En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

Documents SCOTT, Joan Wallach 3 résultats

Filtrer
Sélectionner : Tous / Aucun
P Q
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 320
Cote : A1 SCO
"J'ai entrepris ce livre parce que je savais que les affirmations courantes sur la laïcité — l'idée selon laquelle elle est nécessairement synonyme d'émancipation des femmes — n'étaient tout simplement pas vraies. Ayant étudié l'histoire du genre et des femmes en France, j'étais stupéfaite d'entendre des politiques prétendre que l'égalité de genre est une valeur primordiale de la démocratie au moins depuis la Révolution française.
En réalité, l'égalité de genre est absente des documents fondateurs des démocraties occidentales, même lorsque celles-ci invoquent les principes universels des Droits de l'homme. Elle n'est devenue une valeur centrale pour les politiques français que depuis le début de ce siècle, et seulement pour marquer une opposition à l'islam. C'est ce qui m'est apparu clairement en faisant des recherches sur la loi de 1905 de séparation de l'Eglise et de l'Etat en France".[-]
"J'ai entrepris ce livre parce que je savais que les affirmations courantes sur la laïcité — l'idée selon laquelle elle est nécessairement synonyme d'émancipation des femmes — n'étaient tout simplement pas vraies. Ayant étudié l'histoire du genre et des femmes en France, j'étais stupéfaite d'entendre des politiques prétendre que l'égalité de genre est une valeur primordiale de la démocratie au moins depuis la Révolution française.
En réalité, ...[+]

EGALITE HOMME-FEMME ; GENRE ; LAICITE ; RELIGION ; HISTOIRE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
vol. 32 - n° 1 - 166 p.
Cote : NQF 32/1
Soulevé publiquement dans le cadre du mouvement féministe des années 1970, le problème des violences masculines contre les femmes demeure une préoccupation contemporaine. Ces violences constituent une forme de contrôle social des femmes et s'inscrivent dans l'ensemble plus large des inégalités entre les femmes et les hommes. Ce numéro réunit des travaux empiriques originaux, traitant de questions au cœur des préoccupations aussi bien académiques que politiques. Ils ont en commun de réinvestir des thèmes déjà largement travaillés par le mouvement féministe des années 1970, en tirant profit de l'institutionnalisation des recherches sur les violences qui ont permis la multiplication des enquêtes quantitatives. Ils interrogent ainsi le lien entre l'appartenance de classe des auteurs de viol et leur comparution devant la justice; le poids des violences conjugales dans les décisions reproductives - interrompre sa grossesse ou non -; le lien entre l'orientation sexuelle des femmes et leur exposition aux violences sexuelles; la prétendue symétrie entre les violences féminines et masculines au sein du couple; l'écart entre la réalité des homicides conjugaux et l'image euphémisée du crime passionnel. A partir de terrains français, italien, états-unien et canadien, ces articles confirment empiriquement ce qui était parfois resté à l'état d'intuition ou d'hypothèse, faute de moyens scientifiques pour les étayer. Ils invitent à penser des politiques publiques innovantes, tant au niveau de la formation des professionnels que de la production de statistiques sur les violences.[-]
Soulevé publiquement dans le cadre du mouvement féministe des années 1970, le problème des violences masculines contre les femmes demeure une préoccupation contemporaine. Ces violences constituent une forme de contrôle social des femmes et s'inscrivent dans l'ensemble plus large des inégalités entre les femmes et les hommes. Ce numéro réunit des travaux empiriques originaux, traitant de questions au cœur des préoccupations aussi bien académiques ...[+]

VIOLENCE FAITE AUX FEMMES ; VIOL ; ASPECT JURIDIQUE ; VIOLENCE SEXUELLE ; HOMOSEXUALITE ; FRANCE ; ETATS-UNIS ; ASPECT SOCIOLOGIQUE ; CANADA ; CORPS

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V
- 286
Cote : G21 SCO
L'historienne américaine Joan W. Scott, d'abord spécialiste d'histoire ouvrière française puis brillante théoricienne du gender, nous propose dans cet ouvrage une contribution à l'histoire du féminisme mais aussi du républicanisme français, deux réalités fortement liées à partir de la fin du XIXème siècle, malgré les incompréhensions, les conflits, voire les dénis, celui par exemple d'une historiographie républicaine aveugle à la dimension politique du féminisme.

A travers l'évocation de quatre figures du féminisme français, Olympe de Gouges (1748-1793), Jeanne Deroin (1805-1894), Hubertine Auclert (1848-1914) et Madeleine Pelletier (1874-1939), encadrées par un chapitre introductif intitulé “Lire autrement l'histoire du féminisme” et une rapide évocation finale sur le droit de vote et ses lendemains, l'auteure pose la question des paradoxes, des contradictions qui traversent, depuis la Révolution française, les discours féministes. [-]
L'historienne américaine Joan W. Scott, d'abord spécialiste d'histoire ouvrière française puis brillante théoricienne du gender, nous propose dans cet ouvrage une contribution à l'histoire du féminisme mais aussi du républicanisme français, deux réalités fortement liées à partir de la fin du XIXème siècle, malgré les incompréhensions, les conflits, voire les dénis, celui par exemple d'une historiographie républicaine aveugle à la dimension ...[+]

HISTOIRE ; FEMINISME ; FRANCE

Favoris

Filtrer

Type
Référence
Descripteurs
Date de parution

!4d=exec;Select ("02";"$0201";"21";"="))!!4d=insert;Requete_Libelle!