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Documents LEGISLATION 139 résultats

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Depuis le 1er juillet 2024, vous pouvez obtenir auprès d'un médecin généraliste ou d'un gynécologue un arrêt de travail sans jour de carence si vous êtes dans l'incapacité d'exercer votre emploi après une interruption médicale de grossesse. Vous percevez ainsi dès le premier jour de cessation de votre activité les indemnités journalières versées par votre régime d'assurance maladie pour compenser votre perte de salaire.

INTERRUPTION MEDICALE DE GROSSESSE ; LEGISLATION ; TRAVAIL

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Les infections sexuellement transmissibles autres que le virus de l'immunodéficience humaine, dont
le dépistage est réalisé à la demande du patient en laboratoire de biologie médicale conformément au deuxième alinéa de l'article L. 162-13-2 du code de la sécurité sociale sont :
– l'infection par Neisseria gonorrhoeae ;
– l'infection par Chlamydia trachomatis ;
– l'infection par Treponema pallidum (la syphilis) ;
– l'infection par le virus de l'hépatite B.[-]
Les infections sexuellement transmissibles autres que le virus de l'immunodéficience humaine, dont
le dépistage est réalisé à la demande du patient en laboratoire de biologie médicale conformément au deuxième alinéa de l'article L. 162-13-2 du code de la sécurité sociale sont :
– l'infection par Neisseria gonorrhoeae ;
– l'infection par Chlamydia trachomatis ;
– l'infection par Treponema pallidum (la syphilis) ;
– l'infection par le virus de ...[+]

I.S.T. ; DEPISTAGE ; LEGISLATION

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L'annexe de l'arrêté du 1er juin 2015 déterminant les recommandations de bonnes pratiques relatives aux modalités d'accès, de prise en charge des femmes enceintes et des couples, d'organisation et de fonctionnement des centres pluridisciplinaires de diagnostic prénatal en matière de diagnostic prénatal et de diagnostic préimplantatoire est remplacée par l'annexe du présent arrêté.

GROSSESSE ; LEGISLATION ; DIAGNOSTIC ; DIAGNOSTIC PRENATAL

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Publics concernés : femmes enceintes, sages-femmes, établissements de santé.
Objet : encadrement de la pratique des interruptions volontaires de grossesse instrumentales par des sages-
femmes en établissement de santé.
Entrée en vigueur : le décret entre en vigueur le lendemain de sa publication.
Notice : le décret modifie les conditions requises pour la pratique des interruptions volontaires de grossesse
instrumentales par des sages-femmes en établissement de santé.
Références : le décret, ainsi que les dispositions du code de la santé publique qu'il modifie, peuvent être
consultés, dans leur rédaction issue de cette modification, sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr)[-]
Publics concernés : femmes enceintes, sages-femmes, établissements de santé.
Objet : encadrement de la pratique des interruptions volontaires de grossesse instrumentales par des sages-
femmes en établissement de santé.
Entrée en vigueur : le décret entre en vigueur le lendemain de sa publication.
Notice : le décret modifie les conditions requises pour la pratique des interruptions volontaires de grossesse
instrumentales par des sages-femmes en ...[+]

LEGISLATION ; IVG ; AVORTEMENT ; LEGISLATION DE L'AVORTEMENT ; SAGE-FEMME ; ASPECT MEDICAL

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Parmi les mesures mises en place pour faciliter l'accès aux moyens de contraception, la prise en charge de certains préservatifs féminins et masculins s'élargit à de nouvelles marques. L'occasion de refaire le point sur les moyens de contraception remboursables par l'Assurance Maladie.

CONTRACEPTION ; LEGISLATION

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Cette loi inscrit dans la Constitution de 1958 "la liberté garantie des femmes de recourir à l'interruption volontaire de grossesse (IVG)". Il s'agit de réaffirmer le caractère fondamental de cette liberté en France. Le droit d'avorter est aujourd'hui en régression dans plusieurs pays étrangers, comme aux États-Unis ou même en Europe.
La loi a été promulguée le 8 mars 2024 et publiée au Journal officiel du 9 mars 2024.

