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Documents DUSSUET, Annie 3 résultats

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V
- 268 p
Cote : G21 DUS
Pour les associations féministes, le genre constitue un redoutable paