En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

Documents MORTALITE 6 résultats

Filtrer
Sélectionner : Tous / Aucun
P Q
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
2y
- 4
En 2024, 2 700 enfants de moins d'un an sont décédés en France, soit 4,1 décès pour 1 000 enfants nés vivants. Depuis 2011, le taux de mortalité infantile a légèrement augmenté, passant de 3,5 ‰ à 4,1 ‰ en 2024. Cette hausse s'explique uniquement par celle de la mortalité de 1 à 27 jours de vie, qui est passée de 1,5 ‰ à 2,0 ‰. Depuis 2015, le taux de mortalité infantile en France est supérieur à la moyenne de l'Union européenne.

Les garçons risquent 1,2 fois plus que les filles de mourir avant l'âge d'un an et les enfants issus d'un accouchement multiple (comme des jumeaux ou triplés) 5 fois plus que les autres enfants. Les mères résidant dans les DOM, ainsi que celles nées en Afrique (hors Maghreb), ont deux fois plus de risque de perdre leur bébé que les autres mères. Le risque est aussi plus élevé pour les mères très jeunes ou très âgées, les employées, les ouvrières, les inactives. En revanche, le taux de mortalité infantile est plus faible pour les mères âgées de 26 ans à 37 ans.

De 2010-2014 à 2015-2022, le taux de mortalité infantile est resté stable ou a légèrement augmenté, quelles que soient les caractéristiques des enfants, sauf pour ceux issus d'un accouchement multiple, pour lesquels il a nettement augmenté.[-]
En 2024, 2 700 enfants de moins d'un an sont décédés en France, soit 4,1 décès pour 1 000 enfants nés vivants. Depuis 2011, le taux de mortalité infantile a légèrement augmenté, passant de 3,5 ‰ à 4,1 ‰ en 2024. Cette hausse s'explique uniquement par celle de la mortalité de 1 à 27 jours de vie, qui est passée de 1,5 ‰ à 2,0 ‰. Depuis 2015, le taux de mortalité infantile en France est supérieur à la moyenne de l'Union européenne.

Les garçons ...[+]

MORTALITE ; MORTALITE INFANTILE ; STATISTIQUE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° 598 - 4
Cote : PopSo 598
La surmortalité masculine due à la Covid-19 est plus importante que celle pour l'ensemble des décès à partir de 50 ans, peut-être en raison d'un plus grand risque pour les hommes d'être contaminés, du fait de leurs comportements, et aussi de comorbidités plus fréquentes chez eux, qui pourraient entraîner une plus grande létalité (risque de mourir de la maladie quand on est atteint).

DEMOGRAPHIE ; crise sanitaire ; MORTALITE ; FRANCE ; HOMME

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° 590 - 4
Cote : POPSO 590
Le risque de décès est élevé à la naissance et durant les premières années de vie, puis diminue pendant l'enfance jusqu'à atteindre un minimum aux alentours de 10 ans. Il réaugmente ensuite sans cesse au cours de la vie adulte. Les jeunes adultes font cependant souvent exception
avec une mortalité plus élevée qu'attendue comme nous l'expliquent Adrien Remund, Carlo Giovanni Camarda et Tim Riffe. S'agit-il d'un trait naturel de l'espèce humaine, ou d'autre facteurs sont-ils en cause ?[-]
Le risque de décès est élevé à la naissance et durant les premières années de vie, puis diminue pendant l'enfance jusqu'à atteindre un minimum aux alentours de 10 ans. Il réaugmente ensuite sans cesse au cours de la vie adulte. Les jeunes adultes font cependant souvent exception
avec une mortalité plus élevée qu'attendue comme nous l'expliquent Adrien Remund, Carlo Giovanni Camarda et Tim Riffe. S'agit-il d'un trait naturel de l'espèce humaine, ...[+]

DEMOGRAPHIE ; JEUNESSE ; MORTALITE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° 590 - 4
Cote : PopSo 590
Une hausse temporaire du risque de décès au moment de l'entrée dans l'âge adulte a été observée dans de nombreuses populations sans qu'une explication n'émerge clairement jusqu'ici. Plusieurs études récentes permettent cependant de mieux cerner les principales caractéristiques de ce phénomène, qui s'avère historiquement non universel, davantage masculin sans toutefois que les femmes y échappent, et dominé par les morts violentes.

