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Documents FEMME DANS LA LITTERATURE 2 résultats

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vol. 29 - n° 2 - 160 p.
Cote : NQF 29/2
A entendre le discours ambiant d'aujourd'hui, tout serait résolu dans la question de l'éducation des filles et de l'égalité des sexes dans le domaine de l'éducation. A l'école, voilà plusieurs années que les filles ont en moyenne de meilleurs résultats scolaires que les garçons et qu'elles forment la majorité de la population estudiantine universitaire dans pratiquement toute l'Europe.

En fait l'école n'est pas neutre et les institutions de formation continuent de prendre une part active, avec la famille et la culture, à la construction d'individus répondant aux rôles sexués traditionnels. Réfléchir aux pratiques qui permettraient de rendre l'éducation égalitaire reste donc un objectif à l'ordre du jour, d'autant plus que la formation scolaire et professionnelle constitue un pré-requis pour l'émancipation des femmes.[-]
A entendre le discours ambiant d'aujourd'hui, tout serait résolu dans la question de l'éducation des filles et de l'égalité des sexes dans le domaine de l'éducation. A l'école, voilà plusieurs années que les filles ont en moyenne de meilleurs résultats scolaires que les garçons et qu'elles forment la majorité de la population estudiantine universitaire dans pratiquement toute l'Europe.

En fait l'école n'est pas neutre et les institutions de ...[+]

FEMINISME ; EDUCATION ; GENRE ; GROUPE ; FEMME DANS LA LITTERATURE ; SEXISME ; EGALITE HOMME-FEMME ; DISCRIMINATION

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- 04/2024
Cote : G61 TAM
Après #MeToo, le baiser non consenti de la Belle au bois dormant n'est plus synonyme d'émerveillement, la Belle est victime du syndrome de Stockholm, et le Petit Chaperon rouge ne veut plus être défini par sa beauté. À revoir les films Disney de notre enfance, le constat est sans appel : les contes défendent les inégalités de genre. Les personnages féminins des contes de fées sont de jeunes femmes passives et un brin idiotes, tandis que leurs homologues masculins sont au contraire puissants et courageux. Mais est-ce aussi simple ? Doit-on nécessairement boycotter ces contes qui nous paraissent dépassés ? Ou peut-on déconstruire notre héritage ?

Dans ce texte, Jennifer Tamas nous montre que les contes de fées ne sont pas voués à être jetés, mais doivent être relus, revisités, car ils nous éclairent sur notre société actuelle. Tout en dressant un portrait des inégalités de genre présentes dans les contes, elle rappelle le rôle de la conteuse et nous fait découvrir des personnages féminins forts écrits par des femmes. À travers de nombreux exemples cultes, Jennifer Tamas nous invite à redécouvrir les contes et à en tirer des leçons, pour apprendre à mieux vivre ensemble.[-]
Après #MeToo, le baiser non consenti de la Belle au bois dormant n'est plus synonyme d'émerveillement, la Belle est victime du syndrome de Stockholm, et le Petit Chaperon rouge ne veut plus être défini par sa beauté. À revoir les films Disney de notre enfance, le constat est sans appel : les contes défendent les inégalités de genre. Les personnages féminins des contes de fées sont de jeunes femmes passives et un brin idiotes, tandis que leurs ...[+]

METOO ; PATRIARCAT ; CONSENTEMENT ; LUTTE FEMINISTE ; IMAGE DE LA FEMME ; FEMME DANS LA LITTERATURE

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