En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

Documents SANTE DE L'ADOLESCENT 19 résultats

Filtrer
Sélectionner : Tous / Aucun
P Q
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 100
Cote : REMAIDES 127
Exclu ! « La santé n'est pas gratuite », expliquait, mi-février, Catherine Vautrin, la ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités, invitée du Grand Jury (RTL, Le Figaro, Paris Première et M6), pour justifier la décision du gouvernement d'augmenter le reste à charge des consultations et le doublement des franchises médicales. Le scoop devait sans doute viser les plus étourdis-es d'entre nous : ceux et celles qui oublient que ce sont leurs contributions et cotisations sociales qui financent majoritairement notre système de santé. Catherine Vautrin en appelait même à la « citoyenneté sanitaire ». Une nouvelle formule, aux contours fumeux, dans ce style que le gouvernement affectionne tant. Ladite formule ayant sans doute pour vocation d'atténuer temporairement dans le discours public un argument particulièrement pénible, seriné depuis l'été dernier par une bonne partie de l'exécutif : l'augmentation des franchises permettrait de « responsabiliser » les Français-es. Le terme n'est pas employé par la numéro quatre du gouvernement, mais dans son intervention au Grand Jury, Catherine Vautrin a bien martelé : « Je pense que c'est important que chacun mesure qu'il y a bien un coût, et que ce coût est payé par la société toute entière ». D'accord sur cette évidence, mais, dans ce cas, pourquoi le gouvernement opte-t-il pour une mesure d'ajustement budgétaire destinée à « préserver le modèle social français » qui ne s'appuie que sur la contribution des malades. En effet, ce sont bien eux et elles qui sont exclusivement visés-es par ces mesures supplémentaires de taxation. Quelles sont-elles ?

Les franchises médicales passent au 31 mars de 50 centimes à un euro par boîte de médicaments et certains actes (kiné, radio, examen biologique) aussi, cela dans la limite d'un plafond journalier passant de deux à quatre euros. Elles passent de deux à quatre euros pour les transports sanitaires avec un plafond journalier de quatre à huit euros. L'ensemble des franchises resteront limitées à 50 euros par an, comme auparavant. Les personnes en ALD n'en sont pas exonérées. Mais le sont les mineurs-es, les femmes enceintes à partir du sixième mois de grossesse, les bénéficiaires de la complémentaire santé solidaire (CSS) et de l'AME (jusqu'à quand ?). De plus, un second décret devrait être pris (probablement en juin) concernant les participations forfaitaires sur les consultations dont le montant est actuellement d'un euro par consultation. Il pourrait passer — les discussions sont en cours — à deux, voire trois euros ; là-encore à concurrence de 50 euros par an et par personne. Cela signifie, a minima, que toute personne (non exonérée) devra s'acquitter (au plus haut) de 50 euros de franchises médicales auxquels s'ajoutent 50 euros de participations forfaitaires.

Cela fait beaucoup. Cela fait trop… pour ce qui n'est rien moins qu'une taxation sur la santé et donc un impôt de plus sur la maladie. On ne peut pas dire les choses autrement puisque cette taxation porte uniquement sur les actes médicaux et l'utilisation de médicaments. Cette mesure est inégalitaire et choquante, d'autant plus dans le contexte actuel : déremboursement de médicaments, inflation, augmentation des restes à charge, des dépassements d'honoraires, des tarifs des complémentaires Santé, etc. Elle tient même de la double peine : on finance par nos cotisations quand on va bien ; on paie en plus lorsqu'on est malade. On a connu plus juste comme mesure. Le gouvernement en escompte quelque 800 millions d'euros d'économie ; des économies faites sur le dos des plus faibles. Dans son argumentaire, le gouvernement va jusqu'à prétendre que le maintien du plafond annuel fixé à 50 euros (pour les franchises) serait protecteur pour les « personnes affectées par une pathologie lourde », celles en ALD. Il reprend parfois son refrain sur la « responsabilisation » des Français-es. Emmanuel Macron, lui-même, avait avancé cet argument lors de sa conférence de presse fleuve en janvier dernier : « Quand je vois ce que nos compatriotes peuvent dépenser pour leurs forfaits de téléphonie, passer de 50 centimes à un euro la boîte de médicament, ce n'est pas un crime terrible. Il faut responsabiliser ».

