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Documents PATRIARCAT 123 résultats

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- n° 14 - 144
Cote : LDEFE 14
Des mangakas qui dynamitent les normes binaires aux auteur·ices de bande dessinée proposant des récits queer en passant par les tatoueuses, qui offrent permettent de réappropriation de son corps, le monde du dessin est en plein renouveau. Outil d'émancipation récent, le dessin offre un espace pour reprendre sa liberté, conjurer les oppressions collectives et inventer, ensemble, d'autres sociétés.
À lire aussi dans ce numéro : une grande rencontre entre les actrices Judith Godrèche et Guslagie Malanda, une enquête inédite sur les mutilations subies par des personnes intersexes à leur naissance et un portrait de l'artiste Niki de Saint Phalle.[-]
Des mangakas qui dynamitent les normes binaires aux auteur·ices de bande dessinée proposant des récits queer en passant par les tatoueuses, qui offrent permettent de réappropriation de son corps, le monde du dessin est en plein renouveau. Outil d'émancipation récent, le dessin offre un espace pour reprendre sa liberté, conjurer les oppressions collectives et inventer, ensemble, d'autres sociétés.
À lire aussi dans ce numéro : une grande ...[+]

GENRE ; FEMME ET CREATION ARTISTIQUE ; LGBT ; LUTTE FEMINISTE ; FEMINISME ; PATRIARCAT ; INTERSEXUATION ; METOO

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- n° 202 - 28
Cote : CLARA 202
« Il est terrible le petit bruit de l'œuf dur cassé sur un comptoir d'étain… », écrivait Jacques Prévert.
Il est terrible le silence qui entoure la solitude de celle dont les paroles se brisent sur les parois de notre indifférence… Le 28 février 2020, Adèle Haenel quittait la salle Pleyel où se déroulait la 45e cérémonie des César au moment de la remise du prix de la meilleure réalisation à Roman Polanski. Adèle Haenel ayant elle-même dénoncé les attouchements et agressions sexuelles de Christophe Ruggia, réalisateur, lorsqu'elle avait entre douze et quinze ans. Elle quitta la salle quasiment seule, arpentant d'un pas décidé les allées puis les couloirs pour rejoindre la sortie, respirer un peu l'air du dehors, expirer l'air vicié du cinéma français. Deux ans s'étaient écoulés depuis les débuts de #MeToo et la dénonciation des agissements d'Harvey Weinstein par Ashley Judd et Rose McGowan, suivies d'une centaine d'actrices dont une certaine Judith Godrèche, exilée à Hollywood.[-]
« Il est terrible le petit bruit de l'œuf dur cassé sur un comptoir d'étain… », écrivait Jacques Prévert.
Il est terrible le silence qui entoure la solitude de celle dont les paroles se brisent sur les parois de notre indifférence… Le 28 février 2020, Adèle Haenel quittait la salle Pleyel où se déroulait la 45e cérémonie des César au moment de la remise du prix de la meilleure réalisation à Roman Polanski. Adèle Haenel ayant elle-même dénoncé ...[+]

