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D'après le Baromètre d'opinion de la DREES, réalisé en France métropolitaine en 2020 et 2022, plus d'une personne sur deux rejette les stéréotypes de genre, une personne sur quatre y adhère et une sur quatre se situe dans une position ambivalente. Quel que soit le degré d'adhésion aux représentations stéréotypées, l'idée que les filles ont autant l'esprit scientifique que les garçons fait très largement consensus dans l'ensemble de la population. En parallèle, certains stéréotypes de genre sont très ancrés : une majorité de personnes adhèrent à l'idée que les mères savent mieux s'occuper des enfants que les pères. Plusieurs caractéristiques augmentent la probabilité d'adhérer aux stéréotypes de genre testés dans le Baromètre : être un homme, avoir plus de 65 ans, avoir une pratique religieuse régulière, être immigré, être peu ou pas diplômé. Le niveau de revenu joue en sens contraire de celui du diplôme : alors que les diplômés du supérieur sont surreprésentés parmi les personnes qui rejettent ces stéréotypes de genre, les plus aisés sur l'échelle de niveau de vie sont plus susceptibles d'adhérer à certains stéréotypes (à diplôme, professions et autres caractéristiques sociodémographiques donnés), en particulier ceux concernant de supposées différences d'aptitudes professionnelles entre femmes et hommes. Le Baromètre met également en lumière la persistance d'une inégalité forte dans les couples, bien documentée par ailleurs : 54 % des femmes déclarent qu'elles prennent majoritairement elles-mêmes en charge les tâches ménagères contre 7 % des hommes. Stéréotypes et pratiques domestiques apparaissent corrélés : plus les personnes adhèrent aux stéréotypes de genre, moins elles déclarent un partage égalitaire dans leur couple.[-]
D'après le Baromètre d'opinion de la DREES, réalisé en France métropolitaine en 2020 et 2022, plus d'une personne sur deux rejette les stéréotypes de genre, une personne sur quatre y adhère et une sur quatre se situe dans une position ambivalente. Quel que soit le degré d'adhésion aux représentations stéréotypées, l'idée que les filles ont autant l'esprit scientifique que les garçons fait très largement consensus dans l'ensemble de la p...[+]

STEREOTYPE ; GENRE ; ETUDE ; INEGALITE HOMME-FEMME ; PATRIARCAT

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- 8
L'endométriose est une maladie inflammatoire chronique touchant 10 % des femmes lors de leur vie
menstruelle. Elle est associée à des symptômes invalidants, notamment des douleurs abdomino-pelviennes, qui ont un impact important dans la vie des femmes touchées et pour la société en termes
de coûts directs et indirects, et elle représente l'une des plus grandes causes d'infertilité. Ce numéro
de « Questions de santé publique » propose une vue d'ensemble de l'état des connaissances actuelles
sur l'épidémiologie de l'endométriose et évoque le changement de reconnaissance récent de la maladie dans la société, jusqu'à la stratégie nationale contre l'endométriose.[-]
L'endométriose est une maladie inflammatoire chronique touchant 10 % des femmes lors de leur vie
menstruelle. Elle est associée à des symptômes invalidants, notamment des douleurs abdomino-pelviennes, qui ont un impact important dans la vie des femmes touchées et pour la société en termes
de coûts directs et indirects, et elle représente l'une des plus grandes causes d'infertilité. Ce numéro
de « Questions de santé publique » propose une vue ...[+]