Ce discours ne passe pas. Quoi qu'en dise l'exécutif, ce sont bien les professionnels-les de santé qui prescrivent (examens et traitements), lorsque les Français-es trouvent un-e médecin et y ont accès. Ce discours sur la présumée responsabilité des usagers-ères du système de soins est un mélange de punition et de paternalisme. Il a d'ailleurs aujourd'hui les mêmes accents que lorsque Roselyne Bachelot, alors ministre de la Santé, s'efforçait d'imposer cette mesure controversée et impopulaire en 2007. Elle expliquait alors : « Quelle est la personne qui ne peut pas payer quatre euros par mois sur des objectifs aussi importants ? » Le vice originel de cette réforme tient dans le fait qu'elle laisse entendre que c'est l'usager-ère qui est responsable d'une dérive financière de l'Assurance maladie. Pourtant, on ne choisit pas d'être malade. Ce sont bien les médecins qui prescrivent. Pourtant, l'usager-ère finance déjà largement le système de soins comme on l'a vu. Et malgré cela, c'est encore à lui, à elle, de faire cet effort supplémentaire. La société civile a eu beau protester depuis des mois, demander l'abandon du projet ; rien n'y a fait. Il faut dire que les malades n'ont pas de tracteurs pour se faire entendre. Dans le fond, ce choix politique illustre bien le rapport de force à l'œuvre. Il est plus facile de taxer les malades (tout en prônant une baisse des impôts et des prélèvements pour tous-tes) que de remettre en cause les pratiques médicales. Il est d'ailleurs intéressant de voir que le gouvernement manifeste de l'intérêt pour la taxe « lapins » qui vise à sanctionner financièrement les patients-es qui n'honoreraient pas un rendez-vous médical, alors qu'il est d'une mollesse coupable pour lutter contre les refus de soins dont sont victimes les patients-es. Il est vrai qu'il est toujours plus aisé et confortable d'être du côté du manche, y compris dans le champ de la santé.[-]
Exclu ! « La santé n'est pas gratuite », expliquait, mi-février, Catherine Vautrin, la ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités, invitée du Grand Jury (RTL, Le Figaro, Paris Première et M6), pour justifier la décision du gouvernement d'augmenter le reste à charge des consultations et le doublement des franchises médicales. Le scoop devait sans doute viser les plus étourdis-es d'entre nous : ceux et celles qui oublient que ce sont ...[+]

V.I.H. ; IST SIDA ; TEMOIGNAGE ; SANTE DE L'ADOLESCENT ; DROIT ; DISCRIMINATION

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 66
Cote : EPE HS6
La lutte contre la sédentarité est devenue un enjeu de santé publique : il faut que les enfants bougent ! Le sport n'est qu'une partie de la réponse à cette injonction, qui vise surtout à promouvoir l'exercice physique. Mais ses vertus ne se limitent pas non plus à ses bénéfices sur la santé. Il joue aussi un rôle en matière d'éducation, de construction de soi, de rapport aux autres, en classe ou hors cadre scolaire. Il peut constituer par ailleurs un formidable outil d'insertion et d'inclusion. Malgré tous ces avantages, les parents se posent bien des questions : vers quelle activité sportive orienter son enfant ? L'encourager à la compétition présente-t-il des risques ? Faut-il s'inquiéter de la tendance à idéaliser le corps que révèlent l'essor de certaines pratiques ? À l'approche des Jeux olympiques de Paris, ce hors-série participe – à sa manière – à l'événement.[-]
La lutte contre la sédentarité est devenue un enjeu de santé publique : il faut que les enfants bougent ! Le sport n'est qu'une partie de la réponse à cette injonction, qui vise surtout à promouvoir l'exercice physique. Mais ses vertus ne se limitent pas non plus à ses bénéfices sur la santé. Il joue aussi un rôle en matière d'éducation, de construction de soi, de rapport aux autres, en classe ou hors cadre scolaire. Il peut constituer par ...[+]