LUTTE FEMINISTE ; PATRIARCAT ; VIOLENCE SEXUELLE ; CINEMA ; METOO

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D'après le Baromètre d'opinion de la DREES, réalisé en France métropolitaine en 2020 et 2022, plus d'une personne sur deux rejette les stéréotypes de genre, une personne sur quatre y adhère et une sur quatre se situe dans une position ambivalente. Quel que soit le degré d'adhésion aux représentations stéréotypées, l'idée que les filles ont autant l'esprit scientifique que les garçons fait très largement consensus dans l'ensemble de la population. En parallèle, certains stéréotypes de genre sont très ancrés : une majorité de personnes adhèrent à l'idée que les mères savent mieux s'occuper des enfants que les pères. Plusieurs caractéristiques augmentent la probabilité d'adhérer aux stéréotypes de genre testés dans le Baromètre : être un homme, avoir plus de 65 ans, avoir une pratique religieuse régulière, être immigré, être peu ou pas diplômé. Le niveau de revenu joue en sens contraire de celui du diplôme : alors que les diplômés du supérieur sont surreprésentés parmi les personnes qui rejettent ces stéréotypes de genre, les plus aisés sur l'échelle de niveau de vie sont plus susceptibles d'adhérer à certains stéréotypes (à diplôme, professions et autres caractéristiques sociodémographiques donnés), en particulier ceux concernant de supposées différences d'aptitudes professionnelles entre femmes et hommes. Le Baromètre met également en lumière la persistance d'une inégalité forte dans les couples, bien documentée par ailleurs : 54 % des femmes déclarent qu'elles prennent majoritairement elles-mêmes en charge les tâches ménagères contre 7 % des hommes. Stéréotypes et pratiques domestiques apparaissent corrélés : plus les personnes adhèrent aux stéréotypes de genre, moins elles déclarent un partage égalitaire dans leur couple.[-]
D'après le Baromètre d'opinion de la DREES, réalisé en France métropolitaine en 2020 et 2022, plus d'une personne sur deux rejette les stéréotypes de genre, une personne sur quatre y adhère et une sur quatre se situe dans une position ambivalente. Quel que soit le degré d'adhésion aux représentations stéréotypées, l'idée que les filles ont autant l'esprit scientifique que les garçons fait très largement consensus dans l'ensemble de la p...[+]

STEREOTYPE ; GENRE ; ETUDE ; INEGALITE HOMME-FEMME ; PATRIARCAT

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Un homme, un vrai, c'est avant tout celui qui se bouge face aux violences faites aux femmes. Parce qu'elles ne concernent pas que les autres.
Elles se produisent partout... tout le temps.

MASCULINITE ; PATRIARCAT ; OUTIL PEDAGOGIQUE ; VIOLENCE

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- 160
Cote : E52 BLA
Les hommes sont fertiles 24 h/24, 365 jours par an. Les femmes 24 heures par mois. Et pourtant, la contraception reste une « affaire de femmes ».

Ces dernières années, on dénombre plus de 200 000 interruptions volontaires de grossesse.

60 % des femmes sont sous contraception.

76 % des Français et Françaises pensent que la contraception ne concerne pas que les femmes.

Dans ce manifeste coup-de-poing, Gabrielle Blair propose 28 arguments concrets, documentés et sans faille, pour renverser les rôles, changer le paradigme de la contraception, et nous invite à repenser et à rééquilibrer la charge contraceptive.

Et si la responsabilité était du côté de ceux qui éjaculent ?

Américaine installée en France, Gabrielle Blair est militante et créatrice de contenus. Best-seller du New York Times, son manifeste révolutionnaire a connu un grand succès aux États-Unis en plein débat sur le droit à l'avortement. Déjà publié dans plusieurs pays, il est traduit pour la première fois en France.[-]
Les hommes sont fertiles 24 h/24, 365 jours par an. Les femmes 24 heures par mois. Et pourtant, la contraception reste une « affaire de femmes ».

Ces dernières années, on dénombre plus de 200 000 interruptions volontaires de grossesse.

60 % des femmes sont sous contraception.

76 % des Français et Françaises pensent que la contraception ne concerne pas que les femmes.

Dans ce manifeste coup-de-poing, Gabrielle Blair propose 28 arguments ...[+]

CONTRACEPTION ; CONTRACEPTION MASCULINE ; PATRIARCAT

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- 272
Cote : G22 PEL
La doctoresse Pelletier (1874-1939) fut d'abord une féministe des plus radicales. Elle porta ce combat dans les partis de gauche, dans la franc-maçonnerie, et partout où elle put dans le débat public. Première femme admise à passer le concours des asiles d'aliénés, elle empoigna les enjeux de l'affranchissement des femmes à la lumière de sa culture scientifique, de sa pratique de la médecine et de sa grille d'analyse matérialiste. Se sentant née "trop tôt", elle batailla en première ligne, sans troupes mais pas sans courage. Elle voulait une égalité absolue, par la voie d'une virilisation des femmes que réprouvaient les féministes, trop timorées à son goût. Elle défendait la virginité militante comme moyen de résistance au patriarcat. Les antiféministes en firent une cible privilégiée. Elle paya par l'internement à l'asile son engagement concret pour la liberté de l'avortement. On la découvre ici sous un angle autobiographique pensé pour la transmission car, pour elle, "le privé est politique". Spécialiste de l'histoire des féminismes, Christine Bard partage et éclaire la transcription des manuscrits inédits de cette féministe toujours critique qui ne renonça jamais à changer le monde.[-]
La doctoresse Pelletier (1874-1939) fut d'abord une féministe des plus radicales. Elle porta ce combat dans les partis de gauche, dans la franc-maçonnerie, et partout où elle put dans le débat public. Première femme admise à passer le concours des asiles d'aliénés, elle empoigna les enjeux de l'affranchissement des femmes à la lumière de sa culture scientifique, de sa pratique de la médecine et de sa grille d'analyse matérialiste. Se sentant née ...[+]