LEGISLATION ; LEGISLATION DE L'AVORTEMENT ; AVORTEMENT ; FRANCE

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Ce lundi 4 mars, le Parlement réuni au complet a adopté à la majorité absolue la constitutionnalisation du droit à l'interruption volontaire de grossesse (IVG). Un moment qualifié d' « historique » par de nombreux observateurs.

IVG ; AVORTEMENT ; LEGISLATION

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- 147
En 2014, la France a ratifié la Convention européenne sur la prévention et la lutte contre la violence à l'égard des femmes et la violence domestique, dite « Convention d'Istanbul ». Dix ans après, nos associations font le bilan et tirent la sonnette d'alarme face aux nombreux manquements de la France. Une situation qui pourrait encore empirer avec la menace de l'arrivée au pouvoir de l'extrême droite. Il y a quelques mois, l'Union européenne adoptait elle aussi cet outil indispensable, malgré l'opposition virulente de l'extrême droite.

La « Convention d'Istanbul » constitue l'instrument juridique international le plus complet qui existe pour prévenir et combattre les violences sexistes et sexuelles, y compris conjugales, et protéger les victimes. Dix ans après sa ratification par la France, le Conseil de l'Europe, à travers un comité d'expert·es dédié, le GREVIO, en évalue son respect, en droit et en pratique.

Sur la base des observations et des analyses issues des pratiques de terrain de nos associations spécialisées, nous avons fait un bilan conjoint des mesures prises par la France, que nous venons d'adresser au GREVIO (lien vers le rapport) . Nos constats sont unanimes : la France est loin de respecter la Convention.

Manque de volonté politique, de pilotage et de moyens, aujourd'hui, la législation française n'est toujours pas conforme à la Convention d'Istanbul, et quand le droit la respecte plus ou moins, la mise en œuvre est rarement à la hauteur. Ainsi, les mesures mises en place, de manière éparse et éclatée, concernent quasi exclusivement, et encore insuffisamment, les violences conjugales. Elles font moindre cas des violences sexistes, sexuelles et des cyberviolences et excluent les groupes minorisés et marginalisés à l'instar des femmes étrangères et des femmes en situation de handicap, pourtant surexposées à ces violences.

Alors que la France accuse un lourd retard dans l'application effective et ambitieuse de la Convention d'Istanbul, la possible arrivée au pouvoir de l'extrême droite, opposée à ce texte, constitue une menace sérieuse pour les droits des femmes, la lutte contre les violences et l'application de la Convention. Au Parlement européen, les eurodéputé·es du Rassemblement national avaient voté contre son adoption par l'Union européenne.

La France doit agir de toute urgence. Elle doit transformer ses engagements internationaux en actions concrètes et placer la lutte contre les violences sexistes et la protection des femmes victimes au cœur de son agenda politique. La Convention d'Istanbul sauve des vies. Plus que jamais : appliquons-la, protégeons-la. [-]
En 2014, la France a ratifié la Convention européenne sur la prévention et la lutte contre la violence à l'égard des femmes et la violence domestique, dite « Convention d'Istanbul ». Dix ans après, nos associations font le bilan et tirent la sonnette d'alarme face aux nombreux manquements de la France. Une situation qui pourrait encore empirer avec la menace de l'arrivée au pouvoir de l'extrême droite. Il y a quelques mois, l'Union européenne ...[+]

