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- 98
Cote : REMAIDES 128
« La France est devenue un pays de consommation et donc, il faut briser ce tabou, lancer un grand débat national sur la consommation de drogue et ses effets délétères », appelait Emmanuel Macron, en avril 2021, dans une interview fleuve au Figaro, conçue comme un « véhicule communicationnel » de la vision sécuritaire du chef de l'État, quant à l'usage de produits. Peu importe que ce nouveau positionnement éloigne le président de l'image tempérée qu'il prétendait donner de lui sur le cannabis, lors de sa campagne pour la présidentielle de 2017. Une image qui, il est vrai, s'était vite radicalisée au fil des mois, avant le premier tour. L'interview de 2021 confirmait la radicalité du tournant, assenant des formules du genre : « On se roule un joint dans son salon et, à la fin, on alimente la plus importante des sources d'insécurité ». Des formules supposément frappées au coin du sens, destinées à marquer l'opinion publique ; qui ne craignent pas les raccourcis, les approximations, voire la caricature. En matière d'usages de produits, l'exécutif est désormais accro à la ligne dure. En témoignent les sorties des deux ministres qu'on entend le plus sur le sujet : celui de l'Intérieur et celui de la Justice.

« Rien n'est récréatif dans la drogue, tout est mortel », assène, mi-mai sur RTL, Gérald Darmanin, écho récent à cette formule lancée en 2020 : « La drogue c'est de la merde, on ne va pas légaliser cette merde ». Ces derniers mois, le ministre de l'Intérieur a expliqué à de nombreuses reprises son souhait de « harceler » les consommateurs-rices de drogues. C'est sa martingale pour lutter contre le trafic de stupéfiants. Sa vision est simple : les premiers responsables de la situation seraient les personnes qui consomment, notamment celles des beaux quartiers. Ce registre martial et incantatoire, qui tient souvent de la leçon de morale (une pratique très en vogue chez les décideurs-es politiques à propos de l'usage de produits) n'est pas l'apanage du seul hôte de la place Beauvau. Son collègue de la Justice, Éric Dupont-Moretti, y cède volontiers. En mars dernier, invité de BFMTV-RMC, le Garde des Sceaux expliquait : « Celui qui fume son petit pétard le samedi, ce pétard-là, voyez, il a le goût du sang séché sur le trottoir ». Et le ministre de poursuivre : « Si les gens se tuent, si les gens trafiquent, c'est parce qu'il y a quelques bobos, quelques petits bourgeois, quelques gens qui, de façon totalement inconsciente, pensent qu'ils ont le droit de fumer du shit le samedi soir ».

À ces formules d'estrade, l'exécutif associe désormais des opérations de police et justice tapageuses. Des opérations antidrogues format XXL qui ont mobilisé plus de 20 000 gendarmes et policiers-ères, qui auraient permis 1 738 interpellations, la saisie de 150 kilos de drogues et de 2,4 millions d'euros « d'argent sale ». Le gouvernement a voulu marquer l'opinion en concentrant quelque trente-cinq opérations de police en quelques jours et en les médiatisant à outrance (l'une d'elle ayant été annoncée dans les médias… avant qu'elle ne soit lancée sur le terrain !). Le ministre de l'Intérieur a indiqué que d'autres opérations auraient lieu. Comme on le voit, l'exécutif opte pour un discours et une méthode sécuritaires. On pourrait dire qu'il est dans son rôle, même si la méthode répressive a largement montré ses failles. La France est l'un des pays européens qui sanctionne le plus les usagers-ères et, paradoxalement, le pays européen où la consommation reste la plus élevée. Bien entendu, on nous explique que si la répression était moindre, plus grave encore serait la situation. Le discours de l'exécutif entretient cette vieille lune ; oubliant qu'il ne suffit pas de hausser le ton pour produire le changement. Si la prohibition fonctionnait, cela se saurait ! L'inefficacité de cette stratégie saute aux yeux — cela ne marchait déjà pas sous Richard Nixon avec sa stratégie de « guerre totale contre les drogues illicites », pas plus avec l'adoption de la loi de 70 chez nous. Le choix délibéré de laisser la RDR dans l'angle mort du discours politique et de la stratégie face à l'usage de drogues (dites « dures ») est à la fois une erreur et une faute.

