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Documents Grossophobie 10 résultats

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- 208
Cote : I53 JOR POU
Janne, adolescente en surpoids, voudrait être invisible au yeux du monde. Croyant l'aider, ses parents proposent de lui donner 10 euros pour chaque kilo perdu ! Mais le contrôle de son régime ne tarde pas à leur échapper, et Janne se sent-elle vraiment mieux dans son corps ? Sa perte de poids résout-elle tous ses problèmes ?

ENFANCE ; BANDE DESSINEE ; Grossophobie ; poids ; ANOREXIE ; BOULIMIE

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- 224
Cote : G61 THO
Quand on est gros·se, la majorité des consultations médicales commencent par le même rituel : " BONJOUR, ENLEVEZ VOS CHAUSSURES ET MONTEZ SUR LA BALANCE. "

Quel que soit le motif de votre visite, le seul fait de passer la porte suffit dans la grande majorité des cas, à déclencher cette injonction.
S'en suivent bien trop souvent une série de remarques, dans le meilleur des cas maladroites et infantilisantes, dans le pire, humiliantes. Alors, petit à petit, pour ne pas souffrir, pour ne pas être humilié·e ou infantilisé·e, on espace les rendez-vous.
Ne pas se faire soigner parce que l'on a peur cela porte un nom : l'évitement des soins de santé.
Et si la surmortalité des personnes grosses n'était pas seulement dues aux comorbidités, mais aussi aux discriminations et à cet évitement
des soins de santé ?
D'où vient cette grossophobie médicale institutionnalisée qui éloigne
du soin ? Comment la reconnaître ?
D'où vient ce lien implicite entre minceur et santé ?
Soigne-t-on un corps gros comme on soigne les autres corps ?
Comment prendre soin d'un corps gros si on ne sait rien
de ses spécificités ?[-]
Quand on est gros·se, la majorité des consultations médicales commencent par le même rituel : " BONJOUR, ENLEVEZ VOS CHAUSSURES ET MONTEZ SUR LA BALANCE. "

Quel que soit le motif de votre visite, le seul fait de passer la porte suffit dans la grande majorité des cas, à déclencher cette injonction.
S'en suivent bien trop souvent une série de remarques, dans le meilleur des cas maladroites et infantilisantes, dans le pire, humiliantes. Alors, ...[+]

Grossophobie ; DISCRIMINATION ; VIOLENCE ; CORPS ; ASPECT MEDICAL ; SANTE

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- 190
Cote : G61 MAR
« La grossophobie est une discrimination à la fois systémique et privée, elle vous colle à la semelle pour ne plus vous lâcher. Elle s'organise dans les rouages de nos systèmes éducatifs, dans nos décisions de santé publique, dans l'égalité de l'accès aux soins, elle nourrit les appétits capitalistes des géants industriels à hauteur de milliards d'euros chaque année. Elle se cache dans les placards cadenassés des cuisines familiales des adolescents désignés comme gourmands, elle se mêle aux violences sexistes et sexuelles, elle se tisse dans les mailles des vêtements introuvables passé une certaine taille. » Dans cet ouvrage, l'écrivaine et militante féministe Daria Marx s'attaque au sujet de la grossophobie qu'elle a contribué à faire émerger. En dix questions, elle revient sur les origines de la discrimination des gros·ses, sur l'illusion de la révolution body-positive et sur les grandes figures de la lutte contre la grossophobie. Plusieurs chapitres abordent la question médicale, qui est centrale, notamment l'accès aux soins et le business juteux de l'amaigrissement.

Daria Marx a fondé le collectif Gras Politique. Elle est l'autrice de Gros n'est pas un gros mot (Flammarion, 2018). [-]
« La grossophobie est une discrimination à la fois systémique et privée, elle vous colle à la semelle pour ne plus vous lâcher. Elle s'organise dans les rouages de nos systèmes éducatifs, dans nos décisions de santé publique, dans l'égalité de l'accès aux soins, elle nourrit les appétits capitalistes des géants industriels à hauteur de milliards d'euros chaque année. Elle se cache dans les placards cadenassés des cuisines familiales des ...[+]

DISCRIMINATION ; SOCIOLOGIE ; Grossophobie ; CORPS

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- 4
"4 pages" ou synthèse d'un atelier lors des journées de regroupement du programme Genre et santé sexuelle à Sète en 2023.