VIOLENCE ; LEGISLATION ; FRANCE ; VIOLENCE SEXUELLE ; violence sexiste ; ASPECT JURIDIQUE ; ASPECT INTERNATIONAL

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- 65
Définie par le Code de l'éducation1 et encadrée par la circulaire n° 2018-111 du 12-9-2018, l'éducation à la vie affective, relationnelle et à la sexualité, se déploie de manière progressive de l'école maternelle jusqu'aux classes du lycée. Du fait de son ampleur, de la richesse de ses enjeux, ainsi que d'un nécessaire ajustement à l'âge des élèves, elle se construit en deux étapes différenciées et complémentaires : une « éducation à la vie affective et relationnelle » pour l'école maternelle (cycle 1) et l'école élémentaire (cycle 2), une « éducation à la vie affective, relationnelle et à la sexualité » pour l'école élémentaire (cycle 3), le collège (cycles 3 et 4) et pour le lycée.[-]
Définie par le Code de l'éducation1 et encadrée par la circulaire n° 2018-111 du 12-9-2018, l'éducation à la vie affective, relationnelle et à la sexualité, se déploie de manière progressive de l'école maternelle jusqu'aux classes du lycée. Du fait de son ampleur, de la richesse de ses enjeux, ainsi que d'un nécessaire ajustement à l'âge des élèves, elle se construit en deux étapes différenciées et complémentaires : une « éducation à la vie ...[+]

LEGISLATION ; EDUCATION A LA SEXUALITE ; PROGRAMME D'ACTION

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- 70
" À l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes qui a lieu tous les ans le 25 novembre, la délégation aux droits des femmes du Sénat a organisé, le 23 novembre 2023, un colloque consacré à l'accès à l'avortement dans le monde. Ce rapport rend compte des trois thèmes abordés lors de ce colloque :
- des législations variées, en recul dans plusieurs zones du monde ;
- quels blocages et quel accès effectif ?
- des mobilisations indispensables sur le terrain. "[-]
" À l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes qui a lieu tous les ans le 25 novembre, la délégation aux droits des femmes du Sénat a organisé, le 23 novembre 2023, un colloque consacré à l'accès à l'avortement dans le monde. Ce rapport rend compte des trois thèmes abordés lors de ce colloque :
- des législations variées, en recul dans plusieurs zones du monde ;
- quels blocages et quel accès ...[+]

LEGISLATION ; AVORTEMENT ; MONDE

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- 57 p.
"Nous n'avons pas la prétention de répondre aux questionnements philosophiques sur la pornographie, nous ne sommes pas partisans d'un courant féministe «pro­sexe» ou «abolitionniste», l'idée n'est pas de rejouer les Sex Wars, ce n'est pas le rôle du législateur. Nous proposons une approche par le droit, car la pornographie est un état de fait qu'il convient d'encadrer. La pornographie ne disparaîtra pas quelles que soient les législations et il est important d'offrir un cadre juridique efficient. L'approche prohibitionniste aura pour seul impact la délocalisation des lieux de tournage, faisant ainsi échapper complètement la pornographie au contrôle de l'État. Celle-ci s'effectuera alors dans la plus grande clandestinité facilitant de facto la traite des êtres humains et l'exploitation des acteurs et des actrices. Ces contenus pornographiques hors du droit seront diffusés dans des zones de non-droit telles que le dark web où circulent déjà des contenus illicites. "[-]
"Nous n'avons pas la prétention de répondre aux questionnements philosophiques sur la pornographie, nous ne sommes pas partisans d'un courant féministe «pro­sexe» ou «abolitionniste», l'idée n'est pas de rejouer les Sex Wars, ce n'est pas le rôle du législateur. Nous proposons une approche par le droit, car la pornographie est un état de fait qu'il convient d'encadrer. La pornographie ne disparaîtra pas quelles que soient les législations et il ...[+]

PORNOGRAPHIE ; LEGISLATION

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Publics concernés : femmes enceintes, sages-femmes, gynécologues-obstétriciens, gynécologues-médicaux, médecins généralistes, établissements de santé.
Objet : encadrement de la pratique des interruptions volontaires de grossesse instrumentales par des sages-femmes en établissement de santé.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur lendemain de sa publication.
Notice : le décret précise les conditions requises pour la pratique des interruptions volontaires de grossesse instrumentales par des sages-femmes en établissement de santé, relatives à l'organisation des établissements de santé, à la formation exigée et aux expériences attendues des sages-femmes, ainsi que les conditions de leur rémunération pour l'exercice de cette compétence.
Références : le décret est pris pour l'application de l'article 2 de la loi n° 2022-295 du 2 mars 2022 visant à renforcer le droit à l'avortement. Le texte et les dispositions du code de la santé publique qu'il crée ou modifie peuvent être consultés, dans leur rédaction issue de cette modification, sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr). [-]
Publics concernés : femmes enceintes, sages-femmes, gynécologues-obstétriciens, gynécologues-médicaux, médecins généralistes, établissements de santé.
Objet : encadrement de la pratique des interruptions volontaires de grossesse instrumentales par des sages-femmes en établissement de santé.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur lendemain de sa publication.
Notice : le décret précise les conditions requises pour la pratique des i...[+]

