En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

Documents ENQUETE / STATISTIQUE 37 résultats

Filtrer
Sélectionner : Tous / Aucun
P Q
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 4
Bien que rare, la mort d'un enfant à la naissance ou juste après est un évènement dramatique. Alberto Taviani, John Tomkinson et Didier Breton retracent l'histoire statistique et la place que l'on accorde à ces enfants sans vie : comment les définissait-on et les définit-on aujourd'hui ? Quelles sont les femmes les plus à risque de connaître cet événement ? Combien auront d'autres enfants ensuite ?

STATISTIQUE ; ENQUETE / STATISTIQUE ; MORT ; MORTALITE INFANTILE ; MATERNITE ; PARENTALITE ; NAISSANCE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
3y
A l'heure où le faible taux de natalité (INSEE, 2024) suscite un vaste débat sur les causes de la baisse des naissances en France, peu d'observateurs en ont cherché la cause du côté de l'activité sexuelle des Français(es), alors même que la fréquence des rapports a toujours joué, pour les démographes de l'INED, un « rôle dans la détermination du niveau de la fertilité des couples ». S'il faut bien sûr relativiser le lien entre sexualité et procréation dans un pays à forte prévalence contraceptive, cette question se pose néanmoins quand on voit par exemple qu'un pays comme les Etats-Unis affiche des taux préoccupants à la fois en matière d'activité sexuelle et de natalité. Réalisée dans le cadre de l'observatoire LELO de la sexualité des Français(es), cette enquête Ifop menée auprès d'environ 2000 personnes montre bien que l'Hexagone n'échappe pas au phénomène de « récession sexuelle » observé ces dernières années dans nombre de pays occidentaux (ex : USA, GB…). Et si l'impact du temps passé sur les écrans pèse sur cette apathie sexuelle, celle-ci semble aussi être le produit d'un désintérêt de plus en plus marqué pour le sexe.[-]
A l'heure où le faible taux de natalité (INSEE, 2024) suscite un vaste débat sur les causes de la baisse des naissances en France, peu d'observateurs en ont cherché la cause du côté de l'activité sexuelle des Français(es), alors même que la fréquence des rapports a toujours joué, pour les démographes de l'INED, un « rôle dans la détermination du niveau de la fertilité des couples ». S'il faut bien sûr relativiser le lien entre sexualité et ...[+]

SEXUALITE ; ENQUETE ; ENQUETE / STATISTIQUE ; RELATION SEXUELLE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
2y
- 8
La Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) publie une étude sur les recours à l'interruptions volontaires de grossesse (IVG) en 2022, qui augmentent après deux années de baisse exceptionnelle en 2020 et 2021, liée à la pandémie de Covid-19. Cette publication annuelle fait un état des lieux sur les IVG au regard de l'âge des femmes, de leur département de résidence, du terme de la grossesse, de la méthode utilisée et du lieu de réalisation de l'IVG (établissement de santé ou cabinet libéral).[-]
La Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) publie une étude sur les recours à l'interruptions volontaires de grossesse (IVG) en 2022, qui augmentent après deux années de baisse exceptionnelle en 2020 et 2021, liée à la pandémie de Covid-19. Cette publication annuelle fait un état des lieux sur les IVG au regard de l'âge des femmes, de leur département de résidence, du terme de la grossesse, de la ...[+]

AVORTEMENT ; IVG ; ENQUETE ; ENQUETE / STATISTIQUE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 4
Les violences sexuelles sont un phénomène de grande ampleur dont la prise en compte par notre société et les pouvoirs publics est encore récente. Ce Repères #64 nous rappelle que les femmes y sont particulièrement exposées et que la méconnaissance des répercussions psychotraumatiques par les professionnel·les et leur entourage leur porte atteinte, tant dans la mise en sécurité que dans la prise en charge adaptée. L'amélioration du recueil de leur parole doit également permettre de mieux les accompagner et protéger.[-]
Les violences sexuelles sont un phénomène de grande ampleur dont la prise en compte par notre société et les pouvoirs publics est encore récente. Ce Repères #64 nous rappelle que les femmes y sont particulièrement exposées et que la méconnaissance des répercussions psychotraumatiques par les professionnel·les et leur entourage leur porte atteinte, tant dans la mise en sécurité que dans la prise en charge adaptée. L'amélioration du recueil de ...[+]

VIOLENCE ; VIOLENCE SEXUELLE ; ENQUETE / STATISTIQUE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 61
Avec cette édition des chiffres-clés de la jeunesse 2023, l'Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire, qui porte le service statistique ministériel chargé de la jeunesse, de la vie associative et des sports, rend accessible un ensemble d'indicateurs de référence sur les questions de jeunesse.

