En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

Documents INEGALITE HOMME-FEMME 47 résultats

Filtrer
Sélectionner : Tous / Aucun
P Q
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 128
Cote : LDEFE 17
Au sommaire de ce numéro :

- ENTRETIEN : Angela Davis, "contre le fascisme, l'espoir est une exigence absolue" / Rokhaya Diallo
- RECIT : Face aux violeurs de Mazan / Marion Dubreuil
- ENTRETIEN : En quoi le procès de Mazan est-il historique ? / Avec Victoria Vanneau
- REPORTAGE : Liban, des sages-femmes sur le qui-vive / Amélie David et Ségolène Ragu
- BANDE-DESSINEE : La renaissance de Boudja / Nygel Panasco
- DOSSIER : TRAVAILLER : à la conquête de l'égalité
- PORTFOLIO : Ruralités queers / Vincent Gouriou
- REPORTAGE : Guerre en Ukraine, violences intimes / Audrey Lebel et Oksana Parafeniuk
- HISTOIRE : Lesbian Avengers, allumer la mèche / Camille Regache
- ENQUETE : La difficile naissance du musée des féminismes en France / Marie-Agnès Laffougère[-]
Au sommaire de ce numéro :

- ENTRETIEN : Angela Davis, "contre le fascisme, l'espoir est une exigence absolue" / Rokhaya Diallo
- RECIT : Face aux violeurs de Mazan / Marion Dubreuil
- ENTRETIEN : En quoi le procès de Mazan est-il historique ? / Avec Victoria Vanneau
- REPORTAGE : Liban, des sages-femmes sur le qui-vive / Amélie David et Ségolène Ragu
- BANDE-DESSINEE : La renaissance de Boudja / Nygel Panasco
- DOSSIER : TRAVAILLER : à la ...[+]

LUTTE FEMINISTE ; FEMINISME ; FASCISME ; EXTREME-DROITE ; VIOL ; VIOLENCE ; TRAVAIL ; PRECARITE ; INEGALITE HOMME-FEMME

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 5
À l'occasion de la journée internationale pour les droits des femmes 2025, la Fondation des femmes et le Crédit municipal de Paris publient une synthèse des travaux menés depuis deux ans par l'Observatoire de l'émancipation économique des femmes. Cette synthèse révèle une photographie alarmante des inégalités économiques persistantes qui frappent les femmes en France en particulier les femmes en couple hétérosexuel.

Les membres expertes de l'Observatoire - Lucile Peytavin, Lucile Quillet, Hélène Gherbi et Laure Marchal, sous la direction de la Fondation des Femmes - ont publié cinq notes depuis 2022, sur les thèmes :

le coût de la justice pour les victimes de violences sexuelles, cinq ans après #MeToo,
la dépendance économique des femmes, une affaire d'État ?,
le coût d'être mère,
le coût du divorce,
le coût d'être aidante.

[-]
À l'occasion de la journée internationale pour les droits des femmes 2025, la Fondation des femmes et le Crédit municipal de Paris publient une synthèse des travaux menés depuis deux ans par l'Observatoire de l'émancipation économique des femmes. Cette synthèse révèle une photographie alarmante des inégalités économiques persistantes qui frappent les femmes en France en particulier les femmes en couple hétérosexuel.

Les membres expertes de ...[+]

INEGALITE HOMME-FEMME ; PATRIARCAT ; ASPECT ECONOMIQUE ; VIOLENCE ; DISCRIMINATION ; FEMME

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
2y
- 32
À l'occasion du 8 mars, journée internationale des droits des femmes, la DEPP publie chaque année Filles et garçons sur le chemin de l'égalité, de l'école à l'enseignement supérieur, une brochure qui réunit une série de données statistiques sur la réussite comparée des filles et des garçons depuis l'école jusqu'à l'entrée dans la vie active.