ENDOMETRIOSE ; REGLES ; SANTE DE LA FEMME ; ETUDE ; SANTE ; MEDECINE

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- 9
Introduction : Si la pilule demeure, en France, le moyen de contraception le plus utilisé par les jeunes femmes, on remarque depuis les années 2000 une diminution de cette utilisation et un questionnement quant à sa centralité dans la norme contraceptive. Ces remises en cause s'inscrivent dans une montée de ce que l'on peut qualifier de climat de défiance envers les méthodes hormonales.
But de l'étude : À partir de l'analyse d'un corpus de 21 entretiens portant sur le choix en matière de contraception menés auprès de femmes ayant entre 20 et 28 ans, cet article vise à renseigner les modalités d'expression du rejet des hormones et à déterminer ses effets concrets sur leur choix contraceptif.
Résultats : L'enquête montre la prévalence parmi les jeunes femmes interrogées d'une méfiance à l'égard des hormones, qui s'ancre rarement dans leur expérience contraceptive mais semble, à l'exception de certains cas, plus diffuse. Elle est surtout mobilisée par les femmes lorsqu'il s'agit de justifier l'arrêt de la pilule, dont la prise en charge matérielle devient de plus en plus pesante pour elles au fil des années. Finalement, les femmes qui rejettent l'utilisation des hormones continuent très majoritairement à utiliser une contraception médicalisée, y compris une contraception hormonale, à partir du moment où son usage est jugé plus facile que celui de la pilule.
Conclusions : En remettant en cause la contraception hormonale, et plus précisément la pilule, c'est surtout le manque de choix que dénoncent les jeunes femmes : il ne s'agit pas de revendiquer moins de contraception, mais une contraception plus adaptée à leurs besoins.[-]
Introduction : Si la pilule demeure, en France, le moyen de contraception le plus utilisé par les jeunes femmes, on remarque depuis les années 2000 une diminution de cette utilisation et un questionnement quant à sa centralité dans la norme contraceptive. Ces remises en cause s'inscrivent dans une montée de ce que l'on peut qualifier de climat de défiance envers les méthodes hormonales.
But de l'étude : À partir de l'analyse d'un corpus de 21 ...[+]

PILULE ; CONTRACEPTION ; ETUDE ; ETUDE CRITIQUE

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- 52
" Etude observationnelle rétrospective portant sur l'efficacité des interruptions volontaires de grossesse médicamenteuses (IVG) sur des grossesses précoces, réalisées sur 3 centres d'orthogénie entre janvier 2017 et juin 2022. Objectifs : L'objectif principal de ce travail est d'évaluer l'efficacité et la sûreté des IVG médicamenteuses sur des grossesses précoces, réalisées durant la période de l'étude. En 2020, 220 000 IVG ont été enregistrées en France, chiffre stable depuis plusieurs années. Autorisées jusqu'à 16 semaines d'aménorrhée, par voie médicamenteuse ou instrumentale, les IVG peuvent être pratiquées dans les établissements de santé, dans les centres de planification ou certains cabinets médicaux de ville pour la méthode médicamenteuse. Depuis avril 2021, en raison de la crise sanitaire, l'IVG par méthode médicamenteuse est réalisable jusqu'à 9 SA en établissement ou à domicile. La méthode consiste en la prise d'un antiprogestérone (mifépristone), puis 24 à 48 h après une prostaglandine (misoprostol). Par ailleurs, la suppression du délai de réflexion d'une semaine avant la réalisation d'une IVG a entraîné des demandes d'IVG pour des grossesses plus précoces et a probablement augmenté les situations d'IVG sur grossesse de localisation indéterminée. Ces GLI correspondent dans la plupart des cas à une grossesse intra-utérine (GIU) à un stade précoce mais peuvent aussi correspondre à une grossesse non évolutive ou encore à une grossesse extra-utérine (GEU). Méthodes : Pour répondre aux objectifs de l'étude, nous avons conçu une étude descriptive observationnelle rétrospective multicentrique. L'étude a été menée dans les centres d'orthogénie du CHU de Grenoble, du GHM et au Planning Familial de Grenoble, pour des IVG médicamenteuses réalisées entre janvier 2017 et juin 2022. Le critère de jugement principal est défini comme étant le taux de succès de l'IVG médicamenteuse, le succès étant défini comme l'obtention d'un avortement complet n'ayant pas nécessité d'intervention chirurgicale. Les critères de jugement secondaire sont les facteurs de risque d'échecs d'IVG et le taux de grossesse extra-utérine. Résultats : Cette étude menée sur 165 femmes et incluant 143 patientes a permis de mettre en évidence un taux de réussite de l'IVG de 90,21%, un taux de grossesses intra-utérines évolutives de 2,8%, un taux de grossesses extra-utérines de 3,5%, un taux de rétention trophoblastiques de 3,5%. Le taux de femmes perdues de vue est de 7,6%. Les facteurs prédictifs d'échec mis en évidence de manière statistiquement significatif sont le tabac chez la patiente, la gestité. L'étude montre qu'une IVG réalisée avec un taux de hCG inférieur à 1000 UI/L a plus de risque de donner une grossesse évolutive. Conclusion : Bien que la réalisation d'IVG sur grossesse précoce reste une pratique marginale, il semble intéressant que des recommandations nationales soient définies pour rassurer, d'une part les professionnels de santé et ainsi favoriser l'utilisation de cette pratique, et d'autre part, les patientes sur la sécurité de ces IVG. Cette étude sur les facteurs de risques des IVG sur grossesse précoce peut permettre d'aider les professionnels à adapter au mieux les informations à donner aux patientes ainsi que la surveillance de l'efficacité en post-abortum. La réalisation d'une analyse avec un échantillon plus large pourrait permettre d'affiner les résultats obtenus en y intégrant éventuellement une évaluation du vécu de l'IVG sur grossesse précoce. "[-]
" Etude observationnelle rétrospective portant sur l'efficacité des interruptions volontaires de grossesse médicamenteuses (IVG) sur des grossesses précoces, réalisées sur 3 centres d'orthogénie entre janvier 2017 et juin 2022. Objectifs : L'objectif principal de ce travail est d'évaluer l'efficacité et la sûreté des IVG médicamenteuses sur des grossesses précoces, réalisées durant la période de l'étude. En 2020, 220 000 IVG ont été enregistrées ...[+]