Faute car en matière d'usage de produits, il n'est jamais question de santé dans la bouche des ministres ou si peu… même chez ceux et celles dont c'est pourtant la fonction. La priorité donnée à la sécurité fait qu'on oublie celle qu'on doit aux personnes consommatrices pour éviter les sanctions judiciaires répétées dans le cas de la consommation de cannabis, pour éviter les infections au VIH ou au VHC, les abcès, les surdoses, les décès, etc. Un outil existe pourtant : la RDR. Elle est même inscrite dans la loi. Pourtant, elle peine à faire son entrée dans les prisons. Sur elle pèse toujours le poids du soupçon. Où est le discours officiel qui défend la RDR (dont l'efficacité est pourtant démontrée par la science) ? Quel-le ministre monte au front pour elle ? Pas étonnant dans ce contexte que les arbitrages soient toujours en faveur de celui qui crie le plus fort, en faveur du répressif. Pas de salle de consommation à moindre risque (on parle de halte soins addictions ou HAS, depuis 2021) à Lille parce que le ministère de l'Intérieur a fait part de sa « ferme opposition » au motif que Gérald Darmanin pense que la « drogue ne doit pas être accompagnée, mais combattue ». Mais la RDR, ce n'est pas « accompagner » la drogue, c'est faire de la santé publique ! Blocage aussi pour la salle de Marseille du fait de l'État. Résultat : il n'existe en France que deux salles (Paris et Strasbourg) depuis leur autorisation à titre expérimental en 2016, et l'expérimentation s'achève l'année prochaine. En amalgamant les sujets, en caricaturant la RDR et ses acteurs-rices, le discours officiel dominant actuel mène à l'échec et joue avec la vie des consommateurs-rices. Qui donnera le sursaut pour que décrochent les accros à la ligne dure ?[-]
« La France est devenue un pays de consommation et donc, il faut briser ce tabou, lancer un grand débat national sur la consommation de drogue et ses effets délétères », appelait Emmanuel Macron, en avril 2021, dans une interview fleuve au Figaro, conçue comme un « véhicule communicationnel » de la vision sécuritaire du chef de l'État, quant à l'usage de produits. Peu importe que ce nouveau positionnement éloigne le président de l'image tempérée ...[+]

V.I.H. ; IST SIDA ; TEMOIGNAGE ; REDUCTION DES RISQUES ; queer ; SEROPOSITIVITE ; PRISON

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- n° 125 - 100
Cote : REMAIDES 125
NDÉTECTACLE = INTRANSMISSIBLE : SI, SI, ON VOUS ASSURE !
De prime abord, le choix de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) d'en remettre une couche sur « U = U » (en français « I = I » pour Indétectable = Intransmissible), à l'occasion de la conférence internationale scientifique sur le VIH, organisée par l'International Aids Society, cet été, à Brisbane, pouvait surprendre. Pourquoi revenir en 2023 sur un consensus scientifique qu'on pensait largement partagé et définitivement établi depuis les résultats de l'étude Partner... en 2014 ? Pourquoi lancer, en ce premier jour de conférence australienne, de nouvelles directives pour ancrer, une fois encore, dans les esprits que l'efficacité du Tasp (traitement comme prévention) est réelle ? Pourquoi faut-il y revenir inlassablement alors que la révolution Tasp a connu son acte fondateur le 30 janvier 2008, lorsque le fameux avis suisse — lancé dans les médias par une interview du professeur Bernard Hirschel à l'occasion du 1er décembre 2007 — est publié dans la revue médicale Bulletin des médecins suisses ? Sans doute parce que l'info prend mal, voire pas du tout chez certains-es. Et cela sans qu'on en comprenne bien toutes les raisons. Certaines ont déjà été identifiées, comme le rôle des médias dans le traitement de cette information. Ce qui s'est passé, cet été, sur l'annonce de l'OMS tient du cas d'école.[-]
NDÉTECTACLE = INTRANSMISSIBLE : SI, SI, ON VOUS ASSURE !
De prime abord, le choix de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) d'en remettre une couche sur « U = U » (en français « I = I » pour Indétectable = Intransmissible), à l'occasion de la conférence internationale scientifique sur le VIH, organisée par l'International Aids Society, cet été, à Brisbane, pouvait surprendre. Pourquoi revenir en 2023 sur un consensus scientifique qu'on ...[+]

V.I.H. ; IST SIDA ; SEROPOSITIVITE ; TEMOIGNAGE ; OUGANDA ; TRAITEMENT MEDICAL ; OMS ; TRANSMISSION

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A l'occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida, jeudi 1er décembre, « Le Monde » fait le point sur ce traitement préventif à destination des personnes séronégatives très exposées au VIH.