INEGALITE HOMME-FEMME ; EDUCATION ; ENQUETE / STATISTIQUE ; GENRE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
2y
- 88
La Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) publie un Dossier qui donne à voir le point de vue des pères sur la manière dont se négocie la répartition des temps à la fois dans la sphère professionnelle mais aussi dans la famille, et comment s'organisent au quotidien les temps de la vie privée deux ans après la naissance d'un enfant. Ce dossier s'appuie sur les données issues d'une enquête qualitative menée en 2023 auprès de certains des pères interrogés dans l'enquête Modes de garde et d'accueil des jeunes enfants réalisée par la DREES en 2021.[-]
La Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) publie un Dossier qui donne à voir le point de vue des pères sur la manière dont se négocie la répartition des temps à la fois dans la sphère professionnelle mais aussi dans la famille, et comment s'organisent au quotidien les temps de la vie privée deux ans après la naissance d'un enfant. Ce dossier s'appuie sur les données issues d'une enquête qualitative ...[+]

PATERNITE ; CONGE PARENTAL ; FAMILLE ; INEGALITE HOMME-FEMME

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
Dans Discipliner les banlieues ? L'éducation à l'égalité des sexes dévoyée (La Dispute, 2024), le sociologue Simon Massei montre que les interventions en matière d'éducation à l'égalité des sexes s'adressent prioritairement aux publics de quartiers défavorisés.

INEGALITE HOMME-FEMME ; RACISME ; DISCRIMINATION ; EDUCATION A LA SEXUALITE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 7
Fin 2021, 12 % des enfants de moins de 6 ans vivent dans une famille monoparentale, majoritairement chez leur mère (83 %). Si, parmi les jeunes enfants concernés, 13 % passent un week-end sur deux et la moitié des vacances scolaires chez leur père, 25 % – soit environ
130 000 enfants – n'ont aucun contact avec lui. La séparation des parents est plus souvent précoce pour ces enfants et la situation des familles, plus précaire.
Afin de s'organiser au quotidien, les familles monoparentales se tournent davantage vers leurs proches que les couples pour prendre en charge leurs jeunes enfants – au moins une fois dans la semaine (35 %, contre 27 %) –, en particulier les mères seules en emploi dont les enfants n'ont aucun contact avec le père (57 %). Les proches constituent un relais important pour les mères seules, notamment le matin et le soir, avant ou après l'école, la crèche ou l'assistante maternelle.
Les grands-parents sont les premiers à s'occuper des enfants : 25 % d'entre eux leur sont confiés au moins une fois dans la semaine (comme 23 % des enfants des couples). Quand l'enfant réside principalement chez sa mère, les grands-parents maternels la relaient plus souvent que les grands- parents paternels (20 %, contre 7 %). En cas de résidence alternée, la prise en charge de l'enfant est équilibrée entre les deux lignées (19 % dans les deux cas), les grands-parents paternels étant alors deux fois plus sollicités que lorsque les parents sont en couple (10 %). Le recours aux autres membres de la famille est plus rare, mais deux fois plus fréquent pour les familles monoparentales que pour les couples (9 %, contre 4 %), tout comme le recours aux amis ou voisins (4 %, contre 2 %).[-]
Fin 2021, 12 % des enfants de moins de 6 ans vivent dans une famille monoparentale, majoritairement chez leur mère (83 %). Si, parmi les jeunes enfants concernés, 13 % passent un week-end sur deux et la moitié des vacances scolaires chez leur père, 25 % – soit environ
130 000 enfants – n'ont aucun contact avec lui. La séparation des parents est plus souvent précoce pour ces enfants et la situation des familles, plus précaire.
Afin de s'organiser ...[+]

FAMILLE ; FAMILLE MONOPARENTALE ; INEGALITE HOMME-FEMME ; ENQUETE ; PARENTALITE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
2y
- 76
Le rapport annuel du Haut Conseil à l'Egalité entre les femmes et les hommes sur l'état du sexisme en France, basé sur le Baromètre Sexisme produit en collaboration avec l'institut Toluna Harris Interactive permet de mettre en lumière deux constats inquiétants :

• Une polarisation sociale autour des enjeux d'égalité de genre notamment dans les médias et les discours politiques.

• Des inégalités sociales et économiques très nettement persistantes.

Les discours sexistes et masculinistes ont gagné en visibilité, notamment dans les médias et les discours politiques. Si les enjeux d'inégalités de plus en plus traités dans les médias, les femmes restent invisibilisées et les propos sexistes trop coutumiers, trop peu contrôlés et trop peu contredits.

En parallèle, le procès des viols de Mazan a bousculé la société, entre prise de conscience accrue du sexisme systémique d'un côté, et la lente introspection masculine de l'autre. Les violences sexistes et sexuelles perdurent et sont même déclarées en hausse, et le travail, la politique et la vie de famille restent les sphères privilégiées de ce sexisme.