JEUNESSE ; ADOLESCENCE ; STATISTIQUE ; ENQUETE / STATISTIQUE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° 1227 - 6
La Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) publie une nouvelle étude portant sur les services départementaux de protection maternelle et infantile (PMI). Ces derniers assurent des missions de santé publique et de prévention médico-sociale auprès des mères (et futures mères) et de leurs enfants. Ils interviennent également dans le domaine de la planification et de l'éducation familiale. L'étude décrit l'activité de ces services et les effectifs de leurs principaux personnels, sous l'angle des évolutions et des disparités départementales. Pour ce faire, elle s'appuie sur les résultats de l'enquête annuelle Aide sociale. En complément de l'étude, des données détaillées sont également publiées en Open data[-]
La Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) publie une nouvelle étude portant sur les services départementaux de protection maternelle et infantile (PMI). Ces derniers assurent des missions de santé publique et de prévention médico-sociale auprès des mères (et futures mères) et de leurs enfants. Ils interviennent également dans le domaine de la planification et de l'éducation familiale. L'étude décrit ...[+]

ENQUETE / STATISTIQUE ; SANTE ; PROTECTION MATERNELLE ET INFANTILE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 14

 INTRODUCTION
La sexualité des adolescents est un sujet complexe et crucial, touchant à la fois les dimensions biologiques, psychologiques et socioculturelles de leur développement. À l'adolescence, les jeunes traversent une période de transformations intenses marquée par la puberté, l'éveil des désirs sexuels, et la construction de leur identité. EnCLASS étant une enquête généraliste sur le bien-être et les comportements de santé des collégiens et des lycéens, elle se doit de comporter des questions sur les relations amoureuses et sexuelles si importantes dans cette période. En outre avoir des données concernant l'entrée dans la sexualité des adolescents vise à permettre d'ajuster au mieux les interventions d'éducation à la vie affective, relationnelle.

L'ESSENTIEL
 8 collégiens sur 10 en 4e et 3e déclarent avoir déjà été amoureux, les garçons plus fréquemment que les filles
 La proportion d'élèves qui dit avoir ressenti des sentiments amoureux pour des personnes du même sexe ou des deux sexes est relativement identique au collège et au lycée (environ 4% des garçons, 9% des filles). Cette proportion a augmenté depuis 2018 chez les élèves de 3e-4e.
 En 4e et 3e, 8,8% des élèves disent avoir déjà eu des rapports sexuels, proportion qui monte à 46,3% en terminale. La proportion d'élèves rapportant une expérience sexuelle est en baisse, au collège comme au lycée. Au collège, elle a été divisée par 2 depuis 2010 ; au lycée elle a perdu 8 points entre 2018 et 2022
 Quel que soit le niveau de classe, les garçons déclarent plus souvent que les filles avoir déjà eu des rapports sexuels (7 points d'écart en 4e-3e, 4 points au lycée)
 2% des élèves interrogés âgés de 13 ans et plus rapportent avoir eu des rapports sexuels très précoces (avant l'âge de 13 ans), les garçons sont plus concernés que les filles
 En 4e-3e et au lycée, un peu plus de 6 élèves sur 10 qui ont déjà eu des rapports sexuels disent avoir utilisé un préservatif à leur dernier rapport sexuel et cette proportion est stable depuis 2018 ; en 2022 comme en 2018 les lycéens disent plus fréquemment que les lycéennes avoir utilisé un préservatif
 Au lycée, la moitié des filles disent avoir utilisé la pilule lors de leur dernier rapport. C'est deux fois plus qu'au collège. L'utilisation de la pilule est stable depuis 2018. La contraception d'urgence a quant à elle été utilisée par une lycéenne sur 10 lors de dernier rapport, soit deux fois plus qu'en 2018. Les déclarations concernant ces modes de contraception sont inférieures chez les garçons, quel que soit le niveau
 Parmi les collégiens qui ont eu des rapports sexuels, pour chacune des méthodes de protection listée, environ 1 sur 10 ne sait pas si la méthode considérée a été utilisée. Ces proportions sont divisées par 2 au lycée.[-]

