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- n° 5 - 144
Cote : LDEFE 5
Dans ce cinquième numéro, retrouvez notre dossier central sur le thème « PARLER » : une enquête sur les groupes de parole comme outils d'émancipation ; un reportage où l'on suit une orthophoniste accompagnant des personnes trans dans la recherche de leur identité vocale ; un récit d'Axelle Jah Njiké qui revient sur le silence autour des violences subies par les femmes noires ou encore un décryptage de l'expression « On ne peut plus rien dire ».
À découvrir également dans nos pages, la rencontre inédite entre l'actrice Adèle Haenel et la journaliste Rokhaya Diallo, un article sur les collectifs de collages féministes, une carte blanche d'Amanda Devi sur l'écrivaine Sylvia Plath, une BD signée Claire Braud, un retour sur la candidature de Ségolène Royal, en 2007 et les attaques sexistes dont elle a fait l'objet et enfin un débat intitulé : « Droits des femmes, droits des enfants, même combat ? »
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Dans ce cinquième numéro, retrouvez notre dossier central sur le thème « PARLER » : une enquête sur les groupes de parole comme outils d'émancipation ; un reportage où l'on suit une orthophoniste accompagnant des personnes trans dans la recherche de leur identité vocale ; un récit d'Axelle Jah Njiké qui revient sur le silence autour des violences subies par les femmes noires ou encore un décryptage de l'expression « On ne peut plus rien dire ». ...
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FEMINISME ; LUTTE FEMINISTE ; SEXISME ; POLITIQUE ; DIALLO, Rokhaya ; HAENEL, Adèle ; RACISME ; INTERSECTIONNALITE ; DROITS DES FEMMES ; DROIT DE L'ENFANT ; POESIE
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V
- 384 p
Cote : G2 GAR
Comment est-on passé de la dénonciation de la « maternité esclave » par le MLF (Mouvement de libération de la femme) à la culpabilisation des mères ? De quelle manière la toute-puissance exercée par les parents sur leurs enfants a-t-elle cédé la place à l'encadrement des mères et des pères par les professionnels de la santé et de l'éducation ? Interrogeant pour la première fois ces évolutions paradoxales, Sandrine Garcia donne à voir comment, durant la lutte pour la régulation des naissances, de nombreux médecins dénoncent le magistère moral exercé par un Ordre des médecins majoritairement catholique, au profit d'une autorité se voulant uniquement scientifique. Puis, revisitant les étapes majeures de la construction de la « cause de l'enfant », l'auteure montre comment nombre de psychanalystes de l'enfant - en particulier Françoise Dolto - investissent massivement le champ de l'éducation : le destin des femmes passe désormais par le bien-être de l'enfant tel que le définissent ces experts. Ce brouillage des registres entre clinique et morale aboutit, aujourd'hui, à la dénonciation d'une nouvelle maltraitance : la « violence éducative » qu'exerceraient les parents réfractaires aux bons usages. D'où l'émergence d'un militantisme individuel et institutionnel pour faire sanctionner les « déviances » parentales, au risque de stigmatiser les pratiques les plus éloignées de la norme incarnée par les classes moyennes : celles des milieux populaires.
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Comment est-on passé de la dénonciation de la « maternité esclave » par le MLF (Mouvement de libération de la femme) à la culpabilisation des mères ? De quelle manière la toute-puissance exercée par les parents sur leurs enfants a-t-elle cédé la place à l'encadrement des mères et des pères par les professionnels de la santé et de l'éducation ? Interrogeant pour la première fois ces évolutions paradoxales, Sandrine Garcia donne à voir comment, ...
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FEMME ; MATERNITE ; TRAVAIL ; MATERNITE ; ENFANT ; violence éducative ; PARENTALITE ; DROITS DES FEMMES ; DROIT DE L'ENFANT
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V
- 104
Cote : B5 VER
Dans la plupart des pays du monde, la naissance établit un lien de filiation entre la personne qui accouche et l'enfant qu'elle met au monde. Bien sûr, cette automaticité ne fait pas obstacle à ce que des enfants puissent ensuite être élevés par d'autres adultes que leurs parents. En France - et en France seulement - il n'en est pas ainsi. En France, on peut faire comme si la mère n'avait pas existé. Et a fortiori le père. Comme si un enfant pouvait naître (n'être) de rien ni de personne. La loi organise le mensonge, le déni et le vide. Depuis quelques années, les personnes concernées commencent à parler. Les enfants devenus adultes, les mères et plus rarement les pères nous disent les difficultés de leur quête. Leur souffrance est l'unique raison de notre combat.
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Dans la plupart des pays du monde, la naissance établit un lien de filiation entre la personne qui accouche et l'enfant qu'elle met au monde. Bien sûr, cette automaticité ne fait pas obstacle à ce que des enfants puissent ensuite être élevés par d'autres adultes que leurs parents. En France - et en France seulement - il n'en est pas ainsi. En France, on peut faire comme si la mère n'avait pas existé. Et a fortiori le père. Comme si un enfant ...
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ACCOUCHEMENT SOUS X ; FILIATION ; DROIT DE L'ENFANT ; ACCES AUX ORIGINES
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V
- n° 618 - 82 p.
Cote : EPE 618
Le désir d'enfant a changé de nature au fil du temps. Jadis la question ne se posait pas : on faisait des enfants pour ses vieux jours, pour continuer la lignée et pour l'État. La maîtrise de la fécondité a radicalement changé la donne à partir des années 1970. La grossesse est aujourd'hui le résultat d'un choix qui a libéré les femmes, mais les a placées face à leur désir – ou à leur non-désir – d'enfant. Un désir individuel et multiforme, qui s'inscrit dans un parcours de vie personnelle et professionnelle et qui, avec l'aide des technologies de procréation médicalement assistée, peut se montrer impérieux. Quelles sont les limites à apporter au « droit à l'enfant » ? Que penser des parentalités tardives ? Comment expliquer l'infertilité dont les causes ne sont pas médicales ? Les grossesses précoces résultent-elles parfois d'un choix inconscient ? Ce dossier de L'école des parents se penche sur les questions que posent les désirs d'enfant au XXIe siècle.
Egalement au sommaire de ce numéro :
-"Les religions et la laïcité expliquées aux enfants"
-"Energie jeunes : la persévérance, une allicée pour réussir"
-"Violences conjugales : prévenir la récidive"
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Le désir d'enfant a changé de nature au fil du temps. Jadis la question ne se posait pas : on faisait des enfants pour ses vieux jours, pour continuer la lignée et pour l'État. La maîtrise de la fécondité a radicalement changé la donne à partir des années 1970. La grossesse est aujourd'hui le résultat d'un choix qui a libéré les femmes, mais les a placées face à leur désir – ou à leur non-désir – d'enfant. Un désir individuel et multiforme, qui ...
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DESIR D'ENFANT ; DROIT DE L'ENFANT ; ENQUETE ; PARENTALITE ; INFERTILITE ; MATERNITE PRECOCE ; GROSSESSE DE L'ADOLESCENTE ; NON DESIR D'ENFANT ; STERILITE ; STERILITE FEMININE ; BEBE ; VIOLENCE CONJUGALE ; PREVENTION DE LA VIOLENCE ; LAICITE ; RELIGION
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V
- 220
Cote : D13 HUY
Cet ouvrage présente en 60 questions les principaux moments au cours desquels les enfants sont amenés à rencontrer la justice. En pratique il s'agit majoritairement des mineurs dont les parents divorcent, des mineurs en danger et des mineurs délinquants
DROIT ; JUSTICE ; DROIT DES JEUNES ; DROIT DE L'ENFANT ; ENFANT