SPORT ; JEUNESSE ; CORPS ; ADOLESCENCE ; DISCRIMINATION ; SANTE DE L'ADOLESCENT ; VIOLENCE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- 20
La brochure "La santé pour les jeunes" décrypte l'ensemble des termes et dispositifs qu'il est nécessaire de comprendre pour pouvoir prendre en main sa santé. Ce livret permet d'acquérir les bases nécessaires aux jeunes pour consulter et se soigner. Sécurité sociale, mutuelle, médecin traitant, mais aussi comment consulter et se faire rembourser : tout y est expliqué de façon simple et complète.
Existe en version anglaise.

SANTE DE L'ADOLESCENT ; PREVENTION ; ACCES AUX SOINS

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
H
- 32
Le parcours de santé des jeunes est un des six parcours populationnels prioritaires du projet régional de santé Auvergne-Rhône-Alpes qui porte sur la période 2018-2023. Les objectifs de ce parcours ont été définis à partir de l'identification de fragilités successives de la période périnatale à l'âge de 25 ans.
La direction de projet santé des jeunes de l'ARS Auvergne-Rhône-Alpes, dans une approche transversale associant les différentes directions métiers et référents thématiques, a souhaité illustrer ce parcours par des réalisations engagées sur les territoires de la région avec les résultats attendus pour chaque tranche d'âge.

L'objectif de ce travail, à mi-parcours du Projet régional de santé, est de permettre à de nouveaux acteurs engagés dans des démarches locales de santé :

de s'interroger sur les besoins des jeunes de leurs territoires ;
d'identifier les partenaires avec lesquels travailler ;
de dégager des priorités ;
de créer une dynamique territoriale.
pour construire un parcours de santé coordonné de la femme enceinte, des enfants, des adolescents et des jeunes adultes, impliquant tous les acteurs.[-]
Le parcours de santé des jeunes est un des six parcours populationnels prioritaires du projet régional de santé Auvergne-Rhône-Alpes qui porte sur la période 2018-2023. Les objectifs de ce parcours ont été définis à partir de l'identification de fragilités successives de la période périnatale à l'âge de 25 ans.
La direction de projet santé des jeunes de l'ARS Auvergne-Rhône-Alpes, dans une approche transversale associant les différentes ...[+]

SANTE DE L'ADOLESCENT ; JEUNESSE ; SANTE ; AUVERGNE ; RHONE-ALPES ; SANTE DE L'ENFANT

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° 449 - 52
Cote : SEA 449
Comment s'assurer qu'une intervention de santé publique est efficace ? Quels fondamentaux mettre en oeuvre pour qu'un programme ait un impact positif sur les populations ? Ce dossier central a pour ambition d'apporter un corpus de réponses synthétiques à ces questions majeures. Il focalise sur la thématique des addictions aux substances psychoactives (tabac, cannabis, alcool...) chez les jeunes. Une quinzaine d'experts ont contribué à cet état des connaissances - et des pratiques - sur les " interventions probantes ", avec à la clé des exemples de programmes évalués, sans occulter leurs forces et leurs faiblesses.[-]
Comment s'assurer qu'une intervention de santé publique est efficace ? Quels fondamentaux mettre en oeuvre pour qu'un programme ait un impact positif sur les populations ? Ce dossier central a pour ambition d'apporter un corpus de réponses synthétiques à ces questions majeures. Il focalise sur la thématique des addictions aux substances psychoactives (tabac, cannabis, alcool...) chez les jeunes. Une quinzaine d'experts ont contribué à cet état ...[+]