LUTTE FEMINISTE ; FEMINISME ; HISTOIRE ; PATRIARCAT

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- 240
Cote : F4 LEV
Aujourd'hui, des discordances récurrentes de désir sexuel liées à l'absence ou à l'affaiblissement du désir chez les femmes et à la persistance du désir chez les hommes constituent l'une des principales sources de conflits conjugaux, déclenchant même parfois ruptures et divorces.
Jusque très récemment, la vision biologisante et différentialiste de la sexualité décrivait les différences de désir comme étant naturelles et innées, et donc comme étant inéluctables. Les femmes étaient alors amenées à accepter des rapports sexuels sans en avoir envie au nom du « devoir conjugal ».
Depuis le mouvement MeToo, les approches constructivistes de la sexualité envisageant les différences de désir sous le prisme de la domination masculine se diffusent. Selon ces conceptions, les femmes n'auraient pas moins de désir mais se sentiraient illégitimes pour l'exprimer et orienter leurs conduites en fonction de celui-ci. Au sein du couple, l'effritement ou la disparition du désir féminin sont dès lors interprétés comme des signes de désamour et un indicateur de mauvaise santé conjugale.
Cependant, la régularité sociale de telles configurations invite à se défaire d'une lecture purement individuelle et contextuelle. Sans nier le rôle de facteurs interpersonnels, propres aux constructions conjugales individuelles, cet ouvrage propose de déplacer le regard vers des facteurs plus structurels en examinant les processus sociaux qui participent à la production des tensions conjugales autour du désir.
Ce faisant, cet ouvrage offre des pistes aux lecteurs/rices pour comprendre leurs expériences conjugales et ainsi faire face à leurs difficultés en y apportant des réponses, si ce n'est plus adaptées, du moins différentes de celles habituellement considérées.[-]
Aujourd'hui, des discordances récurrentes de désir sexuel liées à l'absence ou à l'affaiblissement du désir chez les femmes et à la persistance du désir chez les hommes constituent l'une des principales sources de conflits conjugaux, déclenchant même parfois ruptures et divorces.
Jusque très récemment, la vision biologisante et différentialiste de la sexualité décrivait les différences de désir comme étant naturelles et innées, et donc comme ...[+]

Coup de coeur ; DESIR ; PATRIARCAT ; SEXUALITE ; RELATION SEXUELLE ; LUTTE FEMINISTE ; FEMINISME ; COUPLE

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- 160
Cote : B2 ASL
Ce travail s'intéresse à l'influence mutuelle de l'identité lesbienne et de l'expérience de la parentalité. L'analyse s'appuie sur treize entretiens avec des personnes lesbiennes ayant un ou des enfants issu·es d'un projet lesbo-conjugal ou d'une relation hétérosexuelle antérieure, ainsi que sur l'étude d'une partie de la presse lesbienne apparue au tournant des années 1980.
Ce mémoire cherche à comprendre comment la distance entre l'homoparentalité et la norme hétérosexuelle rend difficile l'accès et l'expérience de la parentalité pour les lesbiennes – et comment certains facteurs peuvent constituer des conditions rendant possible la transgression de cette norme.
Il questionne également l'influence de la socialisation féministe et lesbienne dans la manière de concevoir la parentalité, et la façon dont elle s'actualise dans l'expérience lesboparentale, ainsi que dans l'accès aux espaces de socialisation et de politisation autour des parentalités minoritaires.[-]
Ce travail s'intéresse à l'influence mutuelle de l'identité lesbienne et de l'expérience de la parentalité. L'analyse s'appuie sur treize entretiens avec des personnes lesbiennes ayant un ou des enfants issu·es d'un projet lesbo-conjugal ou d'une relation hétérosexuelle antérieure, ainsi que sur l'étude d'une partie de la presse lesbienne apparue au tournant des années 1980.
Ce mémoire cherche à comprendre comment la distance entre l'ho...[+]

PARENTALITE ; HOMOPARENTALITÉ ; LESBIANISME ; PATRIARCAT ; FEMINISME ; LUTTE FEMINISTE ; FAMILLE ; SOCIOLOGIE DE LA FAMILLE

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- 160
Cote : F4 DOR
L'effervescence du désir s'évanouit vite avec les règles qui veulent le canaliser.