Grossophobie ; CORPS ; DISCRIMINATION ; SEXISME ; PLANNING FAMILIAL

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- 128
Cote : G10 SAN
Malgré les beaux discours sur la diversité corporelle et l'acceptation de soi, rien ne semble entamer la grossophobie ambiante. Dans Cet exécrable corps, Eli San explore son dégoût instinctif envers son propre corps. D'un ton acerbe, vulnérable et parfois indulgent, ce livre parle de capitalisme, de haine de soi et d'injonction à la minceur, mais surtout, de la difficulté d'être emprisonnée dans un corps que tout nous pousse à haïr.

Grossophobie ; IMAGE DE LA FEMME ; CORPS ; TEMOIGNAGE ; Coup de coeur

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- 112
Cote : G61 BRA
« La grossophobie définit l'ensemble des discriminations que vivent les personnes grosses dans notre société. Elle est constante dans nos vies, de l'enfance à l'âge adulte. C'est une discrimination silencieuse, ignorée, légitimée. Alors voilà, la grossophobie elle est partout, tout le temps. Et tout le monde s'en fout. »

Avec une approche ludique et un humour décapant, Marie de Brauer nous raconte son histoire et son combat contre l'injustice qu'elle vit au quotidien, portés par les illustrations pétillantes de Lucymacaroni.[-]
« La grossophobie définit l'ensemble des discriminations que vivent les personnes grosses dans notre société. Elle est constante dans nos vies, de l'enfance à l'âge adulte. C'est une discrimination silencieuse, ignorée, légitimée. Alors voilà, la grossophobie elle est partout, tout le temps. Et tout le monde s'en fout. »

Avec une approche ludique et un humour décapant, Marie de Brauer nous raconte son histoire et son combat contre l'injustice ...[+]

BANDE DESSINEE ; TEMOIGNAGE ; CORPS ; DISCRIMINATION ; Grossophobie

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- 176
Cote : G10 NOM
Des meufs comme moi sont des ovnis et tout le monde me le montre sans cesse. J'absorbe toutes les violences quotidiennes, j'encaisse les petits regards, les incompréhensions. Je prends sur moi. J'avale. La frustration s'amasse et quand c'est trop, tout ressort d'un coup et sans crier gare. Je suis incapable de dire stop parce que, paradoxalement, je sais qu'on attend de moi que j'accepte tout, que j'encaisse tout, et que je dise merci d'être arrivée jusque-là.

Aloé, femme noire, en surpoids, queer et pauvre, n'a pas toujours manqué d'estime d'elle-même. Mais d'innombrables regards, remarques, violences quotidiennes se sont chargés de lui attribuer une place et de lui faire comprendre qu'elle devrait s'en contenter. Loin d'accepter cette violence qu'il serait si simple de renvoyer, elle choisit d'aimer – car l'heure de l'amour a sonné.

L'Amour de nous-mêmes est le premier roman d'Erika Nomeni, afroqueer, autrice-compositrice, rappeuse et DJ. Elle vit et travaille à Marseille depuis 2016.[-]
Des meufs comme moi sont des ovnis et tout le monde me le montre sans cesse. J'absorbe toutes les violences quotidiennes, j'encaisse les petits regards, les incompréhensions. Je prends sur moi. J'avale. La frustration s'amasse et quand c'est trop, tout ressort d'un coup et sans crier gare. Je suis incapable de dire stop parce que, paradoxalement, je sais qu'on attend de moi que j'accepte tout, que j'encaisse tout, et que je dise merci d'être ...[+]

queer ; TEMOIGNAGE ; RACISME ; IMAGE DE LA FEMME ; VIOLENCE ; Grossophobie ; PRECARITE

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- 188
Cote : G22 KIY
Comment défendre le respect pour tous les corps quand on a intégré la haine du sien ? Comment valoriser son corps gros quand la prise de poids est vue comme étant le pire cauchemar des femmes autour de soi ? Comment défendre des idéaux féministes quand on ressent de la jalousie vis-à-vis d'autres femmes aux corps plus conformes aux codes de beauté ?

