines venant en médiation déposer leurs échecs, leurs doutes, leurs souffrances. Mais ce n'est pas triste ! Les récits authentiques présentés ici fourmillent de magnifiques silences, de traits d'humour et parfois de joie retrouvée.
Les couples et familles se révèlent, se développent, se rencontrent, grâce à l'accueil bienveillant que leur réserve une médiatrice formée à l'analyse systémique et à l'approche transformative. Elle partage les questions qu'elle se pose, les doutes qui l'assaillent, les espoirs qui la portent.
Cette pratique réflexive, sincère et enthousiaste de la médiation passionnera non seulement les professionnels qui souhaitent affiner leur talent mais aussi tous ceux qui voudront découvrir la manière dont se travaillent les conflits familiaux dans les espaces de médiation.[-]
Pour lire cet ouvrage, il suffit d'aimer les histoires de famille et d'avoir envie d'en savoir un peu plus sur ce qui se passe dans les entretiens de médiation et comment cette approche peut, petit à petit, transformer les conflits et parfois les résoudre.

Ce livre propose un voyage dans l'intimité de familles contemporaines venant en médiation déposer leurs échecs, leurs doutes, leurs souffrances. Mais ce n'est pas triste ! Les récits ...[+]

FAMILLE ; PARENTALITE ; ECOUTE ; professionnels de santé ; ACCOMPAGNEMENT

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y
- 160
Cote : VIE SOCIALE 44
Le présent numéro est le fruit d'un partenariat inédit entre la revue Vie Sociale et l'Observatoire national de protection de l'enfance (ONPE) visant à faire connaitre l'état des connaissances scientifiques et expérientielles aujourd'hui disponibles sur les négligences faites aux enfants dans un cadre intrafamilial. En France, les négligences restent encore peu instruites. Or, les conséquences graves, durables et parfois irréversibles qu'elles engendrent sur le développement de l'enfant, imposent d'améliorer leur (re)connaissance en tant que forme de maltraitance afin de mieux protéger les enfants qui en sont victimes et d'accompagner leurs familles.

Les différents auteurs apportent des regards pluridisciplinaires (droit, pédopsychiatrie, sociologie, psychologie, pédiatrie, etc.) et s'appuient sur des approches plurielles et complémentaires (écosystémiques, développementales, théorie de l'attachement, perspective psychanalytique) pour saisir la complexité de la définition des négligences, leurs conséquences sur le développement de l'enfant, les difficultés de leur repérage et de leur prise en charge

Par la richesse des connaissances théoriques et pratiques qu'elle apporte, cette publication ouvre de nombreuses réflexions pour alimenter la recherche, les pratiques professionnelles comme les politiques publiques.[-]
Le présent numéro est le fruit d'un partenariat inédit entre la revue Vie Sociale et l'Observatoire national de protection de l'enfance (ONPE) visant à faire connaitre l'état des connaissances scientifiques et expérientielles aujourd'hui disponibles sur les négligences faites aux enfants dans un cadre intrafamilial. En France, les négligences restent encore peu instruites. Or, les conséquences graves, durables et parfois irréversibles qu'elles ...[+]