LEGISLATION ; LEGISLATION DE L'AVORTEMENT ; IVG ; IVG Instrumentale ; SAGE-FEMME

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- 384
Cote : G21 RUA
La promulgation de la loi relative à l'IVG en 1975 est un retournement majeur dans l'histoire des femmes : l'État parvient enfin à réguler la pratique abortive. Faisant de l'acte une prérogative exclusive des médecins, la « loi Veil » est un retour à l'ordre. Elle referme une phase d'appropriation revendiquée des savoirs abortifs par des femmes ordinaires. Comment expliquer que, à un moment de l'histoire où la maîtrise de l'avortement par le groupe social des femmes est à portée de main, cette possibilité tourne si rapidement court ?

Pour élucider cette énigme, Lucile Ruault enquête sur le Mouvement pour la liberté de l'avortement et de la contraception (MLAC), et en particulier sur l'action insoupçonnée de groupes dissidents ayant poursuivi la pratique des aspirations abortives jusqu'en 1984. En montrant que la constitution de l'avortement en question sanitaire a été l'enjeu de conflits, cette ethnographie historique tient ensemble la médicalisation de l'avortement et les résistances à ce processus par la pratique abortive profane, dans un sens féministe.[-]
La promulgation de la loi relative à l'IVG en 1975 est un retournement majeur dans l'histoire des femmes : l'État parvient enfin à réguler la pratique abortive. Faisant de l'acte une prérogative exclusive des médecins, la « loi Veil » est un retour à l'ordre. Elle referme une phase d'appropriation revendiquée des savoirs abortifs par des femmes ordinaires. Comment expliquer que, à un moment de l'histoire où la maîtrise de l'avortement par le ...[+]

AVORTEMENT ; AVORTEMENT CLANDESTIN ; MLAC ; IVG ; LUTTE FEMINISTE ; LEGISLATION ; DROIT

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En 1953, la petite Danielle Bac, 8 mois, meurt dans son lit. C'est ce malheureux fait divers qui permettra à la pilule contraceptive d'être autorisée en France seize ans plus tard.

PLANNING FAMILIAL ; HISTOIRE ; AVORTEMENT ; CONTRACEPTION ; LEGISLATION

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- 125
Cote : E6 MAT
À l'heure où l'avortement fait l'objet de violentes controverses dans de nombreux pays, l'ambition de cet ouvrage est d'interroger les idées reçues sur l'interruption de grossesse et de rendre compte de l'important corpus de connaissances produites sur le sujet par les sciences sociales.
Comment s'est construit en France le droit à l'avortement ? Qu'en est-il de l'accès à cet acte de santé aujourd'hui ? Comment expliquer la stabilité du nombre d'IVG malgré l'emploi massif de méthodes de contraception ? Pourquoi cette pratique continue-t-elle d'être stigmatisée alors qu'une femme sur trois avorte au moins une fois au cours de sa vie ? Quels rapports de pouvoir se nouent autour de l'avortement ? Quelle est sa place au sein des mouvements féministes contemporains ?
Voici quelques-unes des questions auxquelles ce livre apporte des réponses. En présentant les résultats de recherches empiriques, il donne à voir la matérialité des enjeux liés à l'avortement, dont les débats s'éloignent bien souvent.[-]
À l'heure où l'avortement fait l'objet de violentes controverses dans de nombreux pays, l'ambition de cet ouvrage est d'interroger les idées reçues sur l'interruption de grossesse et de rendre compte de l'important corpus de connaissances produites sur le sujet par les sciences sociales.
Comment s'est construit en France le droit à l'avortement ? Qu'en est-il de l'accès à cet acte de santé aujourd'hui ? Comment expliquer la stabilité du nombre ...[+]

