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Documents FRAISSE, Geneviève 14 résultats

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y
- 368
Cote : G22 FRA
Sartre écrit, dans Plaidoyer pour les intellectuels, que l'intellectuel est celui qui se mêle de ce qui ne le regarde pas, quand Beauvoir - à l'évidence - se mêle de ce qui la regarde, dans ses livres Le Deuxième Sexe, La Vieillesse. La question sexe/genre s'impose désormais comme problème théorique, mais l'objet de pensée échappe encore à la sérénité académique, comme à la légitimité scientifique.
L'étudiante Geneviève Fraisse a compris que la philosophie était le bastion le plus solide, parce que le plus symbolique, de la prérogative masculine. Alors il fallait chercher les mots possibles de l'émancipation féministe, de la démocratie exclusive au consentement par exemple, pour leur donner une consistance conceptuelle et les colporter sur les chemins de l'universel. L'histoire est un bon matériau, les textes anciens comme l'actualité récente, voire les événements tel Metoo.
Car il faut s'introduire dans la tradition pour mieux la subvertir.
Recueil de textes publiés depuis 2010[-]
Sartre écrit, dans Plaidoyer pour les intellectuels, que l'intellectuel est celui qui se mêle de ce qui ne le regarde pas, quand Beauvoir - à l'évidence - se mêle de ce qui la regarde, dans ses livres Le Deuxième Sexe, La Vieillesse. La question sexe/genre s'impose désormais comme problème théorique, mais l'objet de pensée échappe encore à la sérénité académique, comme à la légitimité scientifique.
L'étudiante Geneviève Fraisse a compris que la ...[+]

FEMINISME ; PHILOSOPHIE ; HISTOIRE ; EGALITE DES SEXES

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y
- 160 p
Cote : A32 FRA
Toutes les femmes sont citoyennes, quelques femmes sont artistes. La citoyenne et l'artiste sont-elles les semblables des hommes ? Oui. Tout autant concernées par la politique et par l'art ? Oui. Au commencement de l'ère démocratique, initiée par la Révolution française, ces affirmations furent pourtant sources de débats et de polémiques : aux femmes la famille plutôt que la cité, la muse plutôt que le génie, arguaient bien des hommes qui n'étaient pas tous réactionnaires. Deux cents ans après, nous en discutons encore. L'ouvrage revient sur les conséquences de ce moment fondateur. Il rend compte du travail sans fin de la démonstration de l'égalité, dans une « démocratie exclusive » où chacun – donc chacune – peut théoriquement se voir individu, sujet, citoyen, créateur, un, une parmi tous et toutes. De Poulain de la Barre, philosophe du XVIIe siècle, à Jacques Rancière, penseur contemporain, avec Virginia Woolf comme avec Simone de Beauvoir, les textes réunis ici montrent à quel point ces questions demeurent essentielles pour la modernité : celle de la jouissance revendiquée, celle de la stratégie subversive, celle de la mesure de l'émancipation des femmes, celle du féminisme comme dérèglement de la tradition occidentale.[-]
Toutes les femmes sont citoyennes, quelques femmes sont artistes. La citoyenne et l'artiste sont-elles les semblables des hommes ? Oui. Tout autant concernées par la politique et par l'art ? Oui. Au commencement de l'ère démocratique, initiée par la Révolution française, ces affirmations furent pourtant sources de débats et de polémiques : aux femmes la famille plutôt que la cité, la muse plutôt que le génie, arguaient bien des hommes qui ...[+]

EGALITE HOMME-FEMME ; RAPPORTS SOCIAUX DE SEXE ; EGALITE DES SEXES ; FEMINISME

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V
- 90 p
Cote : A32 FRA
Les Excès du genre offre une perspective originale tant sur la polémique sexe/genre que sur la critique des stéréotypes et l'usage de la nudité en politique. Pionnière dans le domaine des " études de genre ", Geneviève Fraisse observe ces débats violents de l'oeil critique d'une chercheuse qui a résolument privilégié la généalogie politique de l'émancipation des femmes et l'examen de la tradition philosophique, plutôt que la discussion sur l'identité et les identités. S'il s'agit de valider un nouvel objet de pensée, le concept de " genre " ne saurait s'entendre ni comme simple outil ni comme théorie radicale." Genre " est un mot en excès, car la question qu'il traite déborde l'ordre établi. De quoi parle-t-on avec les "stéréotypes de genre "? De changer les images des femmes et des hommes pour transformer la réalité? La lutte contre les stéréotypes n'est-elle pas plutôt la meilleure façon d'en reconduire la puissance? Et de quoi témoigne alors la nudité en politique? L'usage du nu, du corps porteur de slogans (les Femen, par exemple) renvoie à l'histoire lointaine (occidentale) de la nudité comme vérité, et de la femme nue comme image de la vérité. Auquel cas, la nudité serait elle-même un geste public.[-]
Les Excès du genre offre une perspective originale tant sur la polémique sexe/genre que sur la critique des stéréotypes et l'usage de la nudité en politique. Pionnière dans le domaine des " études de genre ", Geneviève Fraisse observe ces débats violents de l'oeil critique d'une chercheuse qui a résolument privilégié la généalogie politique de l'émancipation des femmes et l'examen de la tradition philosophique, plutôt que la discussion sur ...[+]

