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Documents INEGALITE HOMME-FEMME 35 résultats

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- 17
L'adolescence est une période durant laquelle les jeunes sont confrontés à de nombreux changements, pressions et défis, susceptibles de les rendre plus vulnérables sur le plan de la santé mentale. C'est à cette période que peuvent apparaitre les premières manifestations de l'anxiété, de la dépression ou des conduites suicidaires.

SANTE MENTALE ; INEGALITE HOMME-FEMME ; ADOLESCENCE

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- 17
En ce mois de mars, marqué par la journée internationale des droits des femmes (et pas « la fête de la femme »), Soralia souhaite mettre le projecteur sur un secteur trop peu valorisé dans nos sociétés, celui du « prendre soin » connu aussi sous le nom de « care ». Ce terme recouvre une multiplicité de vécus allant du bain du soir aux enfants, en passant par l'aidante qui s'occupe quotidiennement de son frère en perte d'autonomie jusqu'au personnel soignant permettant à nos aîné·e·s de vivre dignement. Le point commun de ces différents aspects du care : ils sont majoritairement portés par des femmes, qui sont invisibilisées dans leur quotidien, marquées par le manque de ressources et l'épuisement. Il s'agit pourtant de fonctions essentielles. Remettons le care au centre des priorités collectives et politiques ![-]
En ce mois de mars, marqué par la journée internationale des droits des femmes (et pas « la fête de la femme »), Soralia souhaite mettre le projecteur sur un secteur trop peu valorisé dans nos sociétés, celui du « prendre soin » connu aussi sous le nom de « care ». Ce terme recouvre une multiplicité de vécus allant du bain du soir aux enfants, en passant par l'aidante qui s'occupe quotidiennement de son frère en perte d'autonomie jusqu'au ...[+]

TRAVAIL ; FEMME ; INEGALITE HOMME-FEMME ; LUTTE FEMINISTE

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D'après le Baromètre d'opinion de la DREES, réalisé en France métropolitaine en 2020 et 2022, plus d'une personne sur deux rejette les stéréotypes de genre, une personne sur quatre y adhère et une sur quatre se situe dans une position ambivalente. Quel que soit le degré d'adhésion aux représentations stéréotypées, l'idée que les filles ont autant l'esprit scientifique que les garçons fait très largement consensus dans l'ensemble de la population. En parallèle, certains stéréotypes de genre sont très ancrés : une majorité de personnes adhèrent à l'idée que les mères savent mieux s'occuper des enfants que les pères. Plusieurs caractéristiques augmentent la probabilité d'adhérer aux stéréotypes de genre testés dans le Baromètre : être un homme, avoir plus de 65 ans, avoir une pratique religieuse régulière, être immigré, être peu ou pas diplômé. Le niveau de revenu joue en sens contraire de celui du diplôme : alors que les diplômés du supérieur sont surreprésentés parmi les personnes qui rejettent ces stéréotypes de genre, les plus aisés sur l'échelle de niveau de vie sont plus susceptibles d'adhérer à certains stéréotypes (à diplôme, professions et autres caractéristiques sociodémographiques donnés), en particulier ceux concernant de supposées différences d'aptitudes professionnelles entre femmes et hommes. Le Baromètre met également en lumière la persistance d'une inégalité forte dans les couples, bien documentée par ailleurs : 54 % des femmes déclarent qu'elles prennent majoritairement elles-mêmes en charge les tâches ménagères contre 7 % des hommes. Stéréotypes et pratiques domestiques apparaissent corrélés : plus les personnes adhèrent aux stéréotypes de genre, moins elles déclarent un partage égalitaire dans leur couple.[-]
D'après le Baromètre d'opinion de la DREES, réalisé en France métropolitaine en 2020 et 2022, plus d'une personne sur deux rejette les stéréotypes de genre, une personne sur quatre y adhère et une sur quatre se situe dans une position ambivalente. Quel que soit le degré d'adhésion aux représentations stéréotypées, l'idée que les filles ont autant l'esprit scientifique que les garçons fait très largement consensus dans l'ensemble de la p...[+]