Les mécanismes d'oppression qui touchent tout ce qui ne rentre pas dans la « norme », nos rapports intimes aux corps et aux autres femmes, le body positive et l'afroféminisme, autant de sujets qui sont abordés dans cet ouvrage intime, militant et poétique, pour lutter contre le mythe de la perfection. Perfection que l'autrice, femme noire et grosse, s'efforce de détricoter afin de construire une société émancipée où chaque corps, aussi différent qu'il soit, aura sa place.[-]
Comment défendre le respect pour tous les corps quand on a intégré la haine du sien ? Comment valoriser son corps gros quand la prise de poids est vue comme étant le pire cauchemar des femmes autour de soi ? Comment défendre des idéaux féministes quand on ressent de la jalousie vis-à-vis d'autres femmes aux corps plus conformes aux codes de beauté ?

Les mécanismes d'oppression qui touchent tout ce qui ne rentre pas dans la « norme », nos ...[+]

CORPS ; IMAGE DE LA FEMME ; FEMINISME ; NORME ; RACISME ; Grossophobie

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- 240
Cote : G61 CAR
Depuis les années 1990, des associations, comme Allegro Fortissimo et plus récemment Gras politique, ainsi que des militantes et autrices comme Gabrielle Deydier, ont imposé un nouveau terme pour parler des discriminations liées au poids : la grossophobie. La tendance "body positive" , résultat de ces mobilisations contre les normes esthétiques et pondérales dominantes, a renouvelé les problématiques propres aux mouvements féministes et queer, mettant à nouveau la question du corps au coeur des revendication des militantes dans le monde entier. Pourtant, les réseaux sociaux demeurent saturés d' "humour" grossophobe et la tyrannie de la minceur continue de sévir, générant mal-être, troubles du comportement alimentaire ou encore pratiques d'autocensure. Plus grave encore, les études chiffrées sur la grossophobie montrent qu'au-delà d'un certain poids les discriminations se systématisent. Elles ont lieu à l'embauche, au travail, mais aussi sur les applications de rencontre, dans les salles de sport, chez le médecin et même dans l'intimité, avec la famille. Avec cet ouvrage, Solenne Carof, signe une des premières études sociologiques sur la grossophobie en France. Que vivent les personnes très corpulentes dans une société comme la nôtre ? Que révèle le stigmate de gros ou de grosse des normes qui pèsent différemment sur les hommes et sur les femmes ? Quelles conséquences cette stigmatisation a-t-elle sur les personnes concernées ? Au fil de son enquête, l'autrice dévoile les rapports de pouvoir qui se nichent dans la question du poids et structurent les hiérarchies propres à notre société. Une étude décisive pour mettre en évidence l'importance d'une discrimination encore peu condamnée, tant socialement que juridiquement.[-]
Depuis les années 1990, des associations, comme Allegro Fortissimo et plus récemment Gras politique, ainsi que des militantes et autrices comme Gabrielle Deydier, ont imposé un nouveau terme pour parler des discriminations liées au poids : la grossophobie. La tendance "body positive" , résultat de ces mobilisations contre les normes esthétiques et pondérales dominantes, a renouvelé les problématiques propres aux mouvements féministes et queer, ...[+]

Grossophobie ; DISCRIMINATION ; CORPS

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3y
Trois brochures et un padlet transmises à la suite d'un atelier au regroupement GSS de Sète 2023.
Les brochures :
- En tant que soignant·es, comment mieux traiter les personnes grosses ?
- Grossophobie médicale : parlons-en !
- Grossophobie en milieu scolaire

PLANNING FAMILIAL ; Grossophobie ; OUTIL PEDAGOGIQUE

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