En amour comme en politique, le désir initial qui nous pousse à nous unir finit toujours par être contenu dans un cadre qui souvent l'éteint. Le couple. Nos institutions politiques. Les élections.

Dans ce livre enthousiasmant, Catherine Dorion dessine la possibilité d'un engagement joyeux et fécond, qu'il soit collectif ou intime.

C'est exactement ce dont ont besoin, dans un climat social français plus tendu que jamais, toutes celles et ceux qui tentent de faire entendre leurs voix et dont les luttes n'ont jamais été autant réprimées.

Ce livre parle du désir qui cherche à s'exprimer entre deux (ou cent mille) personnes, et de ce qui a été mis en place pour le garder emprisonné.

Ce livre est un plan d'évasion.[-]
L'effervescence du désir s'évanouit vite avec les règles qui veulent le canaliser.

En amour comme en politique, le désir initial qui nous pousse à nous unir finit toujours par être contenu dans un cadre qui souvent l'éteint. Le couple. Nos institutions politiques. Les élections.

Dans ce livre enthousiasmant, Catherine Dorion dessine la possibilité d'un engagement joyeux et fécond, qu'il soit collectif ou intime.

C'est exactement ce dont ont ...[+]

DESIR ; LUTTE FEMINISTE ; SEXUALITE ; COUPLE ; SEXUALITE DU COUPLE ; HETERONORMATIVITE ; PATRIARCAT

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- 190
Cote : G22 CIN
Nous sommes de plus en plus nombreuses à mettre l'amitié au cœur de nos vies. Certaines amitiés féminines dépassent le cadre classique de la relation amicale : des femmes achètent des maisons ensemble, fondent des tiers-lieux en non-mixité, se marient pour célébrer leur relation d'amitié. Elles valorisent un lien au pouvoir révolutionnaire. Au lieu d'en faire une variable d'ajustement, une relation « sas » ou « soupape » leur permettant de gérer d'autres types de relation, elles placent l'amitié au centre de leur vie et de leurs intérêts.

Et si ce modèle se démocratisait ? Que se passerait-il si l'amitié féminine représentait le même acquis social que le couple et qu'elle ouvrait autant de portes : capital économique, reconnaissance sociale, soutien fiscal, réseau professionnel, aboutissement personnel ? L'amitié féminine foutrait tout le système en l'air.

Ce livre, qui mêle témoignage de l'autrice et enquête, nous invite à remettre en question le modèle traditionnel du couple comme structure sociale de base et à imaginer d'autres possibles, d'autres façons de faire famille qui seraient sources d'épanouissement et de liberté pour les femmes, trop souvent enfermées dans le carcan étouffant du couple hétérosexuel. [-]
Nous sommes de plus en plus nombreuses à mettre l'amitié au cœur de nos vies. Certaines amitiés féminines dépassent le cadre classique de la relation amicale : des femmes achètent des maisons ensemble, fondent des tiers-lieux en non-mixité, se marient pour célébrer leur relation d'amitié. Elles valorisent un lien au pouvoir révolutionnaire. Au lieu d'en faire une variable d'ajustement, une relation « sas » ou « soupape » leur permettant de gérer ...[+]