V.I.H. ; SEROPOSITIVITE ; IST SIDA ; PREVENTION

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- n° 120 - 98
Cote : REMAIDES 120
Au sommaire : un dossier sur VIH et Monkeypox et un reportage sur les jeunes et le VIH.

TEMOIGNAGE ; IST SIDA ; SEROPOSITIVITE

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- n° 119 - 98
Cote : REMAIDES 119
Cette nouvelle formule de Remaides entend mettre en avant et à l'honneur la visibilité des personnes vivant avec, car c'est une des clefs pour lutter contre la sérophobie. Des témoignages, portraits, interviews permettront d'aller à la rencontre de personnes à visage découvert ; qui illustreront la grande diversité des parcours, des expériences et donneront à entendre et à voir une image différente, actuelle de la vie avec. Cette section qui ouvrira chaque numéro sera suivie de six autres qui aborderont tous les aspects de la vie avec le VIH et les hépatites et seront proposées dans le même ordre dans chaque numéro. Y seront traités les enjeux thérapeutiques, les questions des droits et de lutte contre les discriminations, le bien-être, les débats actuels, la culture et la mémoire, etc. L'ambition est que chaque lecteur et lectrice y trouve sa place, ses centres d'intérêt, en découvre d'autres ; qu'à titre individuel et collectif, il-elle ait envie de se mobiliser, de militer, d'agir et de transformer tout ce qui ne va pas… pour elle-lui et tant d'autres[-]
Cette nouvelle formule de Remaides entend mettre en avant et à l'honneur la visibilité des personnes vivant avec, car c'est une des clefs pour lutter contre la sérophobie. Des témoignages, portraits, interviews permettront d'aller à la rencontre de personnes à visage découvert ; qui illustreront la grande diversité des parcours, des expériences et donneront à entendre et à voir une image différente, actuelle de la vie avec. Cette section qui ...[+]

TEMOIGNAGE ; S.I.D.A. ; SEROPOSITIVITE ; HOMOPARENTALITÉ

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- n° 20-21 - 50
L'année 2021 reste toujours inscrite dans le temps de l'épidémie à VIH : le virus circule toujours, les personnes atteintes ne sont pas guéries et doivent faire face à un traitement à vie et il n'y a toujours pas de vaccin. La pandémie de Covid-19 ne doit pas nous faire oublier que celle du VIH qui court depuis 40 ans n'est pas terminée. Pour ce 1er décembre 2021, ce numéro spécial du BEH apporte différents éclairages et actualise les problématiques des personnes vivant avec le VIH (PVVIH). Beaucoup d'avancées ont été réalisées depuis les 10 dernières années, tant sur la diversification de la prévention que sur l'amélioration des traitements toujours plus efficaces et mieux tolérés. Ces traitements permettent aujourd'hui aux PVVIH de vivre en bonne santé et d'avoir une vie sexuelle sans la crainte de la transmission grâce à l'effet « Treatment as Prevention » (TasP) des antirétroviraux.[-]
L'année 2021 reste toujours inscrite dans le temps de l'épidémie à VIH : le virus circule toujours, les personnes atteintes ne sont pas guéries et doivent faire face à un traitement à vie et il n'y a toujours pas de vaccin. La pandémie de Covid-19 ne doit pas nous faire oublier que celle du VIH qui court depuis 40 ans n'est pas terminée. Pour ce 1er décembre 2021, ce numéro spécial du BEH apporte différents éclairages et actualise les p...[+]

