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Documents DEBAUCHE, Alice 6 résultats

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- 526
Cote : B4 BRO
Réalisée en 2015 auprès de 27 000 femmes et hommes, l'enquête Violences et rapports de genre (Virage) constitue un outil majeur de mesure et d'analyse. En interrogeant à la fois les femmes et les hommes, elle rend possible la comparaison des déclarations avec l'analyse de l'effet des normes de genre sur les violences auxquelles femmes et hommes sont confrontés. Quels sont les types de faits, à quelle fréquence et dans quels espaces les violences sont-elles vécues ? Les faits de violence déclarés traduisent-ils les mêmes réalités pour les femmes et les hommes ? Les conséquences matérielles et psychologiques, l'impact sur la santé sont-ils semblables pour les deux sexes ? Complété par des modalités spécifiques (enquêtes par Internet) afin d'atteindre des populations plus difficiles à identifier, le dispositif a permis d'interroger des étudiant·e·s et des personnes LGBT. Les violences fondées sur les rapports de genre sont aujourd'hui au centre d'enjeux sociétaux fortement médiatisés. Leur étude doit enrichir, actualiser et renouveler les connaissances, et fournir des outils solides afin de répondre aux besoins de mise en place et de renforcement des politiques publiques. Elles permettront d'anticiper des situations et des cadres propices à accompagner les personnes qui en sont victimes.[-]
Réalisée en 2015 auprès de 27 000 femmes et hommes, l'enquête Violences et rapports de genre (Virage) constitue un outil majeur de mesure et d'analyse. En interrogeant à la fois les femmes et les hommes, elle rend possible la comparaison des déclarations avec l'analyse de l'effet des normes de genre sur les violences auxquelles femmes et hommes sont confrontés. Quels sont les types de faits, à quelle fréquence et dans quels espaces les violences ...[+]

VIOLENCE ; VIOLENCE SEXUELLE ; SEXISME ; GENRE ; ENQUETE / STATISTIQUE ; VIOLENCE FAITE AUX FEMMES ; VIOLENCE A L'EGARD DE L'HOMME ; VIOLENCE FAMILIALE ; VIOLENCE CONJUGALE ; LGBT ; MIGRATION ; SANTE

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- n° 32/1 - p 96-111
Cote : NQF 32/1
Pour illustrer l'évolution des recherches sur les violences, nous avons souhaité interroger Jalna Hanmer, sociologue britannique qui a été l'une des premières à travailler sur les violences envers les femmes et à faire de cette question un objet de recherche scientifique. Elle a publié en 1977, dans Questions féministes, un article majeur (réédité en 2012 dans Questions féministes, aux Éditions Syllepse), dans lequel elle analyse l'usage de la violence par un homme connu comme une forme du contrôle social exercé par les hommes sur les femmes, dans un objectif de conceptualisation et de définition des contours de ce qu'est la violence...[-]
Pour illustrer l'évolution des recherches sur les violences, nous avons souhaité interroger Jalna Hanmer, sociologue britannique qui a été l'une des premières à travailler sur les violences envers les femmes et à faire de cette question un objet de recherche scientifique. Elle a publié en 1977, dans Questions féministes, un article majeur (réédité en 2012 dans Questions féministes, aux Éditions Syllepse), dans lequel elle analyse l'usage de la ...[+]

VIOLENCE ; VIOLENCE FAITE AUX FEMMES ; domination masculine

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- n° 32/1 - p 4-14
Cote : NQF 32/1
Institutionnalisation tardive des recherches sur les violences en France.
Les évolutions politiques et scientifiques récentes.
La dénonciation des violences commises par des hommes contre des femmes a été l'une des questions majeures soulevées par le mouvement féministe des années 1970. S'appuyant sur une remise en cause de l'opposition entre espace public et espace privé, entre les questions publiques dont la société doit se préoccuper et les questions privées tenues au silence, les réflexions menées au sein du mouvement féministe ont mis en évidence la banalité des différentes formes de violence commises par des hommes à l'encontre des femmes – harcèlement dans la rue ou au travail, violences conjugales, violences sexuelles. La dénonciation des différentes formes de violences envers les femmes fut l'objet de nombreuses manifestations et de nombreux écrits militants – manifestations de nuit, procès politiques, etc. Elle s'est focalisée à la fois sur le viol et les violences conjugales, donnant naissance dans les années 1970 aux premiers foyers d'accueil pour les femmes victimes de violences par leur conjoint, mis en place par des collectifs militants tels que celui de Berne, en Suisse, qu'Élisabeth Bäschlin présente dans la rubrique Collectifs de ce numéro ou en France par la Fédération nationale solidarité femmes. De même se montent dans plusieurs pays des associations comme le Collectif féministe contre le viol, créé en France en 1982...[-]
Institutionnalisation tardive des recherches sur les violences en France.
Les évolutions politiques et scientifiques récentes.
La dénonciation des violences commises par des hommes contre des femmes a été l'une des questions majeures soulevées par le mouvement féministe des années 1970. S'appuyant sur une remise en cause de l'opposition entre espace public et espace privé, entre les questions publiques dont la société doit se préoccuper et les ...[+]