GENRE ; SEXUALITE ; STEREOTYPE ; représentations ; IMAGE DE LA FEMME ; CORPS ; LUTTE FEMINISTE

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V
- 140 p
Cote : A1 FRA
" J'ai longtemps pensé que l'acte de consentir relevait de l'intimité la plus grande, mélange de désir et de volonté dont la vérité gisait dans un moi profond. Lorsque j'ai entendu ce mot consentement dans des enceintes politiques, Parlement européen, débats télévisuels, discussions associatives, j'ai compris qu'il pénétrait l'espace public comme un argument de poids. Je voyais bien que la raison du consentement, utilisée pour défendre le port du foulard, ou exercer le métier de prostituée, s'entourait de principes politiques avérés, la liberté, la liberté de choisir, la liberté offerte par notre droit ; et la résistance, la capacité de dire non à un ordre injuste.
Car dire " oui ", c'est aussi pouvoir dire " non ", l'âpreté de l'établissement d'un viol nous le rappelle méchamment. J'ai beaucoup cherché, des années durant, à identifier les lieux de l'autonomie des femmes contemporaines. Ce travail sur le consentement m'entraîne, désormais, dans la pensée du lien, du mouvement de l'un vers l'autre des êtres, de chacun des êtres que nous sommes. Par là commence, ainsi, la construction d'un monde. [-]
" J'ai longtemps pensé que l'acte de consentir relevait de l'intimité la plus grande, mélange de désir et de volonté dont la vérité gisait dans un moi profond. Lorsque j'ai entendu ce mot consentement dans des enceintes politiques, Parlement européen, débats télévisuels, discussions associatives, j'ai compris qu'il pénétrait l'espace public comme un argument de poids. Je voyais bien que la raison du consentement, utilisée pour défendre le port ...[+]

PHILOSOPHIE ; CONSENTEMENT ; LIEN

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y
vol. 24 - n° 1 - 144
Cote : NQF 24/1
Au cœœur des mouvements de libération des femmes des années 70, une protestation a résonné avec force : “Mon corps n'est pas à vendre !”. Revendiquer le droit à la libre disposition de son corps, c'était dénoncer le fait que, sous le régime patriarcal, le corps féminin est réduit à une marchandise, un instrument de travail ou encore à un objet sexuel. Ce refus de la “femme-objet” est emblématique du rapport tendu sinon impossible entre féminisme et objet. Il présuppose en effet un rejet de l'objet tout court, comme si le monde et le langage de l'objet ne pouvaient signifier que dépossession, appropriation, domination, instrumentalisation, objectification ou encore déshumanisation du sujet féminin. Le rejet de l'objet n'est pas le propre du féminisme mais il place ce dernier devant un dilemme singulier : si la femme-objet incarne “l'objet type” du féminisme, est-ce à dire que la libération des femmes sera sans objet … ou ne sera pas ?[-]
Au cœœur des mouvements de libération des femmes des années 70, une protestation a résonné avec force : “Mon corps n'est pas à vendre !”. Revendiquer le droit à la libre disposition de son corps, c'était dénoncer le fait que, sous le régime patriarcal, le corps féminin est réduit à une marchandise, un instrument de travail ou encore à un objet sexuel. Ce refus de la “femme-objet” est emblématique du rapport tendu sinon impossible entre féminisme ...[+]

FEMINISME ; CORPS ; IMAGE DE LA FEMME ; PUBLICITE ; HISTOIRE ; PORNOGRAPHIE ; FORMATION PROFESSIONNELLE ; FILLE

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y
- 250
Cote : G5 BAC
L'une est de gauche, l'autre de droite. La première est une intellectuelle et vit à Paris, la seconde est députée du Maine et Loire. Mais elles sont d'accord sur tout, ou presque tout : le PACS, la parité, la violence, le travail des femmes ou encore la famille. ...