AVORTEMENT ; FRANCE ; SOCIOLOGIE ; DROIT ; LEGISLATION ; HISTOIRE ; LUTTE FEMINISTE ; IVG ; Coup de coeur ; Festival

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Issue d'une proposition portée par la sénatrice Valérie Létard, la loi n° 2023-140 du 28 février 2023 crée une avance d'urgence pour les victimes de violences conjugales, quels que soient leurs revenus. Financée par la Caisse nationale des allocations familiales, elle entrera en vigueur d'ici la fin 2023 sous forme de prêt sans intérêt ou d'avance non remboursable. Explications.

VIOLENCE CONJUGALE ; LEGISLATION

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Art. L. 214-8. – Toute personne victime de violences conjugales, entendues au sens de l'article 132-80 du
code pénal, peut bénéficier d'un accompagnement adapté à ses besoins.

LEGISLATION ; VIOLENCE ; VIOLENCE CONJUGALE

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-Est puni de 3 750 euros d'amende le fait, hors les cas prévus aux articles 222-13,222-32,222-33,222-33-2-2 et 222-33-2-3, d'imposer à une personne tout propos ou tout comportement à connotation sexuelle ou sexiste qui soit porte atteinte à sa dignité en raison de son caractère dégradant ou humiliant, soit crée à son encontre une situation intimidante, hostile ou offensante, lorsque ce fait est commis :

LEGISLATION ; SEXISME ; violence sexiste

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Près de deux cents associations, professionnels et membre de la société civile, dont Annie Ernaux, Laure Calamy, Michelle Perrot ou encore Julie Gayet, rappellent leur attachement au droit à l'avortement, quarante-huit ans après la loi Veil et alors que le Sénat doit se prononcer en faveur ou non sur sa constitutionnalisation le 1er février.

AVORTEMENT ; LEGISLATION

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- 224
Cote : F6 MAC
Lorsque l'on parle de violences sexuelles, la notion de consentement est partout. De nombreux pays l'ont même intégrée dans la loi : un viol y est alors avant tout défini comme un acte sexuel auquel la victime " n'a pas consenti ". Pour la juriste américaine Catharine A. MacKinnon, ce concept est inopérant, voire hors sujet dans un monde traversé par l'inégalité de genre. Est-on réellement libre de dire " oui " ou " non " lorsqu'il existe des rapports sociaux de domination et de subordination fondés sur le sexe ? En France, le sujet est sur la table : de Vanessa Springora à Adèle Haenel, nombreuses sont les femmes qui prennent la parole afin de mettre en lumière les limites du consentement pour caractériser les violences sexuelles. Se fondant sur une analyse approfondie et comparée de la jurisprudence française, américaine et internationale, MacKinnon propose un changement de perspective. Plus qu'un acte sexuel non consensuel, le viol doit être considéré comme un crime d'inégalité de genre lorsque cette inégalité - souvent ajoutée à la race, à l'âge et à d'autres inégalités de statut social - est utilisée comme moyen de coercition. Intégrer l'inégalité en tant que source de contrainte dans la définition juridique du viol, plutôt que d'exiger des preuves qu'un acte sexuel soit non consensuel, voilà le projet de ce livre ambitieux, qui propose une réforme du Code pénal et ouvre la voie à une utilisation plus efficace et à une meilleure prise en compte des inégalités dans la loi - premier pas indispensable pour aboutir à une véritable liberté sexuelle.[-]
Lorsque l'on parle de violences sexuelles, la notion de consentement est partout. De nombreux pays l'ont même intégrée dans la loi : un viol y est alors avant tout défini comme un acte sexuel auquel la victime " n'a pas consenti ". Pour la juriste américaine Catharine A. MacKinnon, ce concept est inopérant, voire hors sujet dans un monde traversé par l'inégalité de genre. Est-on réellement libre de dire " oui " ou " non " lorsqu'il existe des ...[+]

VIOLENCE ; VIOLENCE SEXUELLE ; CONSENTEMENT ; VIOL ; LEGISLATION ; INEGALITE HOMME-FEMME ; JUSTICE

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