STEREOTYPE ; GENRE ; ETUDE ; INEGALITE HOMME-FEMME ; PATRIARCAT

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GENRIMAGES propose exercices, analyses et ressources pour apprendre à repérer et à décoder les stéréotypes dans l'audiovisuel afin de favoriser le débat, remettre en question les conventions, privilégier l'authenticité par rapport à la norme, et permettre une meilleure compréhension filles/garçons pour plus de tolérance et de respect communs. C'est en repérant et en questionnant ces stéréotypes à travers des images familières (publicités, films, séries, clips...) que les élèves peuvent aborder les relations femmes/hommes sous un jour nouveau, plus respectueux de l'autre dans sa différence, et prendre ainsi du recul par rapport à des modèles dominants auxquels ils sont parfois amenés à s'identifier.[-]
GENRIMAGES propose exercices, analyses et ressources pour apprendre à repérer et à décoder les stéréotypes dans l'audiovisuel afin de favoriser le débat, remettre en question les conventions, privilégier l'authenticité par rapport à la norme, et permettre une meilleure compréhension filles/garçons pour plus de tolérance et de respect communs. C'est en repérant et en questionnant ces stéréotypes à travers des images familières (publicités, films, ...[+]

MILIEU SCOLAIRE ; GENRE ; STEREOTYPE ; OUTIL PEDAGOGIQUE ; EDUCATION NATIONALE ; INEGALITE HOMME-FEMME ; représentations

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- 248
Cote : I33 THI
Avec cet essai littéraire, sensible et documenté, Élise Thiébaut signe le livre qu'on attendait sur la ménopause.

Persuadée que la ménopause n'est pas une maladie et qu'elle concerne aussi les hommes, Élise Thiebaut décortique le tabou et les mythes qui l'accompagnent : de la découverte des hormones aux greffes testiculaires, des remèdes archaïques aux traitements laser en passant par la vie des orques, les sorcières ou les métamorphoses du tigre vantées par la culture taoïste, l'autrice explore avec humour les ressorts de cette révolution intime qui nous invite à « ne plus vivre pour l'espèce, mais pour l'esprit ».[-]
Avec cet essai littéraire, sensible et documenté, Élise Thiébaut signe le livre qu'on attendait sur la ménopause.

Persuadée que la ménopause n'est pas une maladie et qu'elle concerne aussi les hommes, Élise Thiebaut décortique le tabou et les mythes qui l'accompagnent : de la découverte des hormones aux greffes testiculaires, des remèdes archaïques aux traitements laser en passant par la vie des orques, les sorcières ou les métamorphoses du ...[+]

MENOPAUSE ; SANTE ; SANTE DE LA FEMME ; MEDECIN ; IMAGE DE LA FEMME ; INEGALITE HOMME-FEMME ; représentations

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- 170
Cote : G22 MAI
« L'égoïsme, c'est la santé ! », disait Benoîte Groult - et pourtant, force est de constater que les femmes, prisonnières de leur souci de l'autre, l'oublient bien trop souvent. Comment se fait-il qu'encore aujourd'hui, alors qu'on ne cesse de parler à tout bout de champ d'égalité des sexes et des chances, la vie professionnelle et l'épanouissement individuel des femmes passent encore trop souvent au second plan ? Les chiffres sont parlants : 17 % des femmes au chômage ont quitté leur emploi pour s'occuper d'un proche contre 1 % des hommes, les temps partiels sont occupés à 75 % par les jeunes mères après une naissance, seulement 18 % des entreprises ont à leur tête une directrice... Le dénominateur commun, dans toutes ces données ? Le sacrifice altruiste de femmes « aliénées par l'amour », prêtes à mettre de côté leurs ambitions pour privilégier le bien-être d'un conjoint, des enfants, des parents... Corinne Maier propose de se réapproprier un terme trop souvent pardonné chez les hommes, honni chez les femmes : l'égoïsme. Puisque l'apprentissage du care et de l'empathie aux petits garçons ne fonctionne pas, ou pas assez vite, insurgez-vous, mesdames, apprenez à vous mettre au premier plan, car l'égoïsme se cultive et se travaille - et ainsi, du geste individualiste, naîtra le bienfait collectif.[-]
« L'égoïsme, c'est la santé ! », disait Benoîte Groult - et pourtant, force est de constater que les femmes, prisonnières de leur souci de l'autre, l'oublient bien trop souvent. Comment se fait-il qu'encore aujourd'hui, alors qu'on ne cesse de parler à tout bout de champ d'égalité des sexes et des chances, la vie professionnelle et l'épanouissement individuel des femmes passent encore trop souvent au second plan ? Les chiffres sont parlants : 17 ...[+]