L'un des chiffres les plus marquants, c'est celui des 94% de femmes de 15 à 24 ans qui estiment qu'il est plus difficile d'être une femme aujourd'hui, soit 14 points de plus qu'en 2023, quand seulement 67% des hommes de 15-24 ans le pensent (+8%). Pire, 13% des hommes pensent qu'il est plus difficile d'être un homme qu'une femme.

Le procès de Mazan a constitué un miroir de ces oppositions : pour 65% des Français, l'affaire Mazan illustre le fait qu'en matière de violences sexistes et sexuelles, tous les hommes portent une part de responsabilité et/ou de culpabilité. Ainsi, plus de 9 Français sur 10 considèrent que les hommes ont un rôle à jouer dans la prévention et la lutte contre le sexisme.

Le Haut Conseil à l'Égalité fait donc apparaitre des solutions plébiscitées par les Français :
• L'éducation à l'égalité est jugée prioritaire par la quasi-totalité des Français. 9 Français sur 10 soutiennent l'instauration de cours à l'éducation à la vie affective et sexuelle. Cette mesure est même perçue comme la plus efficace contre le sexisme pour 10 Français sur 10.

• La réforme du congé paternité/parental est une attente forte en matière de justice sociale et d'égalité, plébiscitée par 7 Français du 10.

• Une action résolue pour une plus grande mixité et parité dans le monde professionnel. Dans la formation de nos jeunes d'abord et dans le monde du travail ensuite.

• Des pouvoirs publics qui doivent passer d'une obligation de moyens à une obligation de résultats, notamment avec la mise en place de budgets sensibles au genre et l'adoption de critères d'égaconditionnalité dans l'ensemble des aides et financements publics.

• Un engagement plus important des hommes dans la lutte contre le sexisme : 8 Français sur 10 trouvent qu'il existe une tolérance trop importante vis-à-vis des actes et propos sexistes.

« Les femmes sont plus féministes, et les hommes plus masculinistes, surtout les jeunes. Les Français attendent que les responsables politiques agissent contre le sexisme, notamment en instaurant enfin les cours à l'éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle, qu'ils plébiscitent largement. » Bérangère Couillard, présidente du Haut Conseil à l'Egalité.[-]
Le rapport annuel du Haut Conseil à l'Egalité entre les femmes et les hommes sur l'état du sexisme en France, basé sur le Baromètre Sexisme produit en collaboration avec l'institut Toluna Harris Interactive permet de mettre en lumière deux constats inquiétants :

• Une polarisation sociale autour des enjeux d'égalité de genre notamment dans les médias et les discours politiques.

• Des inégalités sociales et économiques très nettement p...[+]

SEXISME ; ENQUETE ; FRANCE ; STEREOTYPE ; EGALITE HOMME-FEMME ; INEGALITE HOMME-FEMME ; DISCRIMINATION

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 17
L'adolescence est une période durant laquelle les jeunes sont confrontés à de nombreux changements, pressions et défis, susceptibles de les rendre plus vulnérables sur le plan de la santé mentale. C'est à cette période que peuvent apparaitre les premières manifestations de l'anxiété, de la dépression ou des conduites suicidaires.

SANTE MENTALE ; INEGALITE HOMME-FEMME ; ADOLESCENCE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 17
En ce mois de mars, marqué par la journée internationale des droits des femmes (et pas « la fête de la femme »), Soralia souhaite mettre le projecteur sur un secteur trop peu valorisé dans nos sociétés, celui du « prendre soin » connu aussi sous le nom de « care ». Ce terme recouvre une multiplicité de vécus allant du bain du soir aux enfants, en passant par l'aidante qui s'occupe quotidiennement de son frère en perte d'autonomie jusqu'au personnel soignant permettant à nos aîné·e·s de vivre dignement. Le point commun de ces différents aspects du care : ils sont majoritairement portés par des femmes, qui sont invisibilisées dans leur quotidien, marquées par le manque de ressources et l'épuisement. Il s'agit pourtant de fonctions essentielles. Remettons le care au centre des priorités collectives et politiques ![-]
En ce mois de mars, marqué par la journée internationale des droits des femmes (et pas « la fête de la femme »), Soralia souhaite mettre le projecteur sur un secteur trop peu valorisé dans nos sociétés, celui du « prendre soin » connu aussi sous le nom de « care ». Ce terme recouvre une multiplicité de vécus allant du bain du soir aux enfants, en passant par l'aidante qui s'occupe quotidiennement de son frère en perte d'autonomie jusqu'au ...[+]

