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Documents HAMEL, Christelle 8 résultats

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- 526
Cote : B4 BRO
Réalisée en 2015 auprès de 27 000 femmes et hommes, l'enquête Violences et rapports de genre (Virage) constitue un outil majeur de mesure et d'analyse. En interrogeant à la fois les femmes et les hommes, elle rend possible la comparaison des déclarations avec l'analyse de l'effet des normes de genre sur les violences auxquelles femmes et hommes sont confrontés. Quels sont les types de faits, à quelle fréquence et dans quels espaces les violences sont-elles vécues ? Les faits de violence déclarés traduisent-ils les mêmes réalités pour les femmes et les hommes ? Les conséquences matérielles et psychologiques, l'impact sur la santé sont-ils semblables pour les deux sexes ? Complété par des modalités spécifiques (enquêtes par Internet) afin d'atteindre des populations plus difficiles à identifier, le dispositif a permis d'interroger des étudiant·e·s et des personnes LGBT. Les violences fondées sur les rapports de genre sont aujourd'hui au centre d'enjeux sociétaux fortement médiatisés. Leur étude doit enrichir, actualiser et renouveler les connaissances, et fournir des outils solides afin de répondre aux besoins de mise en place et de renforcement des politiques publiques. Elles permettront d'anticiper des situations et des cadres propices à accompagner les personnes qui en sont victimes.[-]
Réalisée en 2015 auprès de 27 000 femmes et hommes, l'enquête Violences et rapports de genre (Virage) constitue un outil majeur de mesure et d'analyse. En interrogeant à la fois les femmes et les hommes, elle rend possible la comparaison des déclarations avec l'analyse de l'effet des normes de genre sur les violences auxquelles femmes et hommes sont confrontés. Quels sont les types de faits, à quelle fréquence et dans quels espaces les violences ...[+]

VIOLENCE ; VIOLENCE SEXUELLE ; SEXISME ; GENRE ; ENQUETE / STATISTIQUE ; VIOLENCE FAITE AUX FEMMES ; VIOLENCE A L'EGARD DE L'HOMME ; VIOLENCE FAMILIALE ; VIOLENCE CONJUGALE ; LGBT ; MIGRATION ; SANTE

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- n° 538 - 4
Cote : Popso 538
Les femmes rapportent des viols et des agressions sexuelles dans des proportions très supérieures à celles des hommes. Pour elles, les violences dans le cadre des relations conjugales s'ajoutent aux violences subies dans la famille dès l'enfance et l'adolescence, ainsi qu'aux agressions sexuelles vécues tout au long de la vie dans les différents espaces de vie (travail, espace public).

FRANCE ; VIOLENCE ; VIOLENCE SEXUELLE ; VIOL

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- n° 32/1 - p 96-111
Cote : NQF 32/1
Pour illustrer l'évolution des recherches sur les violences, nous avons souhaité interroger Jalna Hanmer, sociologue britannique qui a été l'une des premières à travailler sur les violences envers les femmes et à faire de cette question un objet de recherche scientifique. Elle a publié en 1977, dans Questions féministes, un article majeur (réédité en 2012 dans Questions féministes, aux Éditions Syllepse), dans lequel elle analyse l'usage de la violence par un homme connu comme une forme du contrôle social exercé par les hommes sur les femmes, dans un objectif de conceptualisation et de définition des contours de ce qu'est la violence...[-]
Pour illustrer l'évolution des recherches sur les violences, nous avons souhaité interroger Jalna Hanmer, sociologue britannique qui a été l'une des premières à travailler sur les violences envers les femmes et à faire de cette question un objet de recherche scientifique. Elle a publié en 1977, dans Questions féministes, un article majeur (réédité en 2012 dans Questions féministes, aux Éditions Syllepse), dans lequel elle analyse l'usage de la ...[+]