JEUNESSE ; DEMOGRAPHIE ; MORTALITE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° 587 - 4
Cote : PopSo 587
L'épidémie de Covid-19 affecte de façon importante la démographie de la France. Le nombre de décès a nettement augmenté, et celui des naissances a baissé avec un décalage de 9 mois. Commentant le bilan démographique de 2020, Gilles Pison et France Meslé nous expliquent plus particulièrement pourquoi le nombre de décès attribués à la Covid-19 en 2020 dépasse de beaucoup la hausse des décès toutes causes confondues survenue entre 2019 et 2020.

DEMOGRAPHIE ; crise sanitaire ; MORTALITE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
H
- 237
Pour la période 2013-2015, 262 décès maternels ont été identifiés, soit 1 décès tous les 4 jours en France d'une cause liée à la grossesse, à l'accouchement ou à leurs suites. Ce chiffre correspond à un ratio de mortalité maternelle (RMM) de 10,8 décès jusqu'à un an, et un RMM limité à 42 jours de 8,1 décès pour 100 000 naissances vivantes, stables par rapport à la période précédente 2010-2012, et dans la moyenne des pays européens. Cependant, 58% de ces décès sont considérés comme " évitables " ou " peut-être évitables " et dans 66% des cas les soins dispensés n'ont pas été optimaux, ce qui témoigne d'une marge d'amélioration. Certaines inégalités de mortalité maternelle restent inchangées, des disparités territoriales - les femmes résidant dans les DOM présentent un risque de mortalité maternelle multiplié par 4 par rapport à celles de métropole -, et des disparités sociales - la mortalité des femmes migrantes est plus élevée que celle des femmes nées en France, surmortalité particulièrement marquée pour les femmes nées en Afrique subsaharienne dont le risque est 2,5 fois celui des femmes nées en France. Un résultat marquant de ce rapport est la place prépondérante des maladies cardiovasculaires et des suicides, les deux premières causes de mortalité maternelle, responsables d'environ un décès par mois chacune. Un autre résultat important est la poursuite de la diminution de la mortalité par hémorragie obstétricale, divisée par deux en 15 ans, en particulier par baisse des hémorragies mortelles par atonie utérine. Au-delà des nombres, les auteurs ont dégagé de l'analyse de l'ensemble des décès maternels survenus en France en 2013-2015, 30 messages clés. Selon le principe général de l'enquête, " mieux comprendre pour mieux prévenir ", ils ciblent des éléments améliorables des soins ou de leur organisation impliqués dans l'évitabilité de ces décès et identifiés de façon répétée dans cette série d'histoires à la fois uniques et exemplaires.[-]
Pour la période 2013-2015, 262 décès maternels ont été identifiés, soit 1 décès tous les 4 jours en France d'une cause liée à la grossesse, à l'accouchement ou à leurs suites. Ce chiffre correspond à un ratio de mortalité maternelle (RMM) de 10,8 décès jusqu'à un an, et un RMM limité à 42 jours de 8,1 décès pour 100 000 naissances vivantes, stables par rapport à la période précédente 2010-2012, et dans la moyenne des pays européens. Cependant, ...[+]

MATERNITE ; FRANCE ; ENQUETE / STATISTIQUE ; MORTALITE ; FEMME ; DEMOGRAPHIE

Favoris

Filtrer

Type
Référence
Descripteurs
Date de parution

!4d=exec;Select ("02";"$0201";"21";"="))!!4d=insert;Requete_Libelle!