TRAVAIL ; FEMME ; INEGALITE HOMME-FEMME ; LUTTE FEMINISTE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
D'après le Baromètre d'opinion de la DREES, réalisé en France métropolitaine en 2020 et 2022, plus d'une personne sur deux rejette les stéréotypes de genre, une personne sur quatre y adhère et une sur quatre se situe dans une position ambivalente. Quel que soit le degré d'adhésion aux représentations stéréotypées, l'idée que les filles ont autant l'esprit scientifique que les garçons fait très largement consensus dans l'ensemble de la population. En parallèle, certains stéréotypes de genre sont très ancrés : une majorité de personnes adhèrent à l'idée que les mères savent mieux s'occuper des enfants que les pères. Plusieurs caractéristiques augmentent la probabilité d'adhérer aux stéréotypes de genre testés dans le Baromètre : être un homme, avoir plus de 65 ans, avoir une pratique religieuse régulière, être immigré, être peu ou pas diplômé. Le niveau de revenu joue en sens contraire de celui du diplôme : alors que les diplômés du supérieur sont surreprésentés parmi les personnes qui rejettent ces stéréotypes de genre, les plus aisés sur l'échelle de niveau de vie sont plus susceptibles d'adhérer à certains stéréotypes (à diplôme, professions et autres caractéristiques sociodémographiques donnés), en particulier ceux concernant de supposées différences d'aptitudes professionnelles entre femmes et hommes. Le Baromètre met également en lumière la persistance d'une inégalité forte dans les couples, bien documentée par ailleurs : 54 % des femmes déclarent qu'elles prennent majoritairement elles-mêmes en charge les tâches ménagères contre 7 % des hommes. Stéréotypes et pratiques domestiques apparaissent corrélés : plus les personnes adhèrent aux stéréotypes de genre, moins elles déclarent un partage égalitaire dans leur couple.[-]
D'après le Baromètre d'opinion de la DREES, réalisé en France métropolitaine en 2020 et 2022, plus d'une personne sur deux rejette les stéréotypes de genre, une personne sur quatre y adhère et une sur quatre se situe dans une position ambivalente. Quel que soit le degré d'adhésion aux représentations stéréotypées, l'idée que les filles ont autant l'esprit scientifique que les garçons fait très largement consensus dans l'ensemble de la p...[+]

STEREOTYPE ; GENRE ; ETUDE ; INEGALITE HOMME-FEMME ; PATRIARCAT

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 176
Cote : C1 QUI
Quel est le point commun entre celles qui rêvent du prince charmant, les féministes fières de faire 50/50, les femmes au foyer, les mères célibataires, les veuves, en bref, toutes les femmes ?

Avant, pendant et après le couple, elles en paient le prix : épilation, contraception, répartition des dépenses, ajustements de carrière, charge parentale… L'addition est longue, mais invisible ! Pourquoi l'idéal du couple - avec sa répartition des rôles très genrée - coûte-t-il si cher ? Et si Cupidon s'était planté ? Pour le comprendre, Lucile Quillet et Tiffany Cooper nous emmènent dans un univers délirant et pop, où femmes et hommes, libéré·e·s des attentes et normes, peuvent s'aimer dans l'égalité, la joie et la liberté.

La BD qui lève le voile sur le tabou de l'argent dans le couple, pour en finir avec les inégalités derrière le mythe rose bonbon.[-]
Quel est le point commun entre celles qui rêvent du prince charmant, les féministes fières de faire 50/50, les femmes au foyer, les mères célibataires, les veuves, en bref, toutes les femmes ?

Avant, pendant et après le couple, elles en paient le prix : épilation, contraception, répartition des dépenses, ajustements de carrière, charge parentale… L'addition est longue, mais invisible ! Pourquoi l'idéal du couple - avec sa répartition des rôles ...[+]

COUPLE ; INEGALITE HOMME-FEMME ; ARGENT ; PATRIARCAT ; BANDE DESSINEE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 588
Cote : A3 JOL
Une étude sociologique magistrale sur une catégorie entrée dans le langage courant.
Une clé de lecture majeure pour comprendre la place des violences morales et sexuelles dans nos sociétés.