 INTRODUCTION
La sexualité des adolescents est un sujet complexe et crucial, touchant à la fois les dimensions biologiques, psychologiques et socioculturelles de leur développement. À l'adolescence, les jeunes traversent une période de transformations intenses marquée par la puberté, l'éveil des désirs sexuels, et la construction de leur identité. EnCLASS étant une enquête généraliste sur le bien-être et les comportements de santé des ...[+]

ENQUETE ; ENQUETE / STATISTIQUE ; RELATION SEXUELLE ; RELATION AMOUREUSE ; COLLEGE ; LYCEE ; ADOLESCENCE ; JEUNESSE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 26
Cet ouvrage fait le point sur l'égalité entre les femmes et les hommes aujourd'hui en France. Cette édition succède à celle de 2017. Cet article présente une vue d'ensemble de cette étude.

ENQUETE / STATISTIQUE ; EGALITE HOMME-FEMME ; TRAVAIL ; EDUCATION ; SOCIOLOGIE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 19
Cote : F6


Combien de personnes en Île-de-France ont subi des violences dans la famille, dans le couple, au travail, dans les études, dans l'espace public ? Les femmes et les hommes sont-ils concernés de la même manière ? Quelles sont les conséquences de ces violences sur l'état de santé, les parcours scolaires, professionnels et familiaux ? À qui parle-t-on de ces violences ? Y a-t-il des particularités en Île-de-France ?

Pour répondre à ces questions, l'Institut national d'études démographiques (Ined) a réalisé en 2015 une enquête quantitative (intitulée Virage) portant sur les violences subies par les femmes et par les hommes. Conduite par téléphone auprès d'un échantillon de plus de 27 000 femmes et hommes entre 20 et 69 ans, dont 4 516 personnes résidant en Île-de-France, elle a pour objectif de saisir les multiples formes de violences dans une perspective de genre, et d'en approcher les conséquences sur les personnes qui les subissent.

Un rapport réalisé en collaboration entre le Centre Hubertine Auclert et l'INED sur la base de l'échantillon francilien de l'enquête Virage.[-]


Combien de personnes en Île-de-France ont subi des violences dans la famille, dans le couple, au travail, dans les études, dans l'espace public ? Les femmes et les hommes sont-ils concernés de la même manière ? Quelles sont les conséquences de ces violences sur l'état de santé, les parcours scolaires, professionnels et familiaux ? À qui parle-t-on de ces violences ? Y a-t-il des particularités en Île-de-France ?

Pour répondre à ces questions, ...[+]

VIOLENCE ; ILE-DE-FRANCE ; ENQUETE / STATISTIQUE ; VIOLENCE FAITE AUX FEMMES ; VIOLENCE CONJUGALE ; VIOLENCE FAMILIALE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° 1201 - 8
Entre 2000 et 2017, la part des femmes en âge de procréer résidant à respectivement plus de 30 minutes et plus de 45 minutes d'une maternité augmente. Ce constat global, corroboré par les différents outils de mesure mobilisables, résulte de deux effets de sens contraire : l'évolution de la répartition des femmes en âge de procréer sur le territoire a plutôt conduit à un rapprochement de celles-ci des maternités, mais dans le même temps, de nombreuses maternités ont fermé depuis 2000 et ce dernier effet l'emporte. Par ailleurs, ces estimations ne tiennent pas compte des éventuelles améliorations du réseau routier intervenues au cours de la période...[-]
Entre 2000 et 2017, la part des femmes en âge de procréer résidant à respectivement plus de 30 minutes et plus de 45 minutes d'une maternité augmente. Ce constat global, corroboré par les différents outils de mesure mobilisables, résulte de deux effets de sens contraire : l'évolution de la répartition des femmes en âge de procréer sur le territoire a plutôt conduit à un rapprochement de celles-ci des maternités, mais dans le même temps, de ...[+]

MATERNITE ; ENQUETE / STATISTIQUE ; ACCES AUX SOINS

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 54

Avec cette édition des chiffres-clés de la jeunesse 2021, l'Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire, qui porte le service statistique ministériel chargé de la jeunesse et des sports, rend accessible un ensemble d'indicateurs de référence sur les questions de jeunesse.