LUTTE FEMINISTE ; FEMINISME ; INEGALITE HOMME-FEMME ; SEXISME

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La créativité de genre chez l'enfant peut entraîner de profonds bouleversements au sein des familles, mais les défis auxquels font face les parents sont encore méconnus. En raison de l'impact des parents sur le parcours d'affirmation de l'enfant, l'objectif de cet article est d'outiller les personnes travaillant en clinique auprès de familles de jeunes enfants exprimant une créativité de genre. Nous avons ainsi réalisé des entrevues semi-dirigées avec sept mères et un couple hétérosexuel. Leurs enfants étaient âgé·es de 4 à 10 ans. Les entrevues ont été analysées à l'aide de l'approche interprétative phénoménologique (IPA). Les défis relevés se déclinent en trois axes : (1) déséquilibre dans le partage des responsabilités et des charges parentales ; (2) divergences dans les attitudes à l'égard de la créativité de genre ; (3) changements dans la dynamique familiale. Les clinicien·nes doivent être au fait de ces défis afin d'adapter leurs interventions aux besoins de ces familles, notamment en portant une attention particulière au partage inéquitable des responsabilités au sein des couples parentaux, aux différences dans l'acceptation de la créativité de genre de l'enfant et à leurs répercussions sur la dynamique familiale et sur l'enfant.[-]
La créativité de genre chez l'enfant peut entraîner de profonds bouleversements au sein des familles, mais les défis auxquels font face les parents sont encore méconnus. En raison de l'impact des parents sur le parcours d'affirmation de l'enfant, l'objectif de cet article est d'outiller les personnes travaillant en clinique auprès de familles de jeunes enfants exprimant une créativité de genre. Nous avons ainsi réalisé des entrevues sem...[+]

ENFANT ; GENRE ; PARENTALITE ; FAMILLE ; INEGALITE HOMME-FEMME

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- 94
L'IREPS Pays de la Loire, s'interroge depuis de nombreuses années sur l'enjeu majeur de santé publique et l'impact des violences sexuelles sur la santé.
Elle a investi cette problématique depuis 2021 et souhaite partager, à travers ce programme, son expérience de terrain auprès des professionnels de l'éducation, du social et du médico-social qui travaillent auprès d'enfants de 4 à 8 ans et plus.
Ce livret “clé en main” propose un parcours pour renforcer les compétences psychosociales des enfants, en y intégrant les dimensions sur la promotion des relations égalitaires entre les genres, sur le respect de l'intimité, sur l'approche corporelle et notamment savoir nommer les parties intimes, sur le repérage des adultes de confiance, sur l'affirmation de soi et l'apprentissage du “non” dans des objectifs de prévention des violences sexuelles.
La Ronde des Lucioles s'articule autour de 8 séances pédagogiques, progressives et adaptées à l'âge et la maturité des enfants de classe de maternelle à début de primaire.[-]
L'IREPS Pays de la Loire, s'interroge depuis de nombreuses années sur l'enjeu majeur de santé publique et l'impact des violences sexuelles sur la santé.
Elle a investi cette problématique depuis 2021 et souhaite partager, à travers ce programme, son expérience de terrain auprès des professionnels de l'éducation, du social et du médico-social qui travaillent auprès d'enfants de 4 à 8 ans et plus.
Ce livret “clé en main” propose un parcours pour ...[+]

VIOLENCE ; VIOLENCE SEXUELLE ; OUTIL PEDAGOGIQUE ; ENFANCE ; ENFANT ; EGALITE ; INEGALITE HOMME-FEMME ; PREVENTION ; GENRE

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6y
Le jeu « Un Pas Devant l'autre » est une version – créée avec et pour les jeunes – d'une méthode de l'Éducation Populaire déjà éprouvée : « la marche des privilèges » ou « jeu du pas en avant », comme pour celui de CCFD Terres Solidaires sur la question des droits fondamentaux.