SANTE DE L'ENFANT ; SANTE DE L'ADOLESCENT ; ADDICTION ; mal-être ; GARDE DE L'ENFANT

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V
- 256 p
Cote : D2 BED
Un livre référence pour mieux comprendre l'âge adolescent. " C'est un ado ! ", " crise de l'adolescence " : ces termes sont employés partout comme une évidence. Pourtant, répondre à la question : " Qu'est-ce que l'adolescence ? " ne va pas de soi. Il faut distinguer ce qui concerne l'adolescent lui-même - l'individu singulier qui, à l'âge de la puberté, vit de profonds bouleversements physiques et psychiques - de l'adolescence, un ensemble de représentations collectives liées à cette classe d'âge et qui varient selon les sociétés et les générations.
Quand commence et finit l'adolescence ? Filles et garçons vivent-ils ce passage de manière différente ? 90 % des ados sont bien dans leur peau, dit-on, mais les 10 % qui vont mal, comment les aider ? Qu'en est-il de la violence des adolescents ? Et leurs parents, eux, comment vivent-ils cette période ? ... Ce livre donne la parole à des spécialistes de toutes disciplines pour faire le point sur cet âge de la vie complexe mais riche de potentialités.[-]
Un livre référence pour mieux comprendre l'âge adolescent. " C'est un ado ! ", " crise de l'adolescence " : ces termes sont employés partout comme une évidence. Pourtant, répondre à la question : " Qu'est-ce que l'adolescence ? " ne va pas de soi. Il faut distinguer ce qui concerne l'adolescent lui-même - l'individu singulier qui, à l'âge de la puberté, vit de profonds bouleversements physiques et psychiques - de l'adolescence, un ensemble de ...[+]

ADOLESCENCE ; MEDIA ; SANTE DE L'ADOLESCENT ; VIOLENCE ENTRE JEUNES ; EDUCATION

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° 627 - 90 p
Cote : EPE 627
Au sommaire de ce numéro :
Fatiha Agag-Boudjahlat prof d'histoire-géographie : la parole d'une femme engagée. Sciences cognitives : de si jeunes experts. Et si "examen" rimait avec "formation de l'intelligence" par Philippe Mérieu. Colette Roumanoff : changer l'image d'Alzheimer. Décrochage scolaire : trois pas en avant...Enquête nationale : la santé des élèves LGBTI. Dossier : Drame collectif, le traumatisme chez l'enfant et l'adolescent....

ENFANT ; VICTIME ; attentat ; ALZHEIMER ; SANTE DE L'ADOLESCENT ; SANTE MENTALE ; LGBT

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V
- n° 623 (hors-série) - 215 p.
Cote : EPE 623 sup
Quel impact l'animal domestique a-t-il sur le développement cognitif, sensoriel, psychomoteur, affectif et relationnel de l'enfant ? Quels sont les leviers et les effets des médiations animales auprès des enfants souffrant de handicaps physiques, mentaux ou psychiques ? Quel peut être l'apport pédagogique des animaux dans les écoles ? Que nous apprennent-ils, indirectement, sur le comportement humain et, notamment, sur les relations parents-enfants ? Les animaux occupant une place de plus en plus importante dans nos vies, L'école des parents revient sur la relation enfant-animal, éclairée par les récentes découvertes des neurosciences et de l'éthologie.[-]
Quel impact l'animal domestique a-t-il sur le développement cognitif, sensoriel, psychomoteur, affectif et relationnel de l'enfant ? Quels sont les leviers et les effets des médiations animales auprès des enfants souffrant de handicaps physiques, mentaux ou psychiques ? Quel peut être l'apport pédagogique des animaux dans les écoles ? Que nous apprennent-ils, indirectement, sur le comportement humain et, notamment, sur les relations par...[+]

ENFANT ; ANIMAL ; DEVELOPPEMENT DE L'ENFANT ; COMMUNICATION ; ADOLESCENCE ; SANTE DE L'ENFANT ; SANTE DE L'ADOLESCENT ; HANDICAP MENTAL ; MÉDIATION SOCIALE ; PROTECTION DE L'ENFANCE ; LITTERATURE JEUNESSE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V