Ce recueil est le fruit d'une collaboration avec les services statistiques ministériels, l'INSEE et les organismes publics producteurs de données sur la jeunesse. Il propose aux acteurs de jeunesse et au grand public de mieux connaître les spécificités des 15-30 ans dans des domaines aussi variés que la démographie, l'éducation, l'emploi, l'engagement et la participation, les loisirs, le sport, la culture, la justice, ou encore la santé.[-]

Avec cette édition des chiffres-clés de la jeunesse 2021, l'Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire, qui porte le service statistique ministériel chargé de la jeunesse et des sports, rend accessible un ensemble d'indicateurs de référence sur les questions de jeunesse.

Ce recueil est le fruit d'une collaboration avec les services statistiques ministériels, l'INSEE et les organismes publics producteurs de données sur la ...[+]

JEUNESSE ; FRANCE ; ENQUETE / STATISTIQUE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 40
En 2020, 125 morts violentes au sein du couple ont été recensées par les services de police et unités de gendarmerie, contre 173 l'année précédente (48 victimes en moins, soit -28 %).

VIOLENCE CONJUGALE ; féminicide ; FRANCE ; ENQUETE / STATISTIQUE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 526
Cote : B4 BRO
Réalisée en 2015 auprès de 27 000 femmes et hommes, l'enquête Violences et rapports de genre (Virage) constitue un outil majeur de mesure et d'analyse. En interrogeant à la fois les femmes et les hommes, elle rend possible la comparaison des déclarations avec l'analyse de l'effet des normes de genre sur les violences auxquelles femmes et hommes sont confrontés. Quels sont les types de faits, à quelle fréquence et dans quels espaces les violences sont-elles vécues ? Les faits de violence déclarés traduisent-ils les mêmes réalités pour les femmes et les hommes ? Les conséquences matérielles et psychologiques, l'impact sur la santé sont-ils semblables pour les deux sexes ? Complété par des modalités spécifiques (enquêtes par Internet) afin d'atteindre des populations plus difficiles à identifier, le dispositif a permis d'interroger des étudiant·e·s et des personnes LGBT. Les violences fondées sur les rapports de genre sont aujourd'hui au centre d'enjeux sociétaux fortement médiatisés. Leur étude doit enrichir, actualiser et renouveler les connaissances, et fournir des outils solides afin de répondre aux besoins de mise en place et de renforcement des politiques publiques. Elles permettront d'anticiper des situations et des cadres propices à accompagner les personnes qui en sont victimes.[-]
Réalisée en 2015 auprès de 27 000 femmes et hommes, l'enquête Violences et rapports de genre (Virage) constitue un outil majeur de mesure et d'analyse. En interrogeant à la fois les femmes et les hommes, elle rend possible la comparaison des déclarations avec l'analyse de l'effet des normes de genre sur les violences auxquelles femmes et hommes sont confrontés. Quels sont les types de faits, à quelle fréquence et dans quels espaces les violences ...[+]