DISCRIMINATION ; INEGALITE HOMME-FEMME ; GENRE ; OUTIL PEDAGOGIQUE

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- n° 252 - 70
Cote : AXE 252
Sommaire

Actualités

4 Et puis quoi encore ?
6 Trois questions à… Camille Couette
7 Deux mois dans la vie des femmes
11 Dans l'œil d'axelle
12 Elles sont partout

Dossier

13 L'argent des femmes. Il est l'or de l'autonomie
14 Le grand entretien. Autonomisation économique des femmes : un pas en avant, deux pas en arrière
18 Statut de cohabitant·e : une lutte encore et toujours actuelle
19 L'appauvrissement des victimes de violences intrafamiliales
23 Non-recours : donner de la voix pour déverrouiller l'accès aux droits
26 Autonomie économique : le politique ne remplit pas son rôle
30 De l'argent à elles, le podcast
32 Ces femmes qui veulent mettre de l'argent dans nos poches

Grand format
34 “Escroqueries sentimentales” sur Internet : faux amoureux, vraies violences

Magazine

44 Rencontre / Faire place à de nouvelles configurations familiales
47 Femmage / Elle s'appelait Sourour
50 Féminismes / “Femme, vie et liberté”, de l'Iran à la Belgique
54 L'infusion / Peut-on séparer la femme de l'artiste ?

En pratique

56 Mon corps, ma santé / La fibromyalgie, mise en lumière d'une médecine défaillante
58 Nos droits / L'autonomie économique des femmes
59 Ça fourmille

Culture

61 Musique / Michelle Gurevich
62 Cinéma / Le Balai Libéré
63 Agenda
64 Bouquins
65 Podcast / Créatrices
66 Féministe Fiction / Marthe Degaille
70 Jeu-concours
71 Une carte blanche qui s'affiche / Caroline Gibaut (@petrouchkaka)[-]
Sommaire

Actualités

4 Et puis quoi encore ?
6 Trois questions à… Camille Couette
7 Deux mois dans la vie des femmes
11 Dans l'œil d'axelle
12 Elles sont partout

Dossier

13 L'argent des femmes. Il est l'or de l'autonomie
14 Le grand entretien. Autonomisation économique des femmes : un pas en avant, deux pas en arrière
18 Statut de cohabitant·e : une lutte encore et toujours actuelle
19 L'appauvrissement des victimes de violences int...[+]

ARGENT ; FEMME ; LUTTE FEMINISTE ; INEGALITE HOMME-FEMME ; Coup de coeur

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- 250
Cote : F6 LAM
« L'agente immobilière m'avait prévenue : parapher la page 3 de mon bail n'allait sûrement pas me plaire. Il y était écrit que je m'engageais à occuper mon nouvel appartement “en bon père de famille”. Un bon père de famille, c'est un personnage de droit qui représente la norme, le neutre universel autour duquel on structure la société. C'est à ce moment-là que tout s'est connecté : quand on m'a contrainte, par écrit, à faire allégeance à un système qui place la moralité des pères au centre, en niant mon vécu et celui de millions de femmes et d'enfants victimes de leur violence. Car finalement, qui était mon père ? Un héros parti trop tôt ? Un monstre misogyne coupable de violences ? La réalité se situe au-delà de ces stéréotypes. Il n'était ni un monstre ni un héros, c'était un homme statistiquement normal. Un bon père de famille. »
Dans cet essai à la première personne où s'entremêlent intime et politique, Rose Lamy montre comment les bons pères de famille, en tant qu'individus et en tant que classe sociale, maintiennent le silence autour des violences intrafamiliales. Avec ce nouveau livre où l'on retrouve la finesse d'analyse qui fait son succès, elle achève de s'imposer comme l'une des voix incontournables du féminisme contemporain.[-]
« L'agente immobilière m'avait prévenue : parapher la page 3 de mon bail n'allait sûrement pas me plaire. Il y était écrit que je m'engageais à occuper mon nouvel appartement “en bon père de famille”. Un bon père de famille, c'est un personnage de droit qui représente la norme, le neutre universel autour duquel on structure la société. C'est à ce moment-là que tout s'est connecté : quand on m'a contrainte, par écrit, à faire allégeance à un ...[+]

TEMOIGNAGE ; VIOLENCE ; PATRIARCAT ; VIOLENCE FAMILIALE ; SOCIOLOGIE ; LUTTE FEMINISTE ; FEMINISME ; INEGALITE HOMME-FEMME ; Coup de coeur

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- 256
Cote : G22 MAN
Depuis plusieurs années, Kate Manne, professeure de philosophie aux États-Unis, étudie la place des femmes dans les sociétés occidentales. Dans la continuité de son précédent livre, où elle définissait la misogynie comme un dispositif de contrôle et de répression des femmes dans la sphère publique, elle se concentre ici sur les rouages de la domination masculine.

