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Documents LE PAPE, Marie-Clémence 3 résultats

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- 88
La Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) publie un Dossier qui donne à voir le point de vue des pères sur la manière dont se négocie la répartition des temps à la fois dans la sphère professionnelle mais aussi dans la famille, et comment s'organisent au quotidien les temps de la vie privée deux ans après la naissance d'un enfant. Ce dossier s'appuie sur les données issues d'une enquête qualitative menée en 2023 auprès de certains des pères interrogés dans l'enquête Modes de garde et d'accueil des jeunes enfants réalisée par la DREES en 2021.[-]
La Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) publie un Dossier qui donne à voir le point de vue des pères sur la manière dont se négocie la répartition des temps à la fois dans la sphère professionnelle mais aussi dans la famille, et comment s'organisent au quotidien les temps de la vie privée deux ans après la naissance d'un enfant. Ce dossier s'appuie sur les données issues d'une enquête qualitative ...[+]

PATERNITE ; CONGE PARENTAL ; FAMILLE ; INEGALITE HOMME-FEMME

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- 7
Fin 2021, 12 % des enfants de moins de 6 ans vivent dans une famille monoparentale, majoritairement chez leur mère (83 %). Si, parmi les jeunes enfants concernés, 13 % passent un week-end sur deux et la moitié des vacances scolaires chez leur père, 25 % – soit environ
130 000 enfants – n'ont aucun contact avec lui. La séparation des parents est plus souvent précoce pour ces enfants et la situation des familles, plus précaire.
Afin de s'organiser au quotidien, les familles monoparentales se tournent davantage vers leurs proches que les couples pour prendre en charge leurs jeunes enfants – au moins une fois dans la semaine (35 %, contre 27 %) –, en particulier les mères seules en emploi dont les enfants n'ont aucun contact avec le père (57 %). Les proches constituent un relais important pour les mères seules, notamment le matin et le soir, avant ou après l'école, la crèche ou l'assistante maternelle.
Les grands-parents sont les premiers à s'occuper des enfants : 25 % d'entre eux leur sont confiés au moins une fois dans la semaine (comme 23 % des enfants des couples). Quand l'enfant réside principalement chez sa mère, les grands-parents maternels la relaient plus souvent que les grands- parents paternels (20 %, contre 7 %). En cas de résidence alternée, la prise en charge de l'enfant est équilibrée entre les deux lignées (19 % dans les deux cas), les grands-parents paternels étant alors deux fois plus sollicités que lorsque les parents sont en couple (10 %). Le recours aux autres membres de la famille est plus rare, mais deux fois plus fréquent pour les familles monoparentales que pour les couples (9 %, contre 4 %), tout comme le recours aux amis ou voisins (4 %, contre 2 %).[-]
Fin 2021, 12 % des enfants de moins de 6 ans vivent dans une famille monoparentale, majoritairement chez leur mère (83 %). Si, parmi les jeunes enfants concernés, 13 % passent un week-end sur deux et la moitié des vacances scolaires chez leur père, 25 % – soit environ
130 000 enfants – n'ont aucun contact avec lui. La séparation des parents est plus souvent précoce pour ces enfants et la situation des familles, plus précaire.
Afin de s'organiser ...[+]

FAMILLE ; FAMILLE MONOPARENTALE ; INEGALITE HOMME-FEMME ; ENQUETE ; PARENTALITE

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- 164
Cote : B20 PAP
Malgré la part croissante des familles monoparentales dans la population française, elles ne sont toujours pas considérées comme des familles « comme les autres ». Issues pour partie du XIXe siècle, les représentations archétypales demeurent, largement nourries par des figures antagonistes : « veuve éplorée » versus « veuve joyeuse », pauvre fille abandonnée versus « célibattante », « mère-courage » versus « mère assistée »... Des stigmates persistants structurent ainsi les représentations sociales et façonnent l'expérience qu'en font concrètement les parents en situation de monoparentalité - en grande majorité des femmes. Ces représentations stéréotypées, nourries d'idées reçues que l'ouvrage s'attache à déconstruire, trouvent également leur traduction dans des politiques publiques qui peinent à réduire les inégalités auxquelles ces pères, ces mères et leurs enfants sont encore aujourd'hui exposés. Ont aussi contribué à cet ouvrage : Émilie Biland, Hana Bouhired Lacheraf, Catherine Collombet, Chloé Courtot, Fiona Friedli, Solenne Jouanneau, Oriane Lanseman, Nadine Lefaucheur, Margot Lenouvel, Agnès Martial, Claude Martin, Antoine Math, Muriel Mille, Marianne Modak, Louise Protar, Antoine Rivière, Carla Robison, Gabrielle Schu¨tz, Hélène Steinmetz.[-]
Malgré la part croissante des familles monoparentales dans la population française, elles ne sont toujours pas considérées comme des familles « comme les autres ». Issues pour partie du XIXe siècle, les représentations archétypales demeurent, largement nourries par des figures antagonistes : « veuve éplorée » versus « veuve joyeuse », pauvre fille abandonnée versus « célibattante », « mère-courage » versus « mère assistée »... Des stigmates ...[+]

FAMILLE ; PARENTALITE ; FAMILLE MONOPARENTALE

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