À travers quels processus une discrète notion de psychopathologie clinique, la "perversion narcissique", a-t-elle donné naissance dans les années 2000-2010 à une nouvelle figure du conjoint violent, le "pervers narcissique", qui détruit psychiquement sa partenaire en la manipulant, y compris après la séparation ?
Pour répondre à cette question, Marc Joly s'est d'abord intéressé à la conceptualisation de la notion par le psychiatre et psychanalyste Paul-Claude Racamier. Il a ensuite analysé la circulation médiatique de cette catégorie, en lien avec des pratiques des professions "psy", avant d'étudier son usage au sein d'une association de lutte contre la violence morale intrafamiliale.
Combinant observation ethnographique, questionnaire, entretiens et étude de cas, il permet de saisir la perversion narcissique comme une réaction à la perte de légitimité sociale et juridique de la domination masculine, autrement dit comme une sociopathologie, une adaptation perverse aux nouvelles normes d'égalité dans la société et dans le couple.[-]
Une étude sociologique magistrale sur une catégorie entrée dans le langage courant.
Une clé de lecture majeure pour comprendre la place des violences morales et sexuelles dans nos sociétés.

À travers quels processus une discrète notion de psychopathologie clinique, la "perversion narcissique", a-t-elle donné naissance dans les années 2000-2010 à une nouvelle figure du conjoint violent, le "pervers narcissique", qui détruit psychiquement sa ...[+]

PSYCHOLOGIE ; SOCIOLOGIE ; ETUDE ; VIOLENCE ; COUPLE ; PSYCHIATRIE ; INEGALITE HOMME-FEMME ; VIOLENCE CONJUGALE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 242
Il s'agit ici de prendre en compte le problème du genre en didactique afin de produire la déconstruction de l'ordre genré qui prévaut trop souvent dans le système scolaire. Pour ce faire, l'ouvrage analyse la fabrication des inégalités scolaires selon le sexe et pointe la nécessité d'une problématisation didactique de cette question. Il présente les résultats de recherches portant sur diverses activités scolaires à plusieurs niveaux du système éducatif. Conduite selon une de´marche collaborative articulant vise´es heuristique et pratique, l'enquête repère les leviers de transformation des pratiques d'enseignement et d'étude. Elle souligne en quoi une approche comparatiste renouvelle la compréhension des processus a` l'origine de la fabrication des inégalités de sexe à l'école.[-]
Il s'agit ici de prendre en compte le problème du genre en didactique afin de produire la déconstruction de l'ordre genré qui prévaut trop souvent dans le système scolaire. Pour ce faire, l'ouvrage analyse la fabrication des inégalités scolaires selon le sexe et pointe la nécessité d'une problématisation didactique de cette question. Il présente les résultats de recherches portant sur diverses activités scolaires à plusieurs niveaux du système ...[+]

ÉDUCATION POPULAIRE ; GENRE ; INEGALITE HOMME-FEMME

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 721
Cote : A3 BOU
Pauvreté. Queer. Handicap. Ethnicité. Domination. Frontières. Omniprésentes, les catégories constituent un puissant catalyseur des rapports de pouvoir qui structurent le monde social. Mais qu'est-ce que catégoriser veut dire ? Qui produit les catégories et les impose ? Comment résister avec et contre les catégories ? Véritable boîte à outils, ce lexique rassemble 48 synthèses inédites de notions-clé des sciences humaines et sociales, issues d'horizons théoriques variés. Il retrace leur genèse et en propose des définitions opératoires, réactualisées à l'aune des débats contemporains. Mettant à l'épreuve les termes du débat public, il se situe au-delà d'une conception figée des identités. [-]
Pauvreté. Queer. Handicap. Ethnicité. Domination. Frontières. Omniprésentes, les catégories constituent un puissant catalyseur des rapports de pouvoir qui structurent le monde social. Mais qu'est-ce que catégoriser veut dire ? Qui produit les catégories et les impose ? Comment résister avec et contre les catégories ? Véritable boîte à outils, ce lexique rassemble 48 synthèses inédites de notions-clé des sciences humaines et sociales, issues ...[+]

