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Documents CLOCHEC, Pauline 3 résultats

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- 160
Cote : F45 CLO
C'est un fait : il y a des individus qui passent d'un sexe à un autre. Mais, dans ce passage, que signifie « sexe » et quelles sont les conditions et les effets sociaux, politiques et cliniques de ce franchissement d'une différence des sexes pourtant réputée intangible ? Dans une perspective féministe matérialiste, cet ouvrage propose de décentrer la transitude du concept d'identité de genre qui a longtemps orienté sa compréhension. En étudiant les expériences des personnes trans et leurs tactiques pour transitionner librement, il l'appréhende non comme une donnée intérieure à diagnostiquer mais comme une trajectoire sociale et physique. Ce changement de paradigme permet de lui appliquer ce qui reste une revendication féministe centrale : l'autonomie corporelle.[-]
C'est un fait : il y a des individus qui passent d'un sexe à un autre. Mais, dans ce passage, que signifie « sexe » et quelles sont les conditions et les effets sociaux, politiques et cliniques de ce franchissement d'une différence des sexes pourtant réputée intangible ? Dans une perspective féministe matérialiste, cet ouvrage propose de décentrer la transitude du concept d'identité de genre qui a longtemps orienté sa compréhension. En étudiant ...[+]

TRANSIDENTITE ; transgenre ; IDENTITE SEXUELLE ; GENRE ; FEMINISME ; Coup de coeur

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- 288
Cote : F45 CLO
Refusant la réduction des réalités trans à des questions d'identité, cet ouvrage assume une perspective féministe matérialiste : il s'agit d'aborder les conditions sociales des personnes trans, leurs positions dans les rapports sociaux de sexe, de race et de classe, ainsi que leurs inscriptions dans les mouvements féministes. Diverses par leurs thèses et leurs ancrages disciplinaires, ces contributions se rejoignent par leur exigence de tenir ensemble élaboration théorique et engagement militant pour repenser en profondeur les problématiques et les luttes trans et féministes.[-]
Refusant la réduction des réalités trans à des questions d'identité, cet ouvrage assume une perspective féministe matérialiste : il s'agit d'aborder les conditions sociales des personnes trans, leurs positions dans les rapports sociaux de sexe, de race et de classe, ainsi que leurs inscriptions dans les mouvements féministes. Diverses par leurs thèses et leurs ancrages disciplinaires, ces contributions se rejoignent par leur exigence de tenir ...[+]

TRANSIDENTITE ; TRANSFEMINISME ; LUTTE FEMINISTE ; INTERSECTIONNALITE

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- 256
Cote : G22 CHO
Il est indéniable que les féministes théorisent, et que leurs théorisations participent à transformer le monde. Mais peut-on — et doit-on — qualifier cette activité théorique ? Bien que les théories féministes partagent une visée politique émancipatrice, chercher à définir ce que signifie théoriser en féministe, c'est prendre le risque de masquer la pluralité des situations et des concepts. Dès lors, comment prendre en charge la diversité des contextes qui se trouvent derrière les connaissances ? Ne doit-on pas interroger ce que cette question — à la portée pourtant éminemment épistémologique — révèle des frontières du féminisme lui-même ? Comment aborder un phénomène qui est tout à la fois un engagement, une identité, une revendication, un outil ? Le féminisme se décline au pluriel et se trouve dans une tension permanente, parce qu'il se confronte à des conflits qu'on préfère généralement ignorer, parce qu'il est sujet à des interprétations multiples et, partant, parce qu'il s'élabore par mouvements successifs quoique continus. Suffit-il alors de se revendiquer du féminisme, entendu comme identité politique aussi bien que comme outil scientifique, pour produire un mouvement ou une théorie féministes ? Théoriser en féministe, c'est non seulement déclarer son appartenance à une communauté, mais c'est aussi chercher une forme de radicalité pour lutter contre la violence du système, qu'il soit social, politique ou philosophique.[-]
Il est indéniable que les féministes théorisent, et que leurs théorisations participent à transformer le monde. Mais peut-on — et doit-on — qualifier cette activité théorique ? Bien que les théories féministes partagent une visée politique émancipatrice, chercher à définir ce que signifie théoriser en féministe, c'est prendre le risque de masquer la pluralité des situations et des concepts. Dès lors, comment prendre en charge la diversité ...[+]

FEMINISME ; MILITANTISME ; PHILOSOPHIE ; SEXUALITE ; POLITIQUE ; VIOLENCE ; SOCIOLOGIE ; ANTHROPOLOGIE

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