VIOLENCE ; VIOLENCE SEXUELLE ; SEXISME ; GENRE ; ENQUETE / STATISTIQUE ; VIOLENCE FAITE AUX FEMMES ; VIOLENCE A L'EGARD DE L'HOMME ; VIOLENCE FAMILIALE ; VIOLENCE CONJUGALE ; LGBT ; MIGRATION ; SANTE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
H
- 237
Pour la période 2013-2015, 262 décès maternels ont été identifiés, soit 1 décès tous les 4 jours en France d'une cause liée à la grossesse, à l'accouchement ou à leurs suites. Ce chiffre correspond à un ratio de mortalité maternelle (RMM) de 10,8 décès jusqu'à un an, et un RMM limité à 42 jours de 8,1 décès pour 100 000 naissances vivantes, stables par rapport à la période précédente 2010-2012, et dans la moyenne des pays européens. Cependant, 58% de ces décès sont considérés comme " évitables " ou " peut-être évitables " et dans 66% des cas les soins dispensés n'ont pas été optimaux, ce qui témoigne d'une marge d'amélioration. Certaines inégalités de mortalité maternelle restent inchangées, des disparités territoriales - les femmes résidant dans les DOM présentent un risque de mortalité maternelle multiplié par 4 par rapport à celles de métropole -, et des disparités sociales - la mortalité des femmes migrantes est plus élevée que celle des femmes nées en France, surmortalité particulièrement marquée pour les femmes nées en Afrique subsaharienne dont le risque est 2,5 fois celui des femmes nées en France. Un résultat marquant de ce rapport est la place prépondérante des maladies cardiovasculaires et des suicides, les deux premières causes de mortalité maternelle, responsables d'environ un décès par mois chacune. Un autre résultat important est la poursuite de la diminution de la mortalité par hémorragie obstétricale, divisée par deux en 15 ans, en particulier par baisse des hémorragies mortelles par atonie utérine. Au-delà des nombres, les auteurs ont dégagé de l'analyse de l'ensemble des décès maternels survenus en France en 2013-2015, 30 messages clés. Selon le principe général de l'enquête, " mieux comprendre pour mieux prévenir ", ils ciblent des éléments améliorables des soins ou de leur organisation impliqués dans l'évitabilité de ces décès et identifiés de façon répétée dans cette série d'histoires à la fois uniques et exemplaires.[-]
Pour la période 2013-2015, 262 décès maternels ont été identifiés, soit 1 décès tous les 4 jours en France d'une cause liée à la grossesse, à l'accouchement ou à leurs suites. Ce chiffre correspond à un ratio de mortalité maternelle (RMM) de 10,8 décès jusqu'à un an, et un RMM limité à 42 jours de 8,1 décès pour 100 000 naissances vivantes, stables par rapport à la période précédente 2010-2012, et dans la moyenne des pays européens. Cependant, ...[+]

MATERNITE ; FRANCE ; ENQUETE / STATISTIQUE ; MORTALITE ; FEMME ; DEMOGRAPHIE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 57 - 4
Selon les données du Service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI), entre 2016 et 2018, 4 341 personnes ont été victimes de violences sexuelles incestueuses (atteintes, agressions et viols) en France et ont été enregistrées comme telles par les services de police et les unités de gendarmerie. Il s'agissait plus précisément d'agressions sexuelles pour 65 % d'entre elles, soit 2 808 victimes.

Les femmes représentent 77 % des victimes. Les enfants de moins de 4 ans représentent 50 % des victimes de violences sexuelles incestueuses (soit 2 272).

Notons également que les faits ont été commis au mois de janvier pour 22 % des victimes et le vendredi pour 21 % des victimes. Pour 40 % des victimes, ces violences sexuelles incestueuses ont eu lieu dans des unités urbaines de plus de 50 000 habitants. Parmi les victimes pour lesquelles les lieux ont été renseignés, il s'agissait d'une habitation individuelle ou collective pour 88 % d'entre elles.

Les régions ultramarines présentent le taux de victimes de violences sexuelles incestueuses le plus élevé avec 3,7 pour 100 000 d'habitants alors que le taux moyen est de 2,3.

Sur la période 2016-2018, 6 737 personnes ont été mises en cause pour des violences sexuelles incestueuses.
Ces personnes étaient majoritairement des hommes (95 %) et âgées de 36 à 45 ans (30 %)[-]
Selon les données du Service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI), entre 2016 et 2018, 4 341 personnes ont été victimes de violences sexuelles incestueuses (atteintes, agressions et viols) en France et ont été enregistrées comme telles par les services de police et les unités de gendarmerie. Il s'agissait plus précisément d'agressions sexuelles pour 65 % d'entre elles, soit 2 808 victimes.

Les femmes représentent 77 % des ...[+]

VIOLENCE SEXUELLE ; INCESTE ; FRANCE ; ENQUETE / STATISTIQUE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
vol. Info rapide - n° 15 - 4
D'après l'enquête Cadre de vie et sécurité , en moyenne annuelle sur la période 2011 à 2018, 295 000 personnes âgées de 18 à 75 ans vivant en ménage ordinaire se sont déclarées victimes de violences physiques et/ou sexuelles par leur conjoint ou ex-conjoint. Parmi celles-ci on dénombre 72 % de femmes (soit 213 000).

