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Documents THOMÉ, Cécile 3 résultats

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Introduction : Si la pilule demeure, en France, le moyen de contraception le plus utilisé par les jeunes femmes, on remarque depuis les années 2000 une diminution de cette utilisation et un questionnement quant à sa centralité dans la norme contraceptive. Ces remises en cause s'inscrivent dans une montée de ce que l'on peut qualifier de climat de défiance envers les méthodes hormonales.
But de l'étude : À partir de l'analyse d'un corpus de 21 entretiens portant sur le choix en matière de contraception menés auprès de femmes ayant entre 20 et 28 ans, cet article vise à renseigner les modalités d'expression du rejet des hormones et à déterminer ses effets concrets sur leur choix contraceptif.
Résultats : L'enquête montre la prévalence parmi les jeunes femmes interrogées d'une méfiance à l'égard des hormones, qui s'ancre rarement dans leur expérience contraceptive mais semble, à l'exception de certains cas, plus diffuse. Elle est surtout mobilisée par les femmes lorsqu'il s'agit de justifier l'arrêt de la pilule, dont la prise en charge matérielle devient de plus en plus pesante pour elles au fil des années. Finalement, les femmes qui rejettent l'utilisation des hormones continuent très majoritairement à utiliser une contraception médicalisée, y compris une contraception hormonale, à partir du moment où son usage est jugé plus facile que celui de la pilule.
Conclusions : En remettant en cause la contraception hormonale, et plus précisément la pilule, c'est surtout le manque de choix que dénoncent les jeunes femmes : il ne s'agit pas de revendiquer moins de contraception, mais une contraception plus adaptée à leurs besoins.[-]
Introduction : Si la pilule demeure, en France, le moyen de contraception le plus utilisé par les jeunes femmes, on remarque depuis les années 2000 une diminution de cette utilisation et un questionnement quant à sa centralité dans la norme contraceptive. Ces remises en cause s'inscrivent dans une montée de ce que l'on peut qualifier de climat de défiance envers les méthodes hormonales.
But de l'étude : À partir de l'analyse d'un corpus de 21 ...[+]

PILULE ; CONTRACEPTION ; ETUDE ; ETUDE CRITIQUE

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- 23
À partir de l'étude de la pratique contraceptive du retrait, cet article analyse les difficultés méthodologiques que rencontrent les chercheurs et chercheuses se confrontant à des objets dont la mesure peut être difficile, qu'ils soient invisibilisés ou stigmatisés. L'article propose d'abord de revenir sur les études ayant cherché à déterminer la prévalence du retrait en France jusqu'aux années 1960, puis interroge les ressorts de la construction progressive de la stigmatisation de cette pratique par l'Église, puis enfin par le biais de la médecine et du fait de son statut de pratique sexuelle. En s'appuyant sur la comparaison de neuf enquêtes quantitatives menées en France depuis les années 1970 ainsi que sur une bibliographie internationale, il propose des éléments de réflexion méthodologique pour cerner au mieux cette méthode contraceptive qui souvent n'est pas considérée comme telle par les enquêté·es, ou dont l'utilisation est cachée. Pour ce faire, il revient sur la manière la plus efficace de poser la question de cette pratique (formulation, vocabulaire employé, question de rattrapage), mais il éclaire également l'importance d'une réflexion sur la temporalité pour donner au mieux sa place au retrait dans une « mosaïque de méthodes » plus efficaces qui peuvent le dissimuler au profit d'une unique « méthode principale ».[-]
À partir de l'étude de la pratique contraceptive du retrait, cet article analyse les difficultés méthodologiques que rencontrent les chercheurs et chercheuses se confrontant à des objets dont la mesure peut être difficile, qu'ils soient invisibilisés ou stigmatisés. L'article propose d'abord de revenir sur les études ayant cherché à déterminer la prévalence du retrait en France jusqu'aux années 1960, puis interroge les ressorts de la co...[+]

CONTRACEPTION ; HISTOIRE ; COIT INTERROMPU ; METHODE CONTRACEPTIVE ; DEMOGRAPHIE

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Cote : E5 MT THO
Mémoire de Master 2 en Sociologie mention "Genre, politique et sexualité".

Résumé : ce mémoire s'intéresse à ce que représente le préservatif (essentiellement masculin) pour un groupe d'enquêté-es. Ainsi, l'autrice a pu faire des entretiens avec 12 personnes entre 20 et 24 ans. A partir des réponses obtenues, elle s'interroge sur les scripts dans lesquels s'insère le préservatif et dans lesquels il pose parfois problème, ainsi que la façon dont il les modifie parfois.[-]
Mémoire de Master 2 en Sociologie mention "Genre, politique et sexualité".

Résumé : ce mémoire s'intéresse à ce que représente le préservatif (essentiellement masculin) pour un groupe d'enquêté-es. Ainsi, l'autrice a pu faire des entretiens avec 12 personnes entre 20 et 24 ans. A partir des réponses obtenues, elle s'interroge sur les scripts dans lesquels s'insère le préservatif et dans lesquels il pose parfois problème, ainsi que la façon dont ...[+]

PRESERVATIF MASCULIN ; HETEROSEXUALITE ; ENQUETE ; SOCIOLOGIE ; SEXUALITE DES JEUNES

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