Cote : D 2 EPE
Actualité
L'art d'être ensemble
La construction identitaire. Moi et les autres - Daniel Marcelli
A quoi rêvent les garçons ? - Rencontre avec trois ados de la cité des Petits-Prés-Sablières à Créteil. Ils racontent la vie dans leur cité et leurs projets d'avenir
Conversation entre filles - Fatoumata, Aïssatou, Djenny, Hawa, amies inséparables parlent d'elles, entre elles, de la cité, du collège, des grands frères et des garçons
Nuits blanches. Ivre jeunesse - Véronique Nahoum - Grappe
Dossier
Loin des autres - Ados et adultes. Comment s'entendre ? - Jean Chambry
Adultes et ados. Veiller sans surveiller - Xavier Pommereau
Le chemin vers le bouc-émissaire - Nicole Catheline
Dire le harcèlement. Témoignages de Fil Santé Jeunes-
Terrain
Le temps des écrans - Pratiques culturelles des jeunes. Temps libre - Chantal Dahan
Conférence "Abus d'écrans chez les adolescents". Le soi connecté - Serge Tisseron
Atelier dangers d'Internet - Peggy Pircher
Les jeux multijoueurs en ligne. Jouer pour exister - Sylvie Craipeau
Pratique Culture urbaine -
Culture des cités. Génération hip-hop - Dieynébou Fofana
Centre socioculturel des Petits-Prés-Sablières - Coup de jeune à la MJC - Entretien avec Frédéric Prelle, président de la confédération des MJC
Camille danse le hip-Hop - Portrait 40 ans de rap. De la rue au showbiz - Oxmo Puccino, rappeur philosophe - Hopare, graffeur
Simon, skateur - "Un bon skateur ne peut pas tricher"
Lou et Marion, mode manga - L'attirance. Touché au coeur - Didier Lauru
L'apprentissage de la sexualité. Corps accord - Pascal Breno[-]
Actualité
L'art d'être ensemble
La construction identitaire. Moi et les autres - Daniel Marcelli
A quoi rêvent les garçons ? - Rencontre avec trois ados de la cité des Petits-Prés-Sablières à Créteil. Ils racontent la vie dans leur cité et leurs projets d'avenir
Conversation entre filles - Fatoumata, Aïssatou, Djenny, Hawa, amies inséparables parlent d'elles, entre elles, de la cité, du collège, des grands frères et des garçons
Nuits ...[+]

ADOLESCENCE ; ADOLESCENT EN DIFFICULTE ; PSYCHOLOGIE DE L'ADOLESCENT ; RELATIONS ADULTES ADOLESCENTS ; SANTE DE L'ADOLESCENT ; FILLE ; RELATION FILLE-GARCON ; HARCÈLEMENT MORAL ; ASPECT SOCIO-CULTUREL ; ALCOOL ; JEUNE EN DIFFICULTE ; JEUX ; JEU DE ROLE ; CULTURE ; LIEU DE VIE & URBANISME ; MILIEU URBAIN ; RELATION AMOUREUSE ; SEXUALITE DE L'ADOLESCENT ; PREMIER RAPPORT SEXUEL