ENFANCE ; PROTECTION DE L'ENFANCE ; VIOLENCE ; VIOLENCE À L'EGARD DE L'ENFANT ; FAMILLE

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y
- 192
Cote : DIA 243
La famille s'inscrit dans le temps et la généalogie. Elle en donne une vision qui se veut exhaustive. Elle n'est pas non plus séparée de l'espace car elle est présente sur toute la surface du monde et protéiforme au fil du temps. Dans notre seul espace occidental, depuis ces cinquante dernières années, les bouleversements sont innombrables. Familles et couples ont vu changer leurs formes, leurs rôles, leurs responsabilités et leurs contraintes. Ce mouvement continue. Face à cette mutation socio-psycho-anthropologique, on ne parle plus de la famille ou du couple, mais des familles et des couples. Cependant, des invariants demeurent, le temps en est un de taille. Dans chaque groupe familial, dans chaque couple, l'écoulement du temps installe des scansions incontournables mais aussi des moments charnières plus disparates, pas moins essentiels. Nous traiterons ici de la vie et de la mort bien sûr, mais aussi des vécus différents et des imprévus qui viennent bouleverser le temps familial ou celui du couple, tel le confinement dû à la pandémie. Ce numéro s'intéresse au temps chronologique (à l'anamnèse d'un sujet, la constitution d'un couple, l'arrivée d'un enfant) ; au temps perçu subjectivement et différemment (la différence de rythme entre parents et enfants ou adolescents) ; au temps interne de l'espace familial (sur l'évolution d'une relation de couple ou les modifications de la famille nucléaire) ; au temps dans les transmissions intergénérationnelles, qu'elles soient heureuses, délétères ou traumatiques.[-]
La famille s'inscrit dans le temps et la généalogie. Elle en donne une vision qui se veut exhaustive. Elle n'est pas non plus séparée de l'espace car elle est présente sur toute la surface du monde et protéiforme au fil du temps. Dans notre seul espace occidental, depuis ces cinquante dernières années, les bouleversements sont innombrables. Familles et couples ont vu changer leurs formes, leurs rôles, leurs responsabilités et leurs contraintes. ...[+]

FAMILLE ; COUPLE ; SOCIOLOGIE ; SOCIOPSYCHOLOGIE

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V
- n° 242 - 189
Cote : DIA 242
Des cliniciens s'interrogent sur leurs références théoriques face aux évolutions que connaissent la famille et le couple en Occident : homoparentalité, PMA, question du genre chez les enfants, place du numérique chez les plus jeunes, dénonciations des violences intrafamiliales, entre autres.

CLINIQUE ; PSYCHOLOGIE ; COUPLE ; FAMILLE ; PRATIQUE PROFESSIONNELLE

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y
- 336
Cote : A32 BRU
En France comme aux États-Unis ou au Brésil, le métissage fait l'objet d'une véritable obsession, entre haine raciste animée par la peur d'attenter à la " pureté de la race ", qui plonge ses racines dans l'histoire esclavagiste et coloniale occidentale, et discours bienheureux et pacificateur, qui voit en lui un espoir pour l'avènement de sociétés postraciales enfin débarrassées du racisme. Ces positions apparemment antagonistes sont en réalité les deux faces d'une même analyse : le métissage diluerait les identités raciales.
Mais qu'en est-il véritablement ? Prenant au sérieux une question restée sous-explorée dans les sciences sociales, cet ouvrage propose de plonger dans la vie quotidienne des familles " métissées " dans la France d'aujourd'hui. Qui sont ceux que l'on appelle les " couples mixtes " ? Comment se construisent leurs descendants, les " métis ", qui grandissent entre plusieurs appartenances, plusieurs identifications, parfois plusieurs langues ou plusieurs cultures ? De quelle manière ces familles sont-elles perçues au quotidien et se perçoivent-elles elles-mêmes ? Comment se transmettent les identités lorsque parents et enfants ne sont pas racialisés de la même manière ?
Grâce à une analyse à la fois sociologique et historique, Solène Brun interroge la négociation des catégorisations raciales et la construction de l'identité des personnes issues de " familles mixtes ". En confrontant le " mythe métis ", c'est-à-dire les discours et représentations entourant le métissage, à l'analyse sociologique de ces expériences intimes, cette enquête nous permet de mieux cerner la persistance des frontières raciales dans une société française encore réticente à aborder des questions qui la travaillent en profondeur. [-]
En France comme aux États-Unis ou au Brésil, le métissage fait l'objet d'une véritable obsession, entre haine raciste animée par la peur d'attenter à la " pureté de la race ", qui plonge ses racines dans l'histoire esclavagiste et coloniale occidentale, et discours bienheureux et pacificateur, qui voit en lui un espoir pour l'avènement de sociétés postraciales enfin débarrassées du racisme. Ces positions apparemment antagonistes sont en réalité ...[+]

SOCIOLOGIE ; RACISME ; DISCRIMINATION ; COUPLE ; FAMILLE ; métissage

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y
- 256
Cote : F6 CEE
Cécile Cée raconte dans une quête intime sa sortie d'amnésie traumatique et réalise qu'elle a subi l'inceste.
La culture de l'inceste est une histoire de domination ; des familles entières normalisent l'inceste par des mécanismes de silenciation inhérents à notre société.
L'inceste, c'est ça ! Tout un système.