VIOLENCE ; VIOLENCE FAITE AUX FEMMES ; domination masculine

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- n° 32/1 - p 4-14
Cote : NQF 32/1
Institutionnalisation tardive des recherches sur les violences en France.
Les évolutions politiques et scientifiques récentes.
La dénonciation des violences commises par des hommes contre des femmes a été l'une des questions majeures soulevées par le mouvement féministe des années 1970. S'appuyant sur une remise en cause de l'opposition entre espace public et espace privé, entre les questions publiques dont la société doit se préoccuper et les questions privées tenues au silence, les réflexions menées au sein du mouvement féministe ont mis en évidence la banalité des différentes formes de violence commises par des hommes à l'encontre des femmes – harcèlement dans la rue ou au travail, violences conjugales, violences sexuelles. La dénonciation des différentes formes de violences envers les femmes fut l'objet de nombreuses manifestations et de nombreux écrits militants – manifestations de nuit, procès politiques, etc. Elle s'est focalisée à la fois sur le viol et les violences conjugales, donnant naissance dans les années 1970 aux premiers foyers d'accueil pour les femmes victimes de violences par leur conjoint, mis en place par des collectifs militants tels que celui de Berne, en Suisse, qu'Élisabeth Bäschlin présente dans la rubrique Collectifs de ce numéro ou en France par la Fédération nationale solidarité femmes. De même se montent dans plusieurs pays des associations comme le Collectif féministe contre le viol, créé en France en 1982...[-]
Institutionnalisation tardive des recherches sur les violences en France.
Les évolutions politiques et scientifiques récentes.
La dénonciation des violences commises par des hommes contre des femmes a été l'une des questions majeures soulevées par le mouvement féministe des années 1970. S'appuyant sur une remise en cause de l'opposition entre espace public et espace privé, entre les questions publiques dont la société doit se préoccuper et les ...[+]

FRANCE ; VIOLENCE ; VIOLENCE CONJUGALE ; VIOLENCE SEXUELLE ; VIOLENCE FAITE AUX FEMMES

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vol. 32 - n° 1 - 166 p.
Cote : NQF 32/1
Soulevé publiquement dans le cadre du mouvement féministe des années 1970, le problème des violences masculines contre les femmes demeure une préoccupation contemporaine. Ces violences constituent une forme de contrôle social des femmes et s'inscrivent dans l'ensemble plus large des inégalités entre les femmes et les hommes. Ce numéro réunit des travaux empiriques originaux, traitant de questions au cœur des préoccupations aussi bien académiques que politiques. Ils ont en commun de réinvestir des thèmes déjà largement travaillés par le mouvement féministe des années 1970, en tirant profit de l'institutionnalisation des recherches sur les violences qui ont permis la multiplication des enquêtes quantitatives. Ils interrogent ainsi le lien entre l'appartenance de classe des auteurs de viol et leur comparution devant la justice; le poids des violences conjugales dans les décisions reproductives - interrompre sa grossesse ou non -; le lien entre l'orientation sexuelle des femmes et leur exposition aux violences sexuelles; la prétendue symétrie entre les violences féminines et masculines au sein du couple; l'écart entre la réalité des homicides conjugaux et l'image euphémisée du crime passionnel. A partir de terrains français, italien, états-unien et canadien, ces articles confirment empiriquement ce qui était parfois resté à l'état d'intuition ou d'hypothèse, faute de moyens scientifiques pour les étayer. Ils invitent à penser des politiques publiques innovantes, tant au niveau de la formation des professionnels que de la production de statistiques sur les violences.[-]
Soulevé publiquement dans le cadre du mouvement féministe des années 1970, le problème des violences masculines contre les femmes demeure une préoccupation contemporaine. Ces violences constituent une forme de contrôle social des femmes et s'inscrivent dans l'ensemble plus large des inégalités entre les femmes et les hommes. Ce numéro réunit des travaux empiriques originaux, traitant de questions au cœur des préoccupations aussi bien académiques ...[+]

VIOLENCE FAITE AUX FEMMES ; VIOL ; ASPECT JURIDIQUE ; VIOLENCE SEXUELLE ; HOMOSEXUALITE ; FRANCE ; ETATS-UNIS ; ASPECT SOCIOLOGIQUE ; CANADA ; CORPS