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V
- 120
Cote : D2 PER
Abus d'alcool, de médicaments psychotropes, tabagisme, manque d'exercice physique, mauvaises habitudes alimentaires, rapports sexuels non protégés... Depuis une trentaine d'années, la liste des comportements jugés " à risque " par les autorités sanitaires n'a cessé de s'allonger et ne se limite plus désormais au seul domaine de la santé. Elle inclut aussi des conduites " déviantes " qui mettent en danger leurs auteurs, des tiers, ou qui portent atteinte à l'ordre public comme les infractions routières ou la consommation de drogues illicites. Comment expliquer cette inflation, mise en exergue par les experts ? Les individus qui adoptent de telles conduites ont-ils conscience du risque qu'ils encourent ? Si tel est le cas, comment justifient-ils ces pratiques ? Pourquoi, a contrario, certaines prises de risque délibérées, comme les sports extrêmes, sont-elles socialement valorisées ? Dans une optique clairement sociologique, ce dossier essaie de réhabiliter le point de vue des principaux intéressés et de l'inscrire dans le contexte socioculturel contemporain. Il examine, sans les disqualifier d'emblée, les arguments qui permettent aux individus de nier la réalité ou la gravité de la prise de risque, et tente de cerner les raisons pour lesquelles certains messages de prévention diffusés par les pouvoirs publics peinent à changer les attitudes, sont détournés, voire tout simplement ignorés.[-]
Abus d'alcool, de médicaments psychotropes, tabagisme, manque d'exercice physique, mauvaises habitudes alimentaires, rapports sexuels non protégés... Depuis une trentaine d'années, la liste des comportements jugés " à risque " par les autorités sanitaires n'a cessé de s'allonger et ne se limite plus désormais au seul domaine de la santé. Elle inclut aussi des conduites " déviantes " qui mettent en danger leurs auteurs, des tiers, ou qui portent ...[+]

ADOLESCENCE ; SANTE DE L'ADOLESCENT ; ADDICTION ; SEXUALITE DES JEUNES ; COMPORTEMENT A RISQUE ; identité

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V
- 515
Cote : D2 DOL
Pour vous, les adolescents, un dictionnaire de vie et de santé qui fait circuler les informations, les interrogations, les émotions. La santé, c'est un tout physique, affectif, social. A tout moment il y a des choses en nous qui vont bien et d'autres, moins bien, il y a des hauts et des bas, en particulier à l'adolescence où l'on est partagé entre la peur de quitter l'enfance et l'envie de s'échapper vers l'âge adulte. Savoir comment notre corps fonctionne, comment il se transforme à la puberté, approcher les mystères de la personnalité, des sentiments, de savoir ce qui se passe quand on est en bonne santé, quand on est malade. Autour de Catherine Dolto, médecin haptopsychothérapeute, des médecins, des gynécologues, des diététiciens, des psychanalystes, des écrivains, des sociologues, des philosophes mettent des mots sur tout ce qui vous turlupine, vous enthousiasme ou vous déprime, tout ce qui fait signe, tout ce qui fait peur, ce qui secoue, ce qui râpe et dérape et se répare...[-]
Pour vous, les adolescents, un dictionnaire de vie et de santé qui fait circuler les informations, les interrogations, les émotions. La santé, c'est un tout physique, affectif, social. A tout moment il y a des choses en nous qui vont bien et d'autres, moins bien, il y a des hauts et des bas, en particulier à l'adolescence où l'on est partagé entre la peur de quitter l'enfance et l'envie de s'échapper vers l'âge adulte. Savoir comment notre corps ...[+]

ADOLESCENCE ; SANTE DE L'ADOLESCENT ; SEXUALITE DE L'ADOLESCENT ; PUBERTE ; CORPS ; ESTIME DE SOI

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V
- 176
Cote : D2 INS
Portrait social des jeunes

JEUNESSE ; SEXUALITE DES JEUNES ; SANTE DE L'ADOLESCENT

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V
- 239
Cote : D2 COL
Actes du colloque qui s'est tenu les 8 et 9 décembre 1999 à Lyon