AMITIE ; RELATION FAMILIALE ; LUTTE FEMINISTE ; FEMINISME ; ENQUETE ; COUPLE ; PATRIARCAT ; Coup de coeur

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- 96
Cote : G2 THI
En partant de sa propre expérience, Élise Thiébaut explore avec Elléa Bird le tabou de la virginité. Pourquoi est-il si important dans l'Histoire et dans la plupart des cultures ? Que nous dit-il de la condition des femmes, de la sexualité, des religions et de la science ? Une épopée passionnante et drôle, où se croisent les vestales romaines, la Vierge Marie, la grande Artémis mais aussi Jeanne d'Arc et Britney Spears ! Et qui dévoile les dessous d'un mythe toujours puissant, plus riche de sens qu'on l'imagine.[-]
En partant de sa propre expérience, Élise Thiébaut explore avec Elléa Bird le tabou de la virginité. Pourquoi est-il si important dans l'Histoire et dans la plupart des cultures ? Que nous dit-il de la condition des femmes, de la sexualité, des religions et de la science ? Une épopée passionnante et drôle, où se croisent les vestales romaines, la Vierge Marie, la grande Artémis mais aussi Jeanne d'Arc et Britney Spears ! Et qui dévoile les ...[+]

VIRGINITE ; CORPS ; IMAGE DE LA FEMME ; PATRIARCAT ; HISTOIRE ; BANDE DESSINEE ; Coup de coeur

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Association féministe intersectionnelle à l'origine de #TwitterAgainstWomen,
notre objectif est de sensibiliser et d'informer sur les cyberviolences, les droits des victimes et les recours possibles.

PATRIARCAT ; VIOLENCE ; SEXISME ; NUMERIQUE ; RESEAUX SOCIAUX

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- 80
Cote : G22 RAO
En 1801, une jeune Bretonne de 30 ans dont on ne sait, aujourd'hui, presque rien, s'adresse aux femmes de son temps pour les prendre à témoin des interdits, servitudes et violences qu'il leur faut encore affronter, passé le grand souffle de la Révolution.
« Esclave dans la famille et nulle au sein de la Patrie », mais aussi, et c'est alors impensé, encline, par la force des préjugés sociaux, à intérioriser sa propre domination, la femme, dit Fanny Raoul, n'a pas même accès à l'expression légitime de ses opinions. Elle n'en proclame pas moins la sienne avec force, et après 200 ans d'oubli, il est temps de découvrir enfin de joyau de précocité et de radicalité qu'est Opinion d'une femme.[-]
En 1801, une jeune Bretonne de 30 ans dont on ne sait, aujourd'hui, presque rien, s'adresse aux femmes de son temps pour les prendre à témoin des interdits, servitudes et violences qu'il leur faut encore affronter, passé le grand souffle de la Révolution.
« Esclave dans la famille et nulle au sein de la Patrie », mais aussi, et c'est alors impensé, encline, par la force des préjugés sociaux, à intérioriser sa propre domination, la femme, dit ...[+]

PATRIARCAT ; LUTTE FEMINISTE ; FEMINISME ; HISTOIRE

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- 160
Cote : NQF 43/1
L'égalité est déclarée comme une préoccupation centrale de la pratique sportive, de son éthique du fair play et de la (ré)affirmation de l'égalité citoyenne. Pourtant, le sport reste aujourd'hui encore un haut lieu de la reproduction de l'ordre de genre. Quelles sont les conséquences de la compétition sportive sur les relations humaines, ou sur les corps? Les pratiques physiques et sportives sont-elles incompatibles avec les principes féministes de partage, de soutien, de défense des droits des personnes vulnérables? C'est avec la volonté d'apporter des pistes de réflexion sur ces questions que ce Grand angle de la revue Nouvelles Questions Féministes prend à bras le corps les liens entre genre, féminismes et pratiques sportives.

Ce numéro explorera en particulier les thèmes suivants:
– Puissance des corps et capacité d'agir: le roller derby, entre pratique sportive et engagement féministe (Aurélie Aromatario)
– Football féminin au Sénégal: entre autonomisation des filles et controverses (Marame Cissé)
– Penser les corps sportifs en féministes (Solène Froidevaux et Claire Nicolas)
– Terrain de football, terrain de luttes: un nouvel espace de pratiques féministes, queer et sportives
– Un horizon trans-féministe en EPS? Expériences d'une élève trans dans les activités physiques, sportives et artistiques

Editorial

Sigolène Couchot-Schiex, Eva Nada, Clothilde Palazzo-Crettol and Béatrice Bertho

The Sport question: a challenge for feminism

Zoom in

Solène Froidevaux et Claire Nicolas

Sporting bodies in feminist thought and activism

Bastien Pouy-Bidard

Towards trans-feminist PE? Experiences of a trans student training in physical education