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vol. 29 - n° 3 - 128 p.
Cote : NQF 29/3
Les articles présentés dans ce numéro apportent des éclairages sur les processus contemporains de construction sociale du plaisir sexuel féminin dans l'hétérosexualité, et la mise en perspective de ces nouveaux résultats, au regard du texte précurseur d'Anne Koedt, souligne la persistance des rapports de domination de sexe et de classe tout en donnant à voir les recompositions à l'œoeuvre. Bien d'autres questions restent à traiter. En particulier, l'analyse de l'accès limité des femmes au plaisir dans la sexualité ne doit pas nous empêcher de questionner la nouvelle injonction sociale au plaisir sexuel. La sexualité est en effet appréhendée dans les pays riches sous l'angle de la santé et du bien-être, dans une tentative de dépassement de la “sexualité-risque”, mais en revanche la sexualité devient le conduit majeur de la réalisation de soi, et cette forme de réalisation prend à son tour un caractère d'obligation sociale. Bien que cette injonction demeure cadrée par une définition masculine—plus exactement, patriarcale—de la sexualité, elle s'adresse maintenant autant aux femmes qu'aux hommes. La quête de l'accomplissement sexuel peut ainsi devenir une source de souffrances, mais de souffrances différentes pour les femmes et les hommes. Enfin, il est clair qu'elle reste dominée par l'impératif hétérosexuel ; les quelques études françaises se focalisent sur l'hétérosexualité, et montrent ainsi que l'homosexualité reste toujours en dehors du champ des pratiques “normales”.[-]
Les articles présentés dans ce numéro apportent des éclairages sur les processus contemporains de construction sociale du plaisir sexuel féminin dans l'hétérosexualité, et la mise en perspective de ces nouveaux résultats, au regard du texte précurseur d'Anne Koedt, souligne la persistance des rapports de domination de sexe et de classe tout en donnant à voir les recompositions à l'œoeuvre. Bien d'autres questions restent à traiter. En p...[+]

SEXUALITE ; FEMME ; SEXUALITE FEMININE ; PLAISIR ; ORGASME ; REFECTION DU CLITORIS ; EXCISION ; CONSULTATION MEDICALE ; LIBERTE ; GENRE ; CHOMAGE ; FEMINISME ; CLITORIS

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- 59-82
Cote : MS 2008
L'appréhension du consentement dans deux enquêtes quantitatives

MARIAGE FORCE

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vol. 25 - n° 1 - 160 p.
Cote : NQF 25/1
Alors que la pression médiatique et politique autour de “l'affaire du foulard” a un peu diminué, au moment cependant où les effets de la loi du 15 mars 2004 (interdisant aux élèves des écoles publiques le port de signes religieux “ostentatoires”) commencent à se faire pleinement sentir, NQF propose de recadrer le débat, en apportant des perspectives historiques, anthropologiques, sociologiques et internationales sur les enjeux profonds de cette question, en particulier sur le (post)colonialisme. A l'époque, le débat s'était rapidement figé autour de deux points de vue. D'un côté, l'argument de la défense des droits des femmes et de l'égalité des sexes a servi de justification à la loi. De l'autre, la dénonciation du fait qu'on stigmatisait une population déjà victime du racisme, et qu'on excluait des filles de l'école a motivé l'opposition à la loi. Le débat a divisé l'ensemble des courants politiques, et tout particulièrement le mouvement féministe. Subitement brandie par des personnes et des institutions aussi éloignées que possible du féminisme, et conjointement portée par des féministes convaincues, la défense des droits des femmes s'est trouvée mêlée à des processus relevant du racisme.[-]
Alors que la pression médiatique et politique autour de “l'affaire du foulard” a un peu diminué, au moment cependant où les effets de la loi du 15 mars 2004 (interdisant aux élèves des écoles publiques le port de signes religieux “ostentatoires”) commencent à se faire pleinement sentir, NQF propose de recadrer le débat, en apportant des perspectives historiques, anthropologiques, sociologiques et internationales sur les enjeux profonds de cette ...[+]

SEXISME ; FRANCE ; RACISME ; VOILE ; CONDITION FEMININE ; ALGERIE ; SEXUALITE ; VIRGINITE ; MAGHREB ; FEMINISME

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