PRECARITE ; SOCIOLOGIE ; ASPECT SOCIOLOGIQUE ; queer ; HANDICAP ; INEGALITE HOMME-FEMME ; DOMINATION

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
GENRIMAGES propose exercices, analyses et ressources pour apprendre à repérer et à décoder les stéréotypes dans l'audiovisuel afin de favoriser le débat, remettre en question les conventions, privilégier l'authenticité par rapport à la norme, et permettre une meilleure compréhension filles/garçons pour plus de tolérance et de respect communs. C'est en repérant et en questionnant ces stéréotypes à travers des images familières (publicités, films, séries, clips...) que les élèves peuvent aborder les relations femmes/hommes sous un jour nouveau, plus respectueux de l'autre dans sa différence, et prendre ainsi du recul par rapport à des modèles dominants auxquels ils sont parfois amenés à s'identifier.[-]
GENRIMAGES propose exercices, analyses et ressources pour apprendre à repérer et à décoder les stéréotypes dans l'audiovisuel afin de favoriser le débat, remettre en question les conventions, privilégier l'authenticité par rapport à la norme, et permettre une meilleure compréhension filles/garçons pour plus de tolérance et de respect communs. C'est en repérant et en questionnant ces stéréotypes à travers des images familières (publicités, films, ...[+]

MILIEU SCOLAIRE ; GENRE ; STEREOTYPE ; OUTIL PEDAGOGIQUE ; EDUCATION NATIONALE ; INEGALITE HOMME-FEMME ; représentations

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 248
Cote : I33 THI
Avec cet essai littéraire, sensible et documenté, Élise Thiébaut signe le livre qu'on attendait sur la ménopause.

Persuadée que la ménopause n'est pas une maladie et qu'elle concerne aussi les hommes, Élise Thiebaut décortique le tabou et les mythes qui l'accompagnent : de la découverte des hormones aux greffes testiculaires, des remèdes archaïques aux traitements laser en passant par la vie des orques, les sorcières ou les métamorphoses du tigre vantées par la culture taoïste, l'autrice explore avec humour les ressorts de cette révolution intime qui nous invite à « ne plus vivre pour l'espèce, mais pour l'esprit ».[-]
Avec cet essai littéraire, sensible et documenté, Élise Thiébaut signe le livre qu'on attendait sur la ménopause.

Persuadée que la ménopause n'est pas une maladie et qu'elle concerne aussi les hommes, Élise Thiebaut décortique le tabou et les mythes qui l'accompagnent : de la découverte des hormones aux greffes testiculaires, des remèdes archaïques aux traitements laser en passant par la vie des orques, les sorcières ou les métamorphoses du ...[+]

MENOPAUSE ; SANTE ; SANTE DE LA FEMME ; MEDECIN ; IMAGE DE LA FEMME ; INEGALITE HOMME-FEMME ; représentations

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 170
Cote : G22 MAI
« L'égoïsme, c'est la santé ! », disait Benoîte Groult - et pourtant, force est de constater que les femmes, prisonnières de leur souci de l'autre, l'oublient bien trop souvent. Comment se fait-il qu'encore aujourd'hui, alors qu'on ne cesse de parler à tout bout de champ d'égalité des sexes et des chances, la vie professionnelle et l'épanouissement individuel des femmes passent encore trop souvent au second plan ? Les chiffres sont parlants : 17 % des femmes au chômage ont quitté leur emploi pour s'occuper d'un proche contre 1 % des hommes, les temps partiels sont occupés à 75 % par les jeunes mères après une naissance, seulement 18 % des entreprises ont à leur tête une directrice... Le dénominateur commun, dans toutes ces données ? Le sacrifice altruiste de femmes « aliénées par l'amour », prêtes à mettre de côté leurs ambitions pour privilégier le bien-être d'un conjoint, des enfants, des parents... Corinne Maier propose de se réapproprier un terme trop souvent pardonné chez les hommes, honni chez les femmes : l'égoïsme. Puisque l'apprentissage du care et de l'empathie aux petits garçons ne fonctionne pas, ou pas assez vite, insurgez-vous, mesdames, apprenez à vous mettre au premier plan, car l'égoïsme se cultive et se travaille - et ainsi, du geste individualiste, naîtra le bienfait collectif.[-]
« L'égoïsme, c'est la santé ! », disait Benoîte Groult - et pourtant, force est de constater que les femmes, prisonnières de leur souci de l'autre, l'oublient bien trop souvent. Comment se fait-il qu'encore aujourd'hui, alors qu'on ne cesse de parler à tout bout de champ d'égalité des sexes et des chances, la vie professionnelle et l'épanouissement individuel des femmes passent encore trop souvent au second plan ? Les chiffres sont parlants : 17 ...[+]