Aurélie Aromatario

Power and agency through the body. Roller derby: practicing a sport, doing feminism

Marame Cissé

Women's football in Senegal: the controversial empowerment of girls

Alison Hernandez-Joset, Virginie Nicaise et Natacha Chetcuti-Osorovitz

Football field, field of resistance: a new space for feminist, queer and sports practices

Zoom out

Sarah Demart and Charlotte Pezeril

Ignorant women, ignored women? Understanding the non-use of new HIV prevention technologies

News

Nessrine Naccach

« A Tour of the possibilities for becoming-woman ». Interview with Ines Orchani about Gazelle Théorie

Reviews

Sigolène Couchot-Schiex : Béatrice Barbusse, Du sexisme dans le sport

Geneviève Cresson : Ludovic Gaussot and Nicolas Palierne, La confiance dans les relations familiales

Ryota Ishida : Ako Inuzuka, Non-western colonization, orientalism, and the comfort women

Danièle Kergoat : Alexandra Oeser, Comment le genre construit la classe

Geneviève Cresson : Travail, genre et société, « (Re)configurations du travail domestique »

Éloïse Pieragostini : Susanne Lettow and Sabine Nessel, Ecologies of gender

Collectives

Femigeeks

Promoting feminist geek culture [-]
L'égalité est déclarée comme une préoccupation centrale de la pratique sportive, de son éthique du fair play et de la (ré)affirmation de l'égalité citoyenne. Pourtant, le sport reste aujourd'hui encore un haut lieu de la reproduction de l'ordre de genre. Quelles sont les conséquences de la compétition sportive sur les relations humaines, ou sur les corps? Les pratiques physiques et sportives sont-elles incompatibles avec les principes féministes ...[+]

LUTTE FEMINISTE ; FEMINISME ; SPORT ; DISCRIMINATION ; VIOLENCE ; TRAVAIL ; NUMERIQUE ; GENRE ; CLASSE SOCIALE ; PATRIARCAT

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- 288
Cote : G21 GAL
Dans toutes les mobilisations sociales de la période récente, l'implication des femmes est forte et, pourtant, à chaque fois, elle surprend. Leur présence est interprétée comme le signe d'une contestation exceptionnelle. En réalité, ce qui mérite l'étonnement, c'est qu'on oublie leur participation. Car les femmes ont toujours pris la parole et la rue, avec des modalités d'action singulières.
De la figure de la « ménagère » des Trente Glorieuses, à celle des « Rosies » dans les récentes manifestations contre la réforme des retraites, Fanny Gallot revisite le passé des luttes sociales depuis 1945. Elle montre comment les modalités d'action et les revendications ont pu évoluer au fil des décennies, sous l'influence des mouvements féministes et de l'écho qu'ils ont rencontré auprès des organisations syndicales.
La question du « travail reproductif » est au cœur de ces luttes. Que l'on dénonce sa « déqualification » lorsqu'il est exercé dans le domaine professionnel ou son « invisibilisation » quand il désigne les tâches domestiques accomplies quotidiennement, il est au centre des débats, des revendications et des actions. En tenir compte, tenter d'en discerner les contours est un puissant levier d'action pour les luttes passées, présentes et à venir.[-]
Dans toutes les mobilisations sociales de la période récente, l'implication des femmes est forte et, pourtant, à chaque fois, elle surprend. Leur présence est interprétée comme le signe d'une contestation exceptionnelle. En réalité, ce qui mérite l'étonnement, c'est qu'on oublie leur participation. Car les femmes ont toujours pris la parole et la rue, avec des modalités d'action singulières.
De la figure de la « ménagère » des Trente Glorieuses, ...[+]

LUTTE FEMINISTE ; FEMINISME ; TRAVAIL ; PATRIARCAT

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- n° 147 - 98
Cote : CAU 147
Au sommaire de ce numéro :

ACTU
• L'agenda
• On nous prend pour des quiches !
• News
• La badass du mois : Toufah Jallow
• Décryptage : une cellule anti-ZAD, est-ce bien sérieux ?
• L'essai coup de poing : La Nuit de noces
• À la loupe : la santé mentale des ados
• Le sujet qui fâche : la violence routière
• Autour du monde. Maroc : les mères réclament des droits
• Débat Porno : les vidéos de X éthique doivent-elles intégrer les sites mainstream ?
• Débat (la suite) Par Camille Besse
• Dr Kpote Spéculations sur le spéculum
• BD écolo WTF ?! Les paquebots ?
• Actu environnement La green team des quartiers