FEMME ; POLITIQUE ; PHILOSOPHIE ; PARITE HOMME-FEMME ; PACS ; VIOLENCE FAITE AUX FEMMES ; TRAVAIL DE LA FEMME ; FAMILLE

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V
- 202
Cote : G1 DAU
Aborder le thème de la violence des femmes, resté longtemps tabou, en le croisant avec celui, plus habituel, de la violence qu'elles subissent peut-il être un moyen de renouveler l'histoire des femmes ? Les historiennes, anthropologues et philosophes réunies autour de Cécile Dauphin et Arlette Farge partagent cette conviction. Saisis à leur plus haut degré de tension, les rapports entre les deux sexes en sont d'autant plus éclairés. Livrée à l'analyse historique, la brutalité, qu'elle soit celle de l'enlèvement, du viol, ou encore celle des Amazones mythiques ou des " tricoteuses " de la Révolution, révèle dans une société sous influence masculine une certaine étrangeté de la femme : elle est en même temps celle qui refuse la logique de la guerre, et donc de l'Etat, et celle qui surenchérit sur la violence des hommes pour manifester son exclusion. Pour aller plus loin qu'une approche de la " guerre des sexes ", il fallait sortir du modèle trop figé du dominant/dominé, afin de rendre toute leur labilité aux formes de société. Mais également, pour écrire l'histoire de cette violence, il était nécessaire, face à la volonté de rupture de certains discours militants, de considérer la mixité comme toujours capable de s'ouvrir à d'autres possible[-]
Aborder le thème de la violence des femmes, resté longtemps tabou, en le croisant avec celui, plus habituel, de la violence qu'elles subissent peut-il être un moyen de renouveler l'histoire des femmes ? Les historiennes, anthropologues et philosophes réunies autour de Cécile Dauphin et Arlette Farge partagent cette conviction. Saisis à leur plus haut degré de tension, les rapports entre les deux sexes en sont d'autant plus éclairés. Livrée à ...[+]

FEMME ; HISTOIRE ; VIOLENCE ; ANTHROPOLOGIE ; PHILOSOPHIE

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V
- 126
Cote : A1 FRA
La différence des sexes n'est pas un objet philosophique, et pourtant cette différence se lit dans les textes depuis Platon jusqu'à aujourd'hui. ... Ce livre avance l'hypothèse de l'historicité de la différence des sexes.

PHILOSOPHIE ; DIFFERENCE DES SEXES ; GENRE

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V
- 294
Cote : G1 FRA
Et si le corps des femmes n'était plus leur seul argument? On observe ici la raison des femmes, la raison qu'on leur reconnaît et celle qu'elles revendiquent à l'ère moderne. Pourquoi cette curiosité pour la raison? Parce que leur pensée ne vaut pas moins que leur sentiment; que la relation entre hommes et femmes a toujours traversé la réflexion politique et qu'ainsi est née la pensée féministe. Enjeu des discours de la domination comme de l'émancipation, l'histoire de la raison des femmes reste encore aujourd'hui l'objet de la controverse sur la différence, ou l'identité, des sexes. Dans un libre parcours à travers la pensée des femmes et leur histoire, Geneviève Fraisse montre, à la faveur de lectures, d'analyses et de portraits, comment leur raison a su tirer parti de la modernité. On y verra aussi un désir de réconcilier les femmes et la pensée.[-]
Et si le corps des femmes n'était plus leur seul argument? On observe ici la raison des femmes, la raison qu'on leur reconnaît et celle qu'elles revendiquent à l'ère moderne. Pourquoi cette curiosité pour la raison? Parce que leur pensée ne vaut pas moins que leur sentiment; que la relation entre hommes et femmes a toujours traversé la réflexion politique et qu'ainsi est née la pensée féministe. Enjeu des discours de la domination comme de ...[+]