Ces violences conjugales sont peu fréquemment suivies de plaintes, en particulier lorsqu'il s'agit d'agressions à caractère sexuel.

En 2019, au niveau France entière (y compris les collectivités d'outre-mer), les forces de sécurité ont enregistré un peu plus de 142 000 victimes de violences commises par leur partenaire (soit une hausse de 16 % sur un an), dont près de 126 000 femmes. Il s'agit majoritairement, comme en 2018, de violences volontaires ayant entraîné ou non une incapacité totale de travail. Globalement, les proportions des violences volontaires par conjoint restent relativement stables d'une année sur l'autre parmi les délits enregistrés par la police et la gendarmerie nationales. Au niveau départemental, les situations sont disparates : le nombre de victimes de violences conjugales enregistrées pour 1 000 habitants oscille entre 1,2 et 3,4.

Selon l'étude de la Délégation aux victimes, les morts violentes au sein du couple ont concerné 173 victimes en 2019 (contre 149 en 2018), majoritairement des femmes (146 contre 121 en 2018).[-]
D'après l'enquête Cadre de vie et sécurité , en moyenne annuelle sur la période 2011 à 2018, 295 000 personnes âgées de 18 à 75 ans vivant en ménage ordinaire se sont déclarées victimes de violences physiques et/ou sexuelles par leur conjoint ou ex-conjoint. Parmi celles-ci on dénombre 72 % de femmes (soit 213 000).

Ces violences conjugales sont peu fréquemment suivies de plaintes, en particulier lorsqu'il s'agit d'agressions à caractère ...[+]

ENQUETE / STATISTIQUE ; VIOLENCE CONJUGALE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° 582 - 4
Cote : PopSo 582
Lorsqu'un couple se sépare, il arrive que les deux conjoints continuent à vivre sous le même toit un certain temps. Cette situation est-elle fréquente ? Combien de temps dure-t-elle ? Quelles en sont les raisons ? La présence d'enfants a-t-elle une influence ? La possession de biens en commun également ? Analysant les données de l'enquête EPIC, Wilfried Rault et Arnaud Régnier-Loilier nous renseignent sur une situation de cohabitation mal connue jusqu'ici.[-]
Lorsqu'un couple se sépare, il arrive que les deux conjoints continuent à vivre sous le même toit un certain temps. Cette situation est-elle fréquente ? Combien de temps dure-t-elle ? Quelles en sont les raisons ? La présence d'enfants a-t-elle une influence ? La possession de biens en commun également ? Analysant les données de l'enquête EPIC, Wilfried Rault et Arnaud Régnier-Loilier nous renseignent sur une situation de cohabitation mal connue ...[+]

COUPLE ; DIVORCE ; ENQUETE / STATISTIQUE ; SEPARATION

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 256
Ce rapport dresse un panorama complet des législations visant à assurer l'égalité de traitement des personnes LGBTI dans les pays de l'OCDE, et des mesures complémentaires qui pourraient favoriser cette évolution. Dans un premier temps, il définit le cadre législatif et réglementaire indispensable à l'intégration des minorités sexuelles et de genre. Il passe ensuite en revue les pays de l'OCDE pour déterminer si ces lois sont déjà en vigueur, et étudie les possibilités d'amélioration é...[-]
Ce rapport dresse un panorama complet des législations visant à assurer l'égalité de traitement des personnes LGBTI dans les pays de l'OCDE, et des mesures complémentaires qui pourraient favoriser cette évolution. Dans un premier temps, il définit le cadre législatif et réglementaire indispensable à l'intégration des minorités sexuelles et de genre. Il passe ensuite en revue les pays de l'OCDE pour déterminer si ces lois sont déjà en vigueur, et ...[+]

LGBT ; LEGISLATION ; OCDE ; EUROPE ; AMERIQUE DU NORD ; ASIE ; AMERIQUE DU SUD ; ENQUETE / STATISTIQUE ; EGALITE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° 1155 - 8
Cote : ER 1155
Fin 2014, 1,2 million de jeunes de 18 à 24 ans vivent dans les territoires ruraux, soit un quart des jeunes adultes à ces âges, selon l'Enquête nationale sur les ressources des jeunes de la DREES et de l'Insee. Les jeunes quittent plus souvent les zones rurales pour le milieu urbain : 26 % de ceux dont les parents vivent en zone rurale habitent dans une zone urbaine, contre 2 % dans la situation inverse.