FRANCE ; VIOLENCE ; VIOLENCE CONJUGALE ; VIOLENCE SEXUELLE ; VIOLENCE FAITE AUX FEMMES

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vol. 32 - n° 1 - 166 p.
Cote : NQF 32/1
Soulevé publiquement dans le cadre du mouvement féministe des années 1970, le problème des violences masculines contre les femmes demeure une préoccupation contemporaine. Ces violences constituent une forme de contrôle social des femmes et s'inscrivent dans l'ensemble plus large des inégalités entre les femmes et les hommes. Ce numéro réunit des travaux empiriques originaux, traitant de questions au cœur des préoccupations aussi bien académiques que politiques. Ils ont en commun de réinvestir des thèmes déjà largement travaillés par le mouvement féministe des années 1970, en tirant profit de l'institutionnalisation des recherches sur les violences qui ont permis la multiplication des enquêtes quantitatives. Ils interrogent ainsi le lien entre l'appartenance de classe des auteurs de viol et leur comparution devant la justice; le poids des violences conjugales dans les décisions reproductives - interrompre sa grossesse ou non -; le lien entre l'orientation sexuelle des femmes et leur exposition aux violences sexuelles; la prétendue symétrie entre les violences féminines et masculines au sein du couple; l'écart entre la réalité des homicides conjugaux et l'image euphémisée du crime passionnel. A partir de terrains français, italien, états-unien et canadien, ces articles confirment empiriquement ce qui était parfois resté à l'état d'intuition ou d'hypothèse, faute de moyens scientifiques pour les étayer. Ils invitent à penser des politiques publiques innovantes, tant au niveau de la formation des professionnels que de la production de statistiques sur les violences.[-]
Soulevé publiquement dans le cadre du mouvement féministe des années 1970, le problème des violences masculines contre les femmes demeure une préoccupation contemporaine. Ces violences constituent une forme de contrôle social des femmes et s'inscrivent dans l'ensemble plus large des inégalités entre les femmes et les hommes. Ce numéro réunit des travaux empiriques originaux, traitant de questions au cœur des préoccupations aussi bien académiques ...[+]

VIOLENCE FAITE AUX FEMMES ; VIOL ; ASPECT JURIDIQUE ; VIOLENCE SEXUELLE ; HOMOSEXUALITE ; FRANCE ; ETATS-UNIS ; ASPECT SOCIOLOGIQUE ; CANADA ; CORPS

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vol. 29 - n° 1 - 152 p.
Cote : NQF 29/1
Qu'il s'agisse de l'éviter, de le contourner, ou au contraire de l'investir pour le transformer, le rapport au droit constitue une dimension essentielle des mobilisations féministes. Quelles sont les stratégies déployées par les féministes (mouvements, associations, juristes, avocates expertes, responsables politiques…) en amont et en aval de l'adoption des lois ? Interviennent-elles dans la fabrication des lois, et selon quelles modalités ? Quels sont, ensuite, les effets des "victoires" législatives sur les luttes : démobilisation, ou au contraire nouvelles mobilisations pour favoriser l'application de la loi ? Les féministes investissent-elles l'arène judiciaire, afin de faire appliquer les lois ou de promouvoir une transformation du droit par la jurisprudence ?

En analysant diverses mobilisations (autour de la contraception, du code de la famille, du statut des demandeuses d'asile, de l'égalité professionnelle et des violences sexuelles) dans une variété de contextes nationaux (France, Corée, Hongrie, Grande Bretagne) et historiques (des années 1960 à nos jours), les cinq contributions de ce numéro mettent en lumière deux grandes catégories de rapports des mobilisations féministes au droit : dans les cas étudiés, celui-ci est alternativement perçu par les militantes comme une contrainte limitant leurs capacités d'action, ou comme une ressource dont il importe de se saisir pour parvenir à leurs fins.

