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Documents COUTURIER, Mathias 2 résultats

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- n° 191 - 144 p.
Cote : DIA 191
La violence semble inséparable de la vie en ce qu'elle recèle de force. Elle est protéiforme : insidieuse ou bruyante, dépendante, pour son évaluation, du contexte social. Ce numéro explore essentiellement les violences familiales et conjugales : les transformations de la loi en France et leurs répercussions sur les enfants témoins (en découvrant l'évolution d'un de ces enfants au décours de sa psychothérapie), les difficultés spécifiques des institutions de soins qui accueillent ces jeunes enfants ou ces adolescents. Pour élargir notre réflexion, nous nous intéresserons aux conséquences de la violence sur l'évolution de la structure familiale et la psychopathie en Colombie et aux effets thérapeutiques de l'usage du conte comme médiateur, dans un groupe de femmes, en Espagne, ayant subi des violences.[-]
La violence semble inséparable de la vie en ce qu'elle recèle de force. Elle est protéiforme : insidieuse ou bruyante, dépendante, pour son évaluation, du contexte social. Ce numéro explore essentiellement les violences familiales et conjugales : les transformations de la loi en France et leurs répercussions sur les enfants témoins (en découvrant l'évolution d'un de ces enfants au décours de sa psychothérapie), les difficultés spécifiques des ...[+]

VIOLENCE ; FAMILLE ; INSTITUTION ; VIOLENCE CONJUGALE ; ENFANT ; ADOLESCENT ; INFERTILITE ; COUPLE ; STERILITE

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- n° 191 - p.67-78
Cote : DIA 191
Jusqu'à la fin du xxe siècle, la conception patriarcale de la famille que le système juridique français faisait prévaloir maintenait l'épouse dans une situation de soumission. Face aux violences conjugales, l'autorité publique réagissait peu, voire pas du tout, l'important étant de préserver l'ordre social incarné par une institution familiale traditionnelle pérenne. À partir des années 1970, l'avènement d'une conception personnaliste de la société a amené le droit à modifier son intervention. La protection s'est déplacée de l'institution familiale vers les personnes composant le couple (marié, pacsé, en union libre, homosexuel). La répression s'est durcie et les moyens juridiques de prévention se sont multipliés. La police des mœurs a laissé la place à une police des personnes. Celle-ci n'est désormais pas loin d'une police des corps qui questionne l'auteur : jusqu'où l'État peut-il intervenir dans la vie intime du couple ?[-]
Jusqu'à la fin du xxe siècle, la conception patriarcale de la famille que le système juridique français faisait prévaloir maintenait l'épouse dans une situation de soumission. Face aux violences conjugales, l'autorité publique réagissait peu, voire pas du tout, l'important étant de préserver l'ordre social incarné par une institution familiale traditionnelle pérenne. À partir des années 1970, l'avènement d'une conception personnaliste de la ...[+]

VIOLENCE CONJUGALE ; FAMILLE ; DROIT ; FRANCE ; PROTECTION DE L'ENFANCE

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