MAG
• EN COUV SOPHIE BINET & MONIQUE PINÇON-CHARLOT : « LA LUTTE, C'EST NOTRE DIGNITE »
• Étranger Turquie : les premiers jours du disco
• Portrait Fanny Capel et Gaëlle Leroux, des profs de première classe
• On en cause Couples lesbiens : mères séparées, les oubliées de la parentalité
• Société Déserts médicaux : le village aux 50 médecins
• Nos sous L'argent rend-il heureux ?
• Sport Fuite des athlètes : le rêve américain

VIE PERSO
• Au boulot Nathalie Krone, paludière
• Corps Santé mentale : phobie de grossesse
• Parentalité Parents : trop la gênance
• Parent2 By the Soulce
• Sexualité Révélation lesbienne

CULTURE
• Expo Clichés de compète
• Cinéma
• Camille Cottin pour Toni en famille
• Les sorties du mois
• Séries
• Rentrée littéraire
• Romans
• Essais
• BD
• Histoire Exil forcé : les déraciné·es de La Réunion
• Abonnements[-]
Au sommaire de ce numéro :

ACTU
• L'agenda
• On nous prend pour des quiches !
• News
• La badass du mois : Toufah Jallow
• Décryptage : une cellule anti-ZAD, est-ce bien sérieux ?
• L'essai coup de poing : La Nuit de noces
• À la loupe : la santé mentale des ados
• Le sujet qui fâche : la violence routière
• Autour du monde. Maroc : les mères réclament des droits
• Débat Porno : les vidéos de X éthique doivent-elles intégrer les sites ...[+]

FEMINISME ; LUTTE FEMINISTE ; PRECARITE ; PATRIARCAT ; SANTE MENTALE ; HOMOPARENTALITÉ ; GROSSESSE

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- n° 11 - 144
Cote : LDEFE 11
Dans ce numéro de rentrée autour du thème HABITER, La Déferlante cherche à comprendre comment nos modes d'habitation sont traversés par des rapports de genre. Posséder ou pas son logement, habiter dans un espace collectif ou dans un pavillon individuel, fuir les violences conjugales : autant de situations qui questionnent la notion de “chez-soi ».

Au sommaire également, une grande rencontre entre l'essayiste Mona Chollet et la dessinatrice suédoise Liv Strömquist. Vous lirez également un portrait de la militante écoféministe Vandana Shiva, un entretien avec l'écrivaine guadeloupéenne Maryse Condé et le récit de la rencontre ratée, en 1979, entre Monique Wittig et Audre Lorde.

Deux reportages : en Israël, sur ces femmes qui refusent de faire leur service militaire ; et en Afghanistan sur les micro-résistances misent en place suite à la prise du pouvoir par les talibans, le 15 août 2021.

Retrouvez également le nouveau strip de la dessinatrice Salomé Lahoche, une bande dessinée inédite ainsi qu'un débat sur le thème: peut-on dégenrer la pratique du sport ?[-]
Dans ce numéro de rentrée autour du thème HABITER, La Déferlante cherche à comprendre comment nos modes d'habitation sont traversés par des rapports de genre. Posséder ou pas son logement, habiter dans un espace collectif ou dans un pavillon individuel, fuir les violences conjugales : autant de situations qui questionnent la notion de “chez-soi ».

Au sommaire également, une grande rencontre entre l'essayiste Mona Chollet et la dessinatrice ...[+]

HABITAT ; PATRIARCAT ; FEMINISME ; LUTTE FEMINISTE ; INDE ; ISRAEL ; TRANSIDENTITE ; SPORT

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Mauvaises mères ! Collectif | CQFD 06/2023 H

Revue

- n° 221 - 24
Cote : CQFD 221
Le dossier du mois met à l'honneur les daronnes. Celles auxquelles on reproche d'être trop ceci, pas assez cela, qu'on juge si facilement et qu'on excuse si difficilement, alors qu'elles sont prises en tenaille entre les injonctions du capitalisme et du patriarcat. Ici, des voix s'élèvent pour revendiquer d'autres manières d'être femmes et mères, et tracer des lignes émancipatrices pour des maternités libérées.

