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Documents CRIME 5 résultats

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y
- n° HS 16 - 98
Cote : CAU HS16
Au sommaire :
Femmes criminelles qui sont les monstres ?
Antique maléfices.
Maison des horreurs.
Désirs mortels.
Sanglantes idéologues.
Détention en tension.

FEMME ; FEMME ET PRISON ; CRIME ; VIOLENCE SEXUELLE ; INFANTICIDE ; TERRORISME ; PSYCHIATRIE ; VIOLENCE

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V
- 328 p
Cote : B42 JAS
Les chiffres : 400 000 femmes victimes de violences conjugales déclarées en deux ans ; tous les deux jours, une femme meurt sous les coups de son conjoint. L'auteur : sociologue, Maryse Jaspard a dirigé le fameux rapport Enveff, première enquête nationale sur la violence envers les femmes. Le livre : un essai « total » sur la violence de la passion et celle de la domination dans le couple. Tout y est : les chiffres, les comparaisons européennes, les explications psychologiques, sociologiques, démographiques, culturelles.
Un futur classique. [-]
Les chiffres : 400 000 femmes victimes de violences conjugales déclarées en deux ans ; tous les deux jours, une femme meurt sous les coups de son conjoint. L'auteur : sociologue, Maryse Jaspard a dirigé le fameux rapport Enveff, première enquête nationale sur la violence envers les femmes. Le livre : un essai « total » sur la violence de la passion et celle de la domination dans le couple. Tout y est : les chiffres, les comparaisons eu...[+]

VIOLENCE CONJUGALE ; COUPLE ; SEXUALITE ; MARIAGE ; VIOL CONJUGAL ; CRIME

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V
- 442 p
Cote : G2 CAR
Tueuses, ogresses, sorcières, pédophiles, hystériques, criminelles, délinquantes, furies, terroristes, kamikazes, cheffes de gang, lécheuses de guillotine, soldates, policières, diablesses, révolutionnaires, harpies, émeutières, pétroleuses, viragos, guerrières, Amazones, boxeuses, génocidaires, maricides... Qu'y a-t-il de commun entre toutes ces figures ? Pour le comprendre, il importe d'exhumer, de dénaturaliser, d'historiciser et de politiser la violence des femmes. Telle est l'ambition de cet ouvrage qui propose une approche pluridisciplinaire sur un sujet trop longtemps ignoré des sciences sociales.
Cette somme inédite, réunissant des études historiques, anthropologiques, sociologiques, linguistiques et littéraires, révèle combien la violence des femmes est au coeur d'enjeux d'ordre à la fois politique et épistémologique. Penser la violence des femmes, c'est en faire un véritable levier pour considérer autrement la différence des sexes, la violence et, par-delà, l'ordre social.[-]
Tueuses, ogresses, sorcières, pédophiles, hystériques, criminelles, délinquantes, furies, terroristes, kamikazes, cheffes de gang, lécheuses de guillotine, soldates, policières, diablesses, révolutionnaires, harpies, émeutières, pétroleuses, viragos, guerrières, Amazones, boxeuses, génocidaires, maricides... Qu'y a-t-il de commun entre toutes ces figures ? Pour le comprendre, il importe d'exhumer, de dénaturaliser, d'historiciser et de politiser ...[+]

FEMME ; VIOLENCE ; AUTEUR DE VIOLENCES ; GUERRE ; REVOLUTION ; PEDOPHILIE ; LESBIANISME ; CRIME

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V
- 180 p
Cote : B42 HAM
Ouvrage collectif
Mettant en question les violences au sein du couple, cet ouvrage éclaire les enjeux et les transitions contemporaines concernant les rapports de genre et leurs complexes recompositions en tenant compte des évolutions du droit, des pouvoirs depuis le XVIe siècle, de l'idéal conjugal, des situations migratoires, de l'emprise psychologique. Il s'agit de s'interroger sur la manière dont se forgent des lignes directrices du couple et chacun de ses membres.
Cette approche pluridisciplinaire permet de complexifier socialement, d'apprécier dans le temps et de tenir compte de la dimension psychique des rapports de force tels qu'ils se manifestent dans les rapports de genre. Les rapports de force ne sont pas toujours manifestes et n'apparaissent pas à tout coup en tant que violence. Ils sont présents sous les formes les plus euphémisées jusqu'aux plus extrêmes avec des meurtres quasiment autorisés.
Ce croisement entre histoire, sociologie et psychologie constitue une nécessaire vigilance épistémologique pour nous préserver de tout évolutionnisme : non seulement la considération des droits des femmes n'est pas une avancée constante se vérifiant dans le temps mais il serait également dangereux de croire que notre époque est celle de leur consécration irréversible. La définition des rapports de genre et la légitimation de l'égalité, la considération de l'autre, restent des enjeux toujours d'actualité et cet ouvrage montre que les dynamiques sociales produisent des avancées mais aussi des régressions.[-]
Ouvrage collectif
Mettant en question les violences au sein du couple, cet ouvrage éclaire les enjeux et les transitions contemporaines concernant les rapports de genre et leurs complexes recompositions en tenant compte des évolutions du droit, des pouvoirs depuis le XVIe siècle, de l'idéal conjugal, des situations migratoires, de l'emprise psychologique. Il s'agit de s'interroger sur la manière dont se forgent des lignes directrices du couple ...[+]

VIOLENCE CONJUGALE ; GENRE ; COUPLE ; domination masculine ; MARIAGE ; CRIME ; AUTEUR DE VIOLENCES

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V
- 234
Cote : B4 HOU
En France, meurent, victimes de leur conjoint, une femme tous les 4 jours et un homme tous les 16 jours. On parle de crime " passionnel ", mais s'agit-il d'un avatar des violences conjugales ou d'une réelle histoire d'amour fou ? L'analyse psychosociologique porte sur 337 crimes perpétrés entre 1986 et 1993. Surtout commis par des hommes (263, vs 74 par des femmes), ils ont fait 458 victimes. Les auteurs montrent comment, loin des histoires romantiques ou tragiques telles qu'on les trouve dans la littérature, ces crimes sont des affaires de famille.
Des familles fusionnelles dominées par l'emprise, où l'appropriation des femmes est de règle, et où, en même temps, la conflictualité des modèles est insupportable, car la façon d'organiser sa vie intime y est vécue sur le mode de l'évidence : " Chez nous, c'est comme ça ". Des familles aussi où l'idée d'un destin individuel pour chacun ne signifie pas grand-chose puisqu'à l'évidence, le destin, c'est de répéter le fonctionnement des parents.
Des familles, en somme, où l'on fonctionne entre soi, ce qui ne fait qu'attiser les passions, les narcissismes et qu'accroître les détresses. Ainsi, bien qu'annoncé, le crime dit " passionnel " est difficile à prévenir en raison de son caractère de pseudo-normalité. Une telle impuissance de la société ne témoigne-t-elle pas d'une pathologie sociale inquiétante ? [-]
En France, meurent, victimes de leur conjoint, une femme tous les 4 jours et un homme tous les 16 jours. On parle de crime " passionnel ", mais s'agit-il d'un avatar des violences conjugales ou d'une réelle histoire d'amour fou ? L'analyse psychosociologique porte sur 337 crimes perpétrés entre 1986 et 1993. Surtout commis par des hommes (263, vs 74 par des femmes), ils ont fait 458 victimes. Les auteurs montrent comment, loin des histoires ...[+]

CRIME ; VIOLENCE CONJUGALE ; SOCIOLOGIE

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