Au sommaire :
EDITO
Laure Bereni, Alice Debauche, Emmanuelle Latour, Anne Revillard - Entre contrainte et ressource: les mouvements féministes face au droit
GRAND ANGLE
Francis Sanseigne - Le Planning familial face à la loi (1956-1967): entre arrangements et transformations
Vanessa Codaccioni - (Dé)Politisation du genre et des questions sexuelles dans un procès politique en contexte colonial: le viol, le procès et l'affaire Djamila Boupacha (1960-1963)
Jane Freedman - Les mobilisations féministes autour du droit d'asile en France et au Royaume-Uni: des normes internationales au droit national
Eun-sil Yim, Florence Galmiche, Kyung-mi Kim, Stéphane Thévenet - Les mobilisations d'expertes juristes dans la construction d'une cause féministe: l'abolition du Hojuje en Corée du Sud
Sophie Pochic, Cécile Guillaume - La doctrine européenne sur l'égalité des chances, support d'une stratégie détournée de défense des intérêts des femmes? Le cas des syndicats hongrois
CHAMP LIBRE
Carmen Martinez, Consuelo Paterna et Carmen Yago - Le discours des femmes sur la répartition des tâches domestiques et de soins
PARCOURS
Emmanuelle Latour - "Questions sur le harcèlement sexuel et la réparation". Entretien avec Sylvie Cromer
COMPTES RENDUS
Joy Charnley - Gretchen Schutz: An Anthology of Nineteenth-Century Women's Poetry from France
COLLECTIF
Emmanuelle Latour - L'Association européenne contre les violences faites aux femmes au travail (AVFT)
Parce qu'il faut "prendre le droit". Entretien avec Marilyn Baldeck, déléguée générale[-]
Qu'il s'agisse de l'éviter, de le contourner, ou au contraire de l'investir pour le transformer, le rapport au droit constitue une dimension essentielle des mobilisations féministes. Quelles sont les stratégies déployées par les féministes (mouvements, associations, juristes, avocates expertes, responsables politiques…) en amont et en aval de l'adoption des lois ? Interviennent-elles dans la fabrication des lois, et selon quelles modalités ? ...[+]

MOUVEMENT DES FEMMES ; FEMINISME ; PLANNING FAMILIAL ; GENRE ; VIOLENCE SEXUELLE ; CONDITION FEMININE ; TRAVAIL DOMESTIQUE ; HARCELEMENT SEXUEL ; VIOLENCE FAITE AUX FEMMES

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vol. 28 - n° 2 - 144 p.
Cote : NQF 28/2
Comment le droit contribue-t-il à reproduire, ou à l'inverse à subvertir les rapports de genre ? Dans quelle mesure des textes de loi apparemment neutres s'avèrent-ils avoir des effets discriminatoires dans les domaines de l'emploi, de la famille, du droit d'asile ou des violences envers les femmes ? Que sait-on de l'impact des dispositifs juridiques visant l'égalité ? Peuvent-ils avoir des effets pervers ? Comment définir juridiquement le concept d'égalité pour faire du droit un véritable outil de changement social ? Telles sont les principales questions abordées par les contributrices à ce numéro, qui explorent les « lois du genre » non seulement « dans les textes », mais aussi « en action » (jurisprudence, application du droit par des instances administratives) à partir d'études minutieuses des dispositifs juridiques. Différents aspects du droit  et de la vie sociale  sont traités, à partir d'une diversité de cas nationaux : violences faites aux femmes en Espagne et en France, divorce et séparation des couples au Canada, partage de la garde des enfants en cas de séparation parentale et droit à la retraite des fonctionnaires en France, application du droit d'asile aux requérantes lesbiennes en Belgique et au Royaume-Uni, droit à l'assurance chômage en Suisse. Si certaines contributions insistent sur la dimension patriarcale du droit et sur la manière dont le principe d'égalité entre les sexes peut, paradoxalement, être invoqué pour remettre en question certains droits acquis de haute lutte par les femmes, dans le cadre d'un divorce par exemple, d'autres dressent un constat plus nuancé. Bien que souvent utilisé pour renforcer la domination masculine, le droit peut aussi être mobilisé dans un sens émancipateur, comme le propose un article dans le cas des demandes d'asile de réfugiées lesbiennes. A la fois instrument d'oppression et outil de résistance, le droit reflète finalement la complexité des rapports de genre eux-mêmes, faits de domination mais aussi de contre-pouvoirs.
Au sommaire :
Les lois intégrales contre la violence à l'égard des femmes en Espagne.
Liberté contractuelle et relations conjugales font-elles bon ménane ?
"Le droit c'est moi"
Droit à l'assurance chômage : toutes choses inégales par ailleurs.
L'application de la Convention sur les réfugiés aux demandeuses d'asiles lesbiennes.
"Des heures sans valeur"
"Une exception juridique française"[-]
Comment le droit contribue-t-il à reproduire, ou à l'inverse à subvertir les rapports de genre ? Dans quelle mesure des textes de loi apparemment neutres s'avèrent-ils avoir des effets discriminatoires dans les domaines de l'emploi, de la famille, du droit d'asile ou des violences envers les femmes ? Que sait-on de l'impact des dispositifs juridiques visant l'égalité ? Peuvent-ils avoir des effets pervers ? Comment définir juridiquement le ...[+]

DROIT ; GENRE ; VIOLENCE FAITE AUX FEMMES ; SEXISME ; TRAVAIL DE LA FEMME ; VIOLENCE CONJUGALE

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