FEMME ; HISTOIRE ; FEMINISME ; FRANCE

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V
- 627
Cote : G1 COL 4
L'image d'un XIXe siècle sombre et triste, austère et contraignant pour les femmes, est une représentation spontanée. On aurait tort de croire cependant que cette époque est seulement le temps d'une longue domination, d'une absolue soumission des femmes à une codification collective précise, socialement élaborée. Car ce siècle signe la naissance du féminisme, mot emblématique qui désigne tout aussi bien des changements structurels importants (travail salarié, autonomie de l'individu civil, droit à l'instruction) que l'apparition collective des femmes sur la scène politique. Ainsi faudrait-il dire plutôt que ce siècle est précisément le moment historique où la vie des femmes change, plus exactement le moment historique où la perspective de leur vie change ; temps de la modernité où est rendue possible une position de sujet, individu à part entière et actrice politique, future citoyenne. [-]
L'image d'un XIXe siècle sombre et triste, austère et contraignant pour les femmes, est une représentation spontanée. On aurait tort de croire cependant que cette époque est seulement le temps d'une longue domination, d'une absolue soumission des femmes à une codification collective précise, socialement élaborée. Car ce siècle signe la naissance du féminisme, mot emblématique qui désigne tout aussi bien des changements structurels importants ...[+]

FEMME ; HISTOIRE ; XIXème siècle

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V
- 116
Cote : G6 FRA
nstitutions-scolarisation. L'Eglise et l'Ecole des filles. La famille et l'Educatrice Journaux pour petites filles, pour jeunes filles. Les femmes enseignantes. Formation et service social. Enseignement ménager. Rééducation. Aspects de l'étranger...L'école des Femmes.

FEMME ; EDUCATION ; FILLE ; SEXISME ; HISTOIRE ; LUTTE FEMINISTE ; TRAVAIL DOMESTIQUE ; EGLISE CATHOLIQUE ; ECOLE

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V
- 245
Cote : G4 FRA
La servante est un personnage à la fois légendaire et prosaïque. De la femme en service chez les bourgeois à la femme de ménage, la réalité d'un travail ingrat et d'une servitude domestique persiste à avoir sa place dans l'espace familial. Problème délicat pour la conscience de gauche comme pour la conscience féministe.

FEMME ; TRAVAIL ; TRAVAIL DOMESTIQUE ; CONDITION FEMININE ; HISTOIRE ; FEMINISME ; FRANCE

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V
- 124
Cote : A2 VID
Qu'est ce qui nous fait homme ou femme ? Cette question agite le monde scientifique et philosophique depuis plus d'un siècle. Les progrès des neurosciences et de la génétique permettent désormais de mieux comprendre pourquoi l'être humain, dans ses comportements, échappe aux lois du déterminisme biologique. Mais les idées reçues et les préjugés ont la vie dure... Ce livre réunit des spécialistes de diverses disciplines. La confrontation des approches en fait un ouvrage indispensable pour nourrir la réflexion sur les fondements de nos identités de femmes et d'hommes. [-]
Qu'est ce qui nous fait homme ou femme ? Cette question agite le monde scientifique et philosophique depuis plus d'un siècle. Les progrès des neurosciences et de la génétique permettent désormais de mieux comprendre pourquoi l'être humain, dans ses comportements, échappe aux lois du déterminisme biologique. Mais les idées reçues et les préjugés ont la vie dure... Ce livre réunit des spécialistes de diverses disciplines. La confrontation des ...[+]

GENETIQUE ; GENRE ; RAPPORTS SOCIAUX DE SEXE ; PHILOSOPHIE ; ANTHROPOLOGIE ; BIOLOGIE ; DIFFERENCE DES SEXES

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V
- 172
Cote : A1 FRA
Cet ouvrage a pour origine un colloque organisé sous ce titre au Collège international de Philosophie en juin 1990.
Et si la pensée scientifique, philosophique, artistique était vraiment sexuée ? Non pas qu'on puisse la dire masculine ou féminine en son essence, mais plutôt parce qu'elle est traversée, dans ses méthodes et ses stratégies, dans son histoire et son exercice, par les conflits dont se tisse le rapport des sexes, lorsqu'il se joue dans l'élément du savoir.Plusieurs contributions de Geneviève Fraisse, Giulia Sissa, Françoise Balibar, Jacqueline Rousseau-Dujardin, Alain Badiou, Monique David-Menard, Michel Tort[-]
Cet ouvrage a pour origine un colloque organisé sous ce titre au Collège international de Philosophie en juin 1990.
Et si la pensée scientifique, philosophique, artistique était vraiment sexuée ? Non pas qu'on puisse la dire masculine ou féminine en son essence, mais plutôt parce qu'elle est traversée, dans ses méthodes et ses stratégies, dans son histoire et son exercice, par les conflits dont se tisse le rapport des sexes, lorsqu'il se joue ...[+]

PHILOSOPHIE ; GENRE ; RAPPORTS SOCIAUX DE SEXE ; DIFFERENCE DES SEXES

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