En zone rurale, moins de la moitié des 18-24 ans sont en cours d'études. Ils visent des études plus courtes, en majorité au niveau bac+3 – quand les urbains souhaitent plus souvent atteindre un bac+5 – et sont plus attirés par des études en apprentissage. À l'issue de leurs études, les jeunes accèdent aussi souvent à l'emploi dans les deux types de territoire, mais les zones rurales sont marquées par des inégalités de genre que l'on n'observe pas en milieu urbain.

Les ressources des jeunes ruraux (revenus du travail, aides sociales, aides des parents) sont proches de celles des jeunes urbains à autres caractéristiques identiques. Ils perçoivent moins souvent des prestations sociales, mais de montants plus élevés. Ils bénéficient de moins d'aides financières des parents, mais plus souvent d'aides en nature. Enfin, le sentiment de privation est moins présent dans leur quotidien alors qu'ils sont plus d'un sur cinq à déclarer ne pas avoir de dépenses pour leurs loisirs.[-]
Fin 2014, 1,2 million de jeunes de 18 à 24 ans vivent dans les territoires ruraux, soit un quart des jeunes adultes à ces âges, selon l'Enquête nationale sur les ressources des jeunes de la DREES et de l'Insee. Les jeunes quittent plus souvent les zones rurales pour le milieu urbain : 26 % de ceux dont les parents vivent en zone rurale habitent dans une zone urbaine, contre 2 % dans la situation inverse.

En zone rurale, moins de la moitié des ...[+]

JEUNESSE ; MILIEU RURAL ; ENQUETE / STATISTIQUE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 1154 - 6
Cote : ER 1154
Fin 2014, un quart des jeunes adultes de 18 à 24 ans vivent en territoire rural. Parmi eux, 45 % sont des femmes, contre 50 % en milieu urbain, selon l'Enquête nationale sur les ressources des jeunes de la DREES et de l'Insee. Cette sous représentation peut s'expliquer par le fait que les jeunes femmes en milieu rural quittent leur territoire d'origine plus souvent que les hommes, au moins de façon temporaire, notamment pour leurs études.

Celles qui restent suivent des études moins longues que les jeunes femmes urbaines et visent davantage un diplôme de niveau bac+3. Sorties d'études, elles accèdent aussi souvent à l'emploi que les jeunes femmes urbaines, mais, compte tenu de diplômes moins élevés, occupent plus fréquemment des postes d'intérimaires, ont plus souvent des contrats à durée déterminée et des horaires de travail irréguliers. Elles trouvent cependant moins souvent un emploi à l'issue de leurs études que les hommes (59 % contre 64 %) ce qui n'est pas le cas en zone urbaine (61 % contre 59 %).

Les jeunes femmes des territoires ruraux vivent plus souvent en couple, à âge identique, qu'en milieu urbain. Elles déclarent aussi souvent des dépenses pour leurs loisirs, mais davantage pour des activités sportives et deux fois moins pour voyager à l'étranger. Elles expriment moins souvent le sentiment de se priver par rapport aux loisirs que les jeunes femmes urbaines.[-]
Fin 2014, un quart des jeunes adultes de 18 à 24 ans vivent en territoire rural. Parmi eux, 45 % sont des femmes, contre 50 % en milieu urbain, selon l'Enquête nationale sur les ressources des jeunes de la DREES et de l'Insee. Cette sous représentation peut s'expliquer par le fait que les jeunes femmes en milieu rural quittent leur territoire d'origine plus souvent que les hommes, au moins de façon temporaire, notamment pour leurs étude...[+]

CONDITION FEMININE ; FEMME ; MILIEU RURAL ; JEUNESSE ; ENQUETE / STATISTIQUE

Favoris

Filtrer

Type
Référence
Descripteurs

J Plus

Date de parution

!4d=exec;Select ("02";"$0201";"21";"="))!!4d=insert;Requete_Libelle!