V.I.H. ; SEROPOSITIVITE ; crise sanitaire

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- n° 114 - 71
Cote : REM 114
Au sommaire
Loi de 1970 :1 Usagers-ères 0!
Générations positives : dialogue intergénérationnel autour de la vie avec le VIH.
Recherche et VIH : une fusion qui pose une question de fonds !
Guerre aux drogues : en finir !
Spot Beaumarchais : un lieu unique dans l'accompagnement des usagers Chemsex.
ITW Nathalie Latour.
Refus d'assurance, le système actuel pousse les personnes séropositives à mentir.
Dépistage des IST ano-rectales : pas tous égaux
Un petit "progrès" contre les refus de soins ?
Transidentités et VIH.
VIH : Trogarzo est efficace sur la durée.
"Parlez-moi d'amour ... et de sexe !"
Bernadette Rwegera: femmes vivant avec le VIH et confinement.
AAH : le complément de ressources supprimé.[-]
Au sommaire
Loi de 1970 :1 Usagers-ères 0!
Générations positives : dialogue intergénérationnel autour de la vie avec le VIH.
Recherche et VIH : une fusion qui pose une question de fonds !
Guerre aux drogues : en finir !
Spot Beaumarchais : un lieu unique dans l'accompagnement des usagers Chemsex.
ITW Nathalie Latour.
Refus d'assurance, le système actuel pousse les personnes séropositives à mentir.
Dépistage des IST ano-rectales : pas tous ...[+]

V.I.H. ; DROGUE ; SEROPOSITIVITE ; I.S.T. ; TRAITEMENT MEDICAL ; crise sanitaire

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- 30 +32 p
Cote : I52 SUP
Comment parler de la séropositivité aux enfants

SEROPOSITIVITE ; ENFANT ; LITTERATURE JEUNESSE

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- n° 197 - p 105-116
Cote : DIA 197
Après avoir dressé un historique de l'accession à la parentalité des patients séropositifs depuis le début de l'épidémie, l'article décline quelques situations spécifiques familiales. Le point commun de ces différents contextes est l'omniprésence du secret et de la honte de la contamination par le vih, qui infiltrent la relation entre parents et enfants. L'article tente d'en analyser les fonctions à la fois défensives et organisatrices au sein de la famille.[-]
Après avoir dressé un historique de l'accession à la parentalité des patients séropositifs depuis le début de l'épidémie, l'article décline quelques situations spécifiques familiales. Le point commun de ces différents contextes est l'omniprésence du secret et de la honte de la contamination par le vih, qui infiltrent la relation entre parents et enfants. L'article tente d'en analyser les fonctions à la fois défensives et organisatrices au sein ...[+]

V.I.H. ; SEROPOSITIVITE ; PARENTALITE ; FAMILLE ; DISCRIMINATION ; Stigmatisation

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- 54
Cote : I52 ROB
Alex est un jeune homosexuel. Suite à un rapport sexuel à risque, il découvre sa séropositivité. Cette nouvelle va bouleverser sa vie... Sa rencontre avec différents personnages va lui permettre malgré des moments de désespoir, de trouver une nouvelle façon d'envisager l'avenir.

S.I.D.A. ; SEROPOSITIVITE ; HOMOSEXUALITE ; TEMOIGNAGE ; BANDE DESSINEE ; DISCRIMINATION ; TRAITEMENT MEDICAL ; BELGIQUE ; ESTIME DE SOI

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V
- 222 p
Cote : I52 PER
Aujourd'hui, près de 150 000 personnes vivent en France avec le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), et plus de 6 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année. Grâce aux trithérapies, la mortalité due au sida a considérablement reculé dans notre pays. Mais ces traitements ne guérissent pas les personnes atteintes, qui doivent apprendre à vivre avec le virus. L'infection à VIH est ainsi devenue une nouvelle maladie chronique, qui touche en majorité des adultes en âge de travailler et de fonder une famille, contraints de suivre un traitement souvent très lourds, aux effets secondaires parfois redoutables. Cet ouvrage présente les résultats de la première grande enquête nationale conduite en France auprès des personnes séropositives, VESPA (VIH : enquête sur les personnes atteintes), réalisées sous l'égide de l'Agence nationale de recherches sur le sida et les hépatites virales (ANRS).. Cet ouvrage aborde de nombreux aspects de la vie quotidienne de ces personnes : leur santé et leur qualité de vie, les obstacles qu'elles rencontrent sur le marché du travail, le retentissement de l'infection sur leur vie sexuelle et leurs projets de parentalité, les difficultés à suivre un traitement contraignant, l'expérience de la discrimination, la révélation ou au contraire la dissimulation de leur séropositivité à l'entourage... L'examen de ces divers aspects du quotidien des personnes séropositives montre que la normalisation de l'infection à VIH est toute relative : cette infection n'est pas une maladie chronique comme les autres. En outre, sa chronicisation contribue à accentuer les inégalités sociales parmi les personnes atteintes.[-]
Aujourd'hui, près de 150 000 personnes vivent en France avec le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), et plus de 6 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année. Grâce aux trithérapies, la mortalité due au sida a considérablement reculé dans notre pays. Mais ces traitements ne guérissent pas les personnes atteintes, qui doivent apprendre à vivre avec le virus. L'infection à VIH est ainsi devenue une nouvelle maladie chronique, qui touche ...[+]