PROMOTION DE LA SANTE ; SANTE DE L'ADOLESCENT ; OUTIL PEDAGOGIQUE ; PREVENTION ; SEXUALITE DES JEUNES

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V
- 328
Cote : D2 ARE
Pour la première fois en France, une grande enquête sur la santé des jeunes, scolarisés ou non, a été réalisée. Plus de 4 000 adolescents de 12 à 19 ans, répartis sur l'ensemble du territoire national, ont été interrogés dans leur foyer, après tirage au sort de leur numéro de téléphone. Les réponses ont été recueillies durant deux mois et analysées minutieusement par une équipe pluridisciplinaire médecins, statisticiens, démographes, psychologues... Le Baromètre santé jeunes 97/98 aborde les connaissances, opinions, attitudes et comportements des 12-19 ans liés aux grands thèmes de santé qui les concernent : nutrition, sport, sexualité, violence, suicide, accidents et consommation de tabac, d'alcool ou de cannabis. Une attention particulière a été portée à l'environnement du jeune (pairs et adultes), à sa qualité de vie et à sa perception subjective de la santé. La méthodologie de recherche, équivalente à celle du Baromètre santé adultes, permet de comparer dans une même démarche les comportements de l'adolescent et du jeune adulte. La diversité des thèmes, la précision des analyses et la pertinence des commentaires d'adolescents, de parents et de professionnels du milieu scolaire, font de ce Baromètre un ouvrage de référence sur la santé des jeunes. [-]
Pour la première fois en France, une grande enquête sur la santé des jeunes, scolarisés ou non, a été réalisée. Plus de 4 000 adolescents de 12 à 19 ans, répartis sur l'ensemble du territoire national, ont été interrogés dans leur foyer, après tirage au sort de leur numéro de téléphone. Les réponses ont été recueillies durant deux mois et analysées minutieusement par une équipe pluridisciplinaire médecins, statisticiens, démographes, ps...[+]

SANTE DE L'ADOLESCENT ; Santé de l'étudiant ; JEUNESSE ; SEXUALITE DES JEUNES ; TOXICOMANIE ; SUICIDE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V
- 350
Cote : D2 CHO
En mai 1993, un échantillon national d'élèves de second degré, tirés au sort (taux de réponse de 92 %), a participé à une enquête portant sur la santé physique, psychologique et sociale.
Cet ouvrage est destiné à l'ensemble des adultes qui ont une activité professionnelle auprès des jeunes et à tous les parents...

ADOLESCENCE ; ENQUETE ; ENQUETE / STATISTIQUE ; SANTE DE L'ADOLESCENT

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V
- 192
Cote : D2 PRE
Les contributions de ce numéro 23 de la revue Prévenir, éclairées d'une enquête menée auprès d'un millier d'adolescents et d'un ensemble de témoignages, sont guidées par une préoccupation pratique : comment combler le fossé qui existe entre les problèmes révélés par les adolescents et les actions préventives ou curatives mises en œuvre.

ADOLESCENCE ; SANTE DE L'ADOLESCENT ; COMPORTEMENT A RISQUE ; SEXUALITE DES JEUNES

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
Une équipe d'adultes aux compétences professionnelles complémentaires, habitués à répondre aux questions santé des jeunes. Nous avons tous l'expérience de l'écoute téléphonique sur le numéro vert Fil Santé Jeunes (0 800 235 236). Notre équipe est composée de professionnels de santé (médecins et psychologues) et chaque texte publié est validé par un comité de rédaction composé de plusieurs membres de l'équipe. Elle comporte aussi des professionnels du net. Notre accompagnement est totalement gratuit. Ce service est réservé aux jeunes de 12 à 25 ans.

Le site www.filsantejeunes.com est financé par Santé publique France (ex-INPES) (Santé publique France) et la DGCS (Direction Générale de la Cohésion Sociale).

Nous sommes tous motivés pour créer avec vous un site interactif qui réponde au mieux à l'ensemble de vos préoccupations en matière de santé.[-]
Une équipe d'adultes aux compétences professionnelles complémentaires, habitués à répondre aux questions santé des jeunes. Nous avons tous l'expérience de l'écoute téléphonique sur le numéro vert Fil Santé Jeunes (0 800 235 236). Notre équipe est composée de professionnels de santé (médecins et psychologues) et chaque texte publié est validé par un comité de rédaction composé de plusieurs membres de l'équipe. Elle comporte aussi des pro...[+]

SANTE ; SANTE DE L'ADOLESCENT ; SEXUALITE DES JEUNES ; PREVENTION ; CONTRACEPTION DES JEUNES

Favoris

Filtrer

Type
Référence
Descripteurs
Date de parution

!4d=exec;Select ("02";"$0201";"21";"="))!!4d=insert;Requete_Libelle!