MERE CELIBATAIRE ; MATERNITE ; CAPITALISME ; PATRIARCAT ; validisme

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- n° 145 - 98
Cote : CAU 145
Au sommaire de ce numéro :

ACTU
• L'agenda
• Le lance-flammes de Fiona Schmidt
• On nous prend pour des quiches!
• News
• La badass du mois : Daria Serenko
• Décryptage : maisons fissurées : qui paie la facture ?
• L'essai coup de poing : Intersectionnalité
• À la loupe : la reprise après le congé mat
• Le sujet qui fâche : crèches en crise
• Autour du monde BBC : chœur en sursis
• Débat Faut-il adapter les œuvres littéraires à l'époque ?
• Débat (la suite) Par Camille Besse
• BD écolo WTF?! Le bioplastique, c'est quoi ?
• Actu environnement Écodélégué·es : le climat à bonne école
• Dr Kpote Petit mascu deviendra grand

MAG
• En couv Ovidie : « L'amour est surcoté »
• Étranger Liban : un pays en thérapie
• Portrait Marinette Pichon : le foot, sa surface de réparation
• On en cause Écologie : informer nuit gravement à la santé
• Nos sous Acheter, vendre ou… attendre
• Société En finir avec le cauchemar en cuisine
• Sport Courses automobiles : la parité hors circuit

VIE PERSO
• Au boulot Céline Le Drenn, débardeuse à cheval
• Corps Traitement de l'AVC : un décret décérébré
• Parentalité Relou·es, les BFF de mes gosses !
• Parent2 By the Soulce
• Sexualité Tantrisme : reculer pour mieux se sauter

CULTURE
• Expo Objectifs femmes
• Cinéma
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• Calendrier  2023 Par Pascal Gros
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Au sommaire de ce numéro :

ACTU
• L'agenda
• Le lance-flammes de Fiona Schmidt
• On nous prend pour des quiches!
• News
• La badass du mois : Daria Serenko
• Décryptage : maisons fissurées : qui paie la facture ?
• L'essai coup de poing : Intersectionnalité
• À la loupe : la reprise après le congé mat
• Le sujet qui fâche : crèches en crise
• Autour du monde BBC : chœur en sursis
• Débat Faut-il adapter les œuvres littéraires à l'époque ?
• ...[+]

LUTTE FEMINISTE ; FEMINISME ; SEXUALITE ; PATRIARCAT ; VIOLENCE ; LIBAN

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Cote : D2 DAU
Un féminicide, une ville.
Le point de départ de ce livre est le meurtre de Shaïna, 15 ans, poignardée et brûlée vive à Creil (Oise) par son petit ami en 2019.
À partir de cette histoire, Laure Daussy interroge la situation des femmes dans les quartiers populaires et donne la parole aux habitants de Creil.

Pour les adolescentes de Creil, résonnent dans leurs voix le poids des rumeurs et la menace de la réputation de "fille facile". Un contrôle permanent qui les empêche de vivre librement. Pour les protéger, la justice et les services publics se révèlent trop souvent inadaptés.
À une époque où les combats féministes prennent de plus en plus d'ampleur, pourquoi ne sont-ils pas parvenus jusqu'à ces jeunes femmes ?
Si le sexisme est partout, il y a des endroits en France où le quotidien des adolescentes relève de l'urgence.

Laure Daussy est journaliste d'investigation et reporter à Charlie Hebdo.[-]
Un féminicide, une ville.
Le point de départ de ce livre est le meurtre de Shaïna, 15 ans, poignardée et brûlée vive à Creil (Oise) par son petit ami en 2019.
À partir de cette histoire, Laure Daussy interroge la situation des femmes dans les quartiers populaires et donne la parole aux habitants de Creil.

Pour les adolescentes de Creil, résonnent dans leurs voix le poids des rumeurs et la menace de la réputation de "fille facile". Un contrôle ...[+]

SEXISME ; ADOLESCENCE ; PATRIARCAT ; VIOLENCE ; HARCELEMENT SEXUEL ; ENQUETE ; PRECARITE

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