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Toutes les clés pour aider la personne autiste et l'accompagner avec justesse. La confiance en soi est indispensable à l'épanouissement de la personne autiste, car elle aide à la socialisation et à la construction de son identité. Il est en effet fondamental qu'elle prenne conscience de son état, apprenne à connaître ses forces et ses faiblesses, afin de prendre de bonnes décisions. Brigitte Harrisson et Lise St-Charles, en continuant d'explorer toutes les pistes permettant d'améliorer la condition des autistes, livrent ici des conseils précieux. A travers 52 questions, elles décortiquent et expliquent les gestes, les comportements et les paroles des personnes autistes et proposent de manière pratique des solutions pour les accompagner avec respect et justesse, favorisant ainsi la construction de leur confiance en soi. [-]

Au sommaire de ce numéro :
*Éditorial / Bernadette Legrand, Jean-G. Lemaire 3
HISTOIRE ET THÉORIE
*Liminaire
Dialogue, hier, demain… / Jean-G. Lemaire
*La revue Dialogue et son histoire du n° 100 au n° 200 / Monique Dupré la Tour
*Changements collectifs, continuité/discontinuité psychique / Philippe Robert
COUPLES, FAMILLES, AUJOURD'HUI, DEMAIN
*La fidélité dans le couple et ses avatars / Gérard Bonnet
*Dans les ténèbres de l'incestualité
Le néogroupe thérapeutique, une instance psychique qui contribue à la chute des imagos menaçantes / Françoise Payen
*Mariage pour tous et homoparentalité
Des révélateurs du droit commun de la filiation / Irène Théry
*Que reste-t-il du rôle civilisateur du complexe d'Oedipe ? / Maurice Berger
*Famille et handicap : mutations dans les pratiques / Marcela Gargiulo, Régine Scelles
*La reconfiguration de la socialisation précoce
De la coéducation à la cosocialisation / Gérard Neyrand
*Désirable et exigeante
La régulation négociée des relations dans le couple et la famille / Benoit Bastard
SOMMAIRES DE DIALOGUE DU N° 100 AU N° 199 121[-]

Mémoire présenté en vue de l'obtention du DEASS

Résumé : "La violence conjugale est un fait de société majeur à l'heure actuelle. Selon les statistiques les plus récentes, en moyenne, 1 femme meurt sous les coups de son conjoint tous les 3 jours en France. La lutte contre ce phénomène, longtemps tabou, a été déclarée grande cause nationale en 2010. Mais tous les conjoints violents ne sont pas des meurtriers, la violence conjugale peut revêtir bien des formes. A l'heure où de multiples dispositifs d'aide aux victimes se sont vus mis en place, qu'en est-il de la compréhension et du traitement des auteurs de cette violence ? Qui sont ces agresseurs ? Et l'action sociale pourrait-elle prendre en compte les deux protagonistes de cette violence quotidienne pour lutter contre elle de façon efficace ?"[-]