LUTTE FEMINISTE ; FEMINISME ; INEGALITE HOMME-FEMME ; SEXISME

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
La créativité de genre chez l'enfant peut entraîner de profonds bouleversements au sein des familles, mais les défis auxquels font face les parents sont encore méconnus. En raison de l'impact des parents sur le parcours d'affirmation de l'enfant, l'objectif de cet article est d'outiller les personnes travaillant en clinique auprès de familles de jeunes enfants exprimant une créativité de genre. Nous avons ainsi réalisé des entrevues semi-dirigées avec sept mères et un couple hétérosexuel. Leurs enfants étaient âgé·es de 4 à 10 ans. Les entrevues ont été analysées à l'aide de l'approche interprétative phénoménologique (IPA). Les défis relevés se déclinent en trois axes : (1) déséquilibre dans le partage des responsabilités et des charges parentales ; (2) divergences dans les attitudes à l'égard de la créativité de genre ; (3) changements dans la dynamique familiale. Les clinicien·nes doivent être au fait de ces défis afin d'adapter leurs interventions aux besoins de ces familles, notamment en portant une attention particulière au partage inéquitable des responsabilités au sein des couples parentaux, aux différences dans l'acceptation de la créativité de genre de l'enfant et à leurs répercussions sur la dynamique familiale et sur l'enfant.[-]
La créativité de genre chez l'enfant peut entraîner de profonds bouleversements au sein des familles, mais les défis auxquels font face les parents sont encore méconnus. En raison de l'impact des parents sur le parcours d'affirmation de l'enfant, l'objectif de cet article est d'outiller les personnes travaillant en clinique auprès de familles de jeunes enfants exprimant une créativité de genre. Nous avons ainsi réalisé des entrevues sem...[+]

ENFANT ; GENRE ; PARENTALITE ; FAMILLE ; INEGALITE HOMME-FEMME

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 94
L'IREPS Pays de la Loire, s'interroge depuis de nombreuses années sur l'enjeu majeur de santé publique et l'impact des violences sexuelles sur la santé.
Elle a investi cette problématique depuis 2021 et souhaite partager, à travers ce programme, son expérience de terrain auprès des professionnels de l'éducation, du social et du médico-social qui travaillent auprès d'enfants de 4 à 8 ans et plus.
Ce livret “clé en main” propose un parcours pour renforcer les compétences psychosociales des enfants, en y intégrant les dimensions sur la promotion des relations égalitaires entre les genres, sur le respect de l'intimité, sur l'approche corporelle et notamment savoir nommer les parties intimes, sur le repérage des adultes de confiance, sur l'affirmation de soi et l'apprentissage du “non” dans des objectifs de prévention des violences sexuelles.
La Ronde des Lucioles s'articule autour de 8 séances pédagogiques, progressives et adaptées à l'âge et la maturité des enfants de classe de maternelle à début de primaire.[-]
L'IREPS Pays de la Loire, s'interroge depuis de nombreuses années sur l'enjeu majeur de santé publique et l'impact des violences sexuelles sur la santé.
Elle a investi cette problématique depuis 2021 et souhaite partager, à travers ce programme, son expérience de terrain auprès des professionnels de l'éducation, du social et du médico-social qui travaillent auprès d'enfants de 4 à 8 ans et plus.
Ce livret “clé en main” propose un parcours pour ...[+]

VIOLENCE ; VIOLENCE SEXUELLE ; OUTIL PEDAGOGIQUE ; ENFANCE ; ENFANT ; EGALITE ; INEGALITE HOMME-FEMME ; PREVENTION ; GENRE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
6y
Le jeu « Un Pas Devant l'autre » est une version – créée avec et pour les jeunes – d'une méthode de l'Éducation Populaire déjà éprouvée : « la marche des privilèges » ou « jeu du pas en avant », comme pour celui de CCFD Terres Solidaires sur la question des droits fondamentaux.

DISCRIMINATION ; INEGALITE HOMME-FEMME ; GENRE ; OUTIL PEDAGOGIQUE

Favoris

Filtrer

Type
Référence
Descripteurs

J Plus

Date de parution

!4d=exec;Select ("02";"$0201";"21";"="))!!4d=insert;Requete_Libelle!