S.I.D.A. ; SEROPOSITIVITE ; TRAITEMENT MEDICAL ; DISCRIMINATION ; SEXUALITE ; REDUCTION DES RISQUES

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V
- n° 171 - 121 p.
Cote : DIA 171
Evelyne Bouteyre et Régine Scelles nous proposent un dossier sur les "parentalités à l'épreuve du temps".

PARENTALITE ; FAMILLE ; PROCREATION MEDICALEMENT ASSISTEE ; SEROPOSITIVITE ; HANDICAP & FAMILLE

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V
- 86
Cote : I521 COL
Journée organisée par Aides, le Planning, Sida info Service, Sol en Si et Le Tipi.

S.I.D.A. ; V.I.H. ; SEROPOSITIVITE

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V
- 60
Cote : I52 COL
Ce roman photo reprend les douze épisodes de "Nous tous : saison 1" et leur en ajoute dix autres. Il met en scène sept hommes homosexuels ou ayant des rapports avec des hommes dans différentes situations de rencontre et de drague. Il aborde l'utilisation du préservatif, la perception du risque et la responsabilité de chacun, que l'on soit séronégatif ou séropositif, le dépistage, les réactions à l'annonce d'une séropositivité VIH et l'importance du soutien de l'entourage, celle de prévenir ses partenaires sexuels en cas de dépistage d'une infection sexuellement transmissible, le traitement post-exposition. Attention : la consultation de ce document est réservée à un public averti.[-]
Ce roman photo reprend les douze épisodes de "Nous tous : saison 1" et leur en ajoute dix autres. Il met en scène sept hommes homosexuels ou ayant des rapports avec des hommes dans différentes situations de rencontre et de drague. Il aborde l'utilisation du préservatif, la perception du risque et la responsabilité de chacun, que l'on soit séronégatif ou séropositif, le dépistage, les réactions à l'annonce d'une séropositivité VIH et l'importance ...[+]

IST SIDA ; PREVENTION ; DEPISTAGE ; FRANCE ; HOMOSEXUALITE ; SEROPOSITIVITE

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V
- 200
Cote : I52 GEN
Ce livre du Pr Marc Gentilini et du Dr Eric Caumes, son assistant dans le service des maladies infectieuses qu'il dirige à l'hôpital de la Salpêtrière à Paris, aborde pour la première fois tous les problèmes auxquels se trouve confronté un séropositif : les examens qui doit suivre et les traitements auxquels il doit se soumettre. Sont aussi abordées les conditions de vie d'un séropositif au quotidien...Sont enfin répertoriés à la fin de l'ouvrage toutes les coordonnées des centres d'information et de documentation ainsi que les associations de lutte contre le sida. [-]
Ce livre du Pr Marc Gentilini et du Dr Eric Caumes, son assistant dans le service des maladies infectieuses qu'il dirige à l'hôpital de la Salpêtrière à Paris, aborde pour la première fois tous les problèmes auxquels se trouve confronté un séropositif : les examens qui doit suivre et les traitements auxquels il doit se soumettre. Sont aussi abordées les conditions de vie d'un séropositif au quotidien...Sont enfin répertoriés à la fin de ...[+]

S.I.D.A. ; V.I.H. ; SEROPOSITIVITE ; TRAITEMENT MEDICAL

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V
- 324
Cote : A4 RUF
Cet ouvrage est le premier à approfondir les causes et les conséquences de l'angoisse générée par l'épidémie dans une perspective psychanalytique sur le triple plan psychopathologique, psychosomatique et socio-éthique. Il a été rédigé par une équipe de 23 cliniciens chercheurs sous la direction de André Ruffiot.

PSYCHANALYSE ; S.I.D.A. ; PSYCHOLOGIE ; SEROPOSITIVITE ; ETHIQUE

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