BANDE DESSINEE ; TEMOIGNAGE ; INCESTE ; VIOLENCE ; FAMILLE ; VIOL

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y
- 187
Cote : E2 LUY MER
Elles sont plus d'un 1,5 million de mères célibataires en France : un chiffre qui a quasiment doublé en 30 ans. Prises à la gorge par les difficultés économiques et le gouffre de la précarité qui les absorbe prioritairement, elles souffrent pour la plupart d'isolement et d'épuisement. Ce livre a pour objectif d'alerter sur celles que la société ne veut pas voir, d'identifier les blocages systémiques qui grèvent leur quotidien - casse-tête de la garde des enfants, pensions alimentaires impayées, injustices fiscale, etc - et d'exhorter les politiques à se saisir du problème. Mais cet essai a aussi pour but de leur permettre de relever la tête, quel que soit leur niveau de vie, en recensant nombre de conseils et témoignages pour vivre mieux, et de se défaire du jugement péjoratif que la société porte sur elles, en promouvant notamment de nouveaux modèles familiaux.[-]
Elles sont plus d'un 1,5 million de mères célibataires en France : un chiffre qui a quasiment doublé en 30 ans. Prises à la gorge par les difficultés économiques et le gouffre de la précarité qui les absorbe prioritairement, elles souffrent pour la plupart d'isolement et d'épuisement. Ce livre a pour objectif d'alerter sur celles que la société ne veut pas voir, d'identifier les blocages systémiques qui grèvent leur quotidien - casse-tête de la ...[+]

MATERNITE ; GROSSESSE ; FAMILLE ; ENFANT ; DIVORCE

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y
- 164
Cote : B20 PAP
Malgré la part croissante des familles monoparentales dans la population française, elles ne sont toujours pas considérées comme des familles « comme les autres ». Issues pour partie du XIXe siècle, les représentations archétypales demeurent, largement nourries par des figures antagonistes : « veuve éplorée » versus « veuve joyeuse », pauvre fille abandonnée versus « célibattante », « mère-courage » versus « mère assistée »... Des stigmates persistants structurent ainsi les représentations sociales et façonnent l'expérience qu'en font concrètement les parents en situation de monoparentalité - en grande majorité des femmes. Ces représentations stéréotypées, nourries d'idées reçues que l'ouvrage s'attache à déconstruire, trouvent également leur traduction dans des politiques publiques qui peinent à réduire les inégalités auxquelles ces pères, ces mères et leurs enfants sont encore aujourd'hui exposés. Ont aussi contribué à cet ouvrage : Émilie Biland, Hana Bouhired Lacheraf, Catherine Collombet, Chloé Courtot, Fiona Friedli, Solenne Jouanneau, Oriane Lanseman, Nadine Lefaucheur, Margot Lenouvel, Agnès Martial, Claude Martin, Antoine Math, Muriel Mille, Marianne Modak, Louise Protar, Antoine Rivière, Carla Robison, Gabrielle Schu¨tz, Hélène Steinmetz.[-]
Malgré la part croissante des familles monoparentales dans la population française, elles ne sont toujours pas considérées comme des familles « comme les autres ». Issues pour partie du XIXe siècle, les représentations archétypales demeurent, largement nourries par des figures antagonistes : « veuve éplorée » versus « veuve joyeuse », pauvre fille abandonnée versus « célibattante », « mère-courage » versus « mère assistée »... Des stigmates ...[+]

FAMILLE ; PARENTALITE ; FAMILLE MONOPARENTALE

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