AVORTEMENT ; AVORTEMENT PRECOCE ; ETUDE ; AVORTEMENT MEDICAMENTEUX

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- 138
Cote : F32 COL
Étude qui présente un état des lieux régional (région Centre) sur l'accès à la vie affective et sexuelle dans les établissements spécialisés pour les personnes handicapées.

SEXUALITÉ ET HANDICAP ; ETUDE ; TEMOIGNAGE

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- n° 620 - 90 p.
Cote : EPE 620
ACTUALITE
* Entretien avec Serge Héfez...Un regard ouvert sur les familles
* Cinéma : Captain America - Civil war, d'Anthony et Joe Russo / Décryptage proposé par Serge Tisseron.
* Billet d'humeur : C. Eliacheff - Accueillir les jeunes enfants
* Tendances de la recherche : Féminin/masculin - Le genre d'études qui bousculent
* L'Ecole, côté parents : Faut-il en finir avec la classe ? / Philippe Meirieu
* Colloque : Congrès Parentel 2016 - Réflexions sur la violence des jeunes

DOSSIER
* Enquêtes : Images - Pouvoir d'attraction
* Point de vue : Réseaux sociaux - Ephémères images / Elsa Godart.
* Zoom : Images subliminales - Entre crainte et fascination
* Regards croisés : Images pornographiques et violentes / Justine Atlan et Alain Héril.
* Reportage : Jeu vidéo Clash back - L'allié des soignants
* Enquête : Education à l'image - Quand l'école se mobilise
* Approches transculturelles / Jacques Barou

TERRAIN
* Réseau des Epe : Epe de Haute-Corse (20) « Nutrition et santé »
* Réseau des Epe : Amafar - Epe de La Réunion (974) « Parler pour que les enfants écoutent »
* Initiative collège - Jean Vilar à Grigny (91) « La fabrique de l'info »
* Vie associative - La Goutte d'eau lorrinoise (972) « Il suffit parfois d'un koud'pouss »
PRATIQUE
* Santé : Gynécologie « La première consultation »
* Droit de la famille : Divorcer sans juge « Une vraie-fausse bonne idée ? »
* Collectivités publiques : Rythmes scolaires « Une réforme en voie de stabilisation »
* Livres adultes / Livres enfants
* Outils : Voyage à domicile « Une Maison symbolique pour parler de la vie quotidienne »[-]
ACTUALITE
* Entretien avec Serge Héfez...Un regard ouvert sur les familles
* Cinéma : Captain America - Civil war, d'Anthony et Joe Russo / Décryptage proposé par Serge Tisseron.
* Billet d'humeur : C. Eliacheff - Accueillir les jeunes enfants
* Tendances de la recherche : Féminin/masculin - Le genre d'études qui bousculent
* L'Ecole, côté parents : Faut-il en finir avec la classe ? / Philippe Meirieu
* Colloque : Congrès Parentel 2016 - ...[+]

FAMILLE ; PSYCHANALYSE ; CINEMA ; PSYCHIATRIE DE L'ENFANT ; ETUDE ; GENRE ; RELATION PERE-ENFANT ; IMAGE DE L'HOMME ; IMAGE DE LA FEMME ; RESEAU SOCIAL ; PORNOGRAPHIE ; JEUX ; ECOLE ; EDUCATION ; INTERCULTURALITE ; GYNECOLOGIE ; CONSULTATION MEDICALE ; DIVORCE ; LEGISLATION DU DIVORCE

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- 130 p.
Cote : A 5.2 ECO
La Fédération Nationale des Ecoles de Parents et des Educateurs ont mené une étude sur les groupes de parole de parents animés au sein de l'EPE, ainsi que sur la parentalité.

GROUPE DE PAROLE ; PARENTALITE ; FAMILLE ; ETUDE

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