Il s'agit d'exposer en quoi les violences commises à l'encontre des femmes s'enracinent dans le sentiment diffus que « tout est dû » aux hommes, qui se voient reconnaître des privilèges sur la seule base de leur genre : droit à l'admiration, au consentement sexuel, au contrôle des corps, au travail des femmes, au pouvoir, etc.

Ce faisant, l'autrice ne se contente pas de poser un cadre d'analyse à même d'armer intellectuellement ses lectrices et lecteurs. Elle étaye sa démonstration par de nombreux exemples dans l'univers médical, la justice, en politique, en entreprise, à la maison, etc., et adopte une indispensable approche intersectionnelle, tant certaines femmes – pauvres, handicapées, non blanches, trans… – subissent de façon accrue ce phénomène.

Au-delà de la mise au jour d'un faisceau d'injustices, ce livre à l'écriture acérée apporte des raisons d'espérer une société enfin égalitaire.

Préface d'Anne-Cécile Mailfert, présidente de la Fondation des Femmes.[-]
Depuis plusieurs années, Kate Manne, professeure de philosophie aux États-Unis, étudie la place des femmes dans les sociétés occidentales. Dans la continuité de son précédent livre, où elle définissait la misogynie comme un dispositif de contrôle et de répression des femmes dans la sphère publique, elle se concentre ici sur les rouages de la domination masculine.

Il s'agit d'exposer en quoi les violences commises à l'encontre des femmes ...[+]

VIOLENCE ; PATRIARCAT ; LUTTE FEMINISTE ; FEMINISME ; INEGALITE HOMME-FEMME

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- 55
Le ministère chargé de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations : l'ouvrage annuel Vers l'égalité réelle entre les femmes et les homme : chiffres-clés de l'égalité femmes-hommes., rassemble chaque année les dernières données disponibles sur l'égalité entre les femmes et les hommes sous forme d'infographies pédagogiques. L'un des cinq grands chapitres est dédié aux violences sexistes et sexuelles.

DISCRIMINATION ; EGALITE ; EGALITE HOMME-FEMME ; INEGALITE HOMME-FEMME ; STATISTIQUE ; VIOLENCE ; VIOLENCE SEXUELLE

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- 224
Cote : F6 MAC
Lorsque l'on parle de violences sexuelles, la notion de consentement est partout. De nombreux pays l'ont même intégrée dans la loi : un viol y est alors avant tout défini comme un acte sexuel auquel la victime " n'a pas consenti ". Pour la juriste américaine Catharine A. MacKinnon, ce concept est inopérant, voire hors sujet dans un monde traversé par l'inégalité de genre. Est-on réellement libre de dire " oui " ou " non " lorsqu'il existe des rapports sociaux de domination et de subordination fondés sur le sexe ? En France, le sujet est sur la table : de Vanessa Springora à Adèle Haenel, nombreuses sont les femmes qui prennent la parole afin de mettre en lumière les limites du consentement pour caractériser les violences sexuelles. Se fondant sur une analyse approfondie et comparée de la jurisprudence française, américaine et internationale, MacKinnon propose un changement de perspective. Plus qu'un acte sexuel non consensuel, le viol doit être considéré comme un crime d'inégalité de genre lorsque cette inégalité - souvent ajoutée à la race, à l'âge et à d'autres inégalités de statut social - est utilisée comme moyen de coercition. Intégrer l'inégalité en tant que source de contrainte dans la définition juridique du viol, plutôt que d'exiger des preuves qu'un acte sexuel soit non consensuel, voilà le projet de ce livre ambitieux, qui propose une réforme du Code pénal et ouvre la voie à une utilisation plus efficace et à une meilleure prise en compte des inégalités dans la loi - premier pas indispensable pour aboutir à une véritable liberté sexuelle.[-]
Lorsque l'on parle de violences sexuelles, la notion de consentement est partout. De nombreux pays l'ont même intégrée dans la loi : un viol y est alors avant tout défini comme un acte sexuel auquel la victime " n'a pas consenti ". Pour la juriste américaine Catharine A. MacKinnon, ce concept est inopérant, voire hors sujet dans un monde traversé par l'inégalité de genre. Est-on réellement libre de dire " oui " ou " non " lorsqu'il existe des ...[+]

VIOLENCE ; VIOLENCE SEXUELLE ; CONSENTEMENT ; VIOL ; LEGISLATION ; INEGALITE HOMME-FEMME ; JUSTICE

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y
- 222
Toute technologie est ambivalente : si le Web a permis aux voix marginalisées - celles des femmes lesbiennes, bi, trans, handicapées, racisées, précaires, victimes de violences sexuelles - de se faire entendre, il s'est aussi fait l'écho de discours de haine, alimentant des violences qui intimident et poussent à quitter les réseaux. Bien qu'Internet ait, pour un temps, incarné l'utopie d'une agora démocratique, l'illusion s'est vite dissipée, dévoilant un espace devenu anxiogène à force d'être recomposé, marketé et accaparé par les groupes dominants. Dès lors, comment s'extraire de la toile des dominations et faire en sorte que ce territoire de tous les possibles ne demeure pas le terrain de jeu de la domination masculine ? Cofondatrices de Féministes contre le cyberharcèlement, Laure Salmona et Ketsia Mutombo, en médiatisant le hashtag #TwitterAgainstWomen à l'échelle internationale, ont ainsi contribué à faire naître un nouveau regard sur le harcèlement en ligne et à politiser le phénomène des cyberviolences genrées en pointant leur caractère systémique. Cet ouvrage est le produit de cette lutte et de l'engagement résolu des autrices à emmener le mouvement de recomposition de l'Internet de demain, pour qu'il devienne un espace de liberté et d'égalité pour toutes et tous.[-]
Toute technologie est ambivalente : si le Web a permis aux voix marginalisées - celles des femmes lesbiennes, bi, trans, handicapées, racisées, précaires, victimes de violences sexuelles - de se faire entendre, il s'est aussi fait l'écho de discours de haine, alimentant des violences qui intimident et poussent à quitter les réseaux. Bien qu'Internet ait, pour un temps, incarné l'utopie d'une agora démocratique, l'illusion s'est vite dissipée, ...[+]

CYBERVIOLENCE ; NUMERIQUE ; Nouvelles technologies ; VIOLENCE ; INEGALITE HOMME-FEMME

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- 176
Cote : E25 ABB
Dépression du post-partum, charge maternelle, fatigue extrême, inégalité dans la répartition de la sphère domestique... 8 autrices reconnues partagent le déclic féministe qui a accompagné leur expérience de la maternité, un recueil de récits intimes illustré avec délicatesse pour libérer la parole sur le sujet.

MATERNITE ; FEMINISME ; PARENTALITE ; INEGALITE HOMME-FEMME ; TEMOIGNAGE

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- 96
Cote : A3 OBS
Pour la première fois, un ouvrage réunit des preuves chiffrées des discriminations en France, que leur motif soit la couleur de peau, l'origine, le sexe, le handicap, l'orientation sexuelle, l'identité de genre ou encore l'appartenance syndicale. Il apporte également les explications utiles sur la définition et la mesure des discriminations.

DISCRIMINATION ; SOCIOLOGIE ; INEGALITE HOMME-FEMME ; RACISME ; HANDICAP ; ORIENTATION SEXUELLE

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- 216
Cote : G4 MAR
La réforme des retraites est au cœur du deuxième quinquennat Macron. Mais c'est aussi une bataille féministe, comme le montre Christiane Marty, militante féministe et membre d'Attac. Notre système actuel a été conçu il y a 80 ans sur un modèle de famille patriarcal où l'homme bénéficie de droits directs, et où la femme, supposée « au foyer » ne jouit que de droits dérivés. Si ce système a en partie évolué, les réformes ont suivi une logique néolibérale, rendant illusoire une véritable disparition des inégalités entre les genres. La thèse de L'enjeu féministe des retraites est que, pour mettre Macron en échec, il ne sera pas suffisant de s'opposer à sa réforme mais qu'il faudra élaborer un autre modèle de société, radicalement féministe.[-]
La réforme des retraites est au cœur du deuxième quinquennat Macron. Mais c'est aussi une bataille féministe, comme le montre Christiane Marty, militante féministe et membre d'Attac. Notre système actuel a été conçu il y a 80 ans sur un modèle de famille patriarcal où l'homme bénéficie de droits directs, et où la femme, supposée « au foyer » ne jouit que de droits dérivés. Si ce système a en partie évolué, les réformes ont suivi une logique ...[+]

TRAVAIL ; PRECARITE ; ACTION SOCIALE ; LUTTE FEMINISTE ; PATRIARCAT ; INEGALITE HOMME-FEMME

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- 176
Cote : G21 NOU
L' « égalité femmes-hommes », grande cause des deux derniers quinquennats ? Cause toujours, oui !
Face à l'impunité des agresseurs, la silenciation des victimes et l'inaction de l'État, il nous reste la colère. Une colère qui gronde et résonne de plus en plus fort et largement dans la société. Une colère qui, depuis 2018 et l'ère #MeToo, anime les militantEs du collectif féministe #NousToutes. Car l'engagement peut être une stratégie de survie. Un moyen de (re)nouer des solidarités. D'être puissantEs. En inventant de nouvelles façons de militer, #NousToutes invite à entrer dans une révolte féministe massive en constante évolution. Ses bénévoles dénoncent, attaquent, réveillent les pouvoirs publics et les consciences : éradiquer les violences de genre est urgent... et possible !

Né en 2018, le collectif féministe #NousToutes lutte contre les violences de genre. Sur les réseaux sociaux, leurs encarts violets égrenant le nombre de féminicides sont repris par des dizaines de milliers d'internautes, et dans les rues, les murs se recouvrent de leurs mots adressés aux victimes de violence : « Je te crois ».[-]
L' « égalité femmes-hommes », grande cause des deux derniers quinquennats ? Cause toujours, oui !
Face à l'impunité des agresseurs, la silenciation des victimes et l'inaction de l'État, il nous reste la colère. Une colère qui gronde et résonne de plus en plus fort et largement dans la société. Une colère qui, depuis 2018 et l'ère #MeToo, anime les militantEs du collectif féministe #NousToutes. Car l'engagement peut être une stratégie de survie. ...[+]

INEGALITE HOMME-FEMME ; LUTTE FEMINISTE ; VIOLENCE ; violence sexiste ; GENRE ; Coup de coeur

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- 250
Cote : C1 QUI
Où passe l'argent des femmes, celui qu'elles ont et celui qu'elles n'auront jamais ? À quoi dépensent-elles celui qu'elles ont ? Au nom de quoi n'en toucheront-elles pas plus ? Des questions qui tendent vers une même réponse : leur couple. En interrogeant le rapport des femmes et du couple à l'argent, Lucile Quillet met en lumière le poids et surtout le coût des normes hétérosexuelles. Et pose la question : le couple est-il une arnaque pour les femmes ?

« Cela fait des années que je me penche sur la vie des femmes : leur travail, leurs enfants, leur vie affective, leur argent. Aujourd'hui j'ai voulu faire les comptes et regarder à la loupe ce que leurs dépenses nous révélaient de leur condition et au-delà de ça, ce que cette question disait de notre société. Plus je soulevais le sujet considéré comme tabou et mesquin de l'argent dans le royaume du don de soi qu'est l'amour, plus je découvrais une somme importante de calculs défavorables aux femmes.
L'obsession du couple dans les sociétés occidentales contraint les femmes à réaliser des efforts et des sacrifices considérables - et onéreux -, avant même d'être en couple. Plus tard, les charges domestiques et familiales aspirent leur temps, leur coûtent des opp ortunités en termes de carrière et de salaire : pendant que les femmes travaillent gratuitement pour le foyer, leurs conjoints s'investissent dans leur travail, acquièrent des biens durables et capitalisent sur le long terme en leur seul nom. J'ai également constaté que la logique même de l'État appauvrit les femmes et, loin de les émanciper, les maintient dans un patriarcat décomplexé.
Aussi ce ne sont pas seulement les hommes qui doivent reconnaître leur dette envers elles, c'est la société tout entière qui doit interroger dans quelles autres sphères, dans quels autres accomplissements personnels, elles n'investissent pas ce prix à payer, freinant leur émancipation. »
Lucile Quillet[-]
Où passe l'argent des femmes, celui qu'elles ont et celui qu'elles n'auront jamais ? À quoi dépensent-elles celui qu'elles ont ? Au nom de quoi n'en toucheront-elles pas plus ? Des questions qui tendent vers une même réponse : leur couple. En interrogeant le rapport des femmes et du couple à l'argent, Lucile Quillet met en lumière le poids et surtout le coût des normes hétérosexuelles. Et pose la question : le couple est-il une arnaque pour les ...[+]

COUPLE ; HETERONORMATIVITE ; PATRIARCAT ; ARGENT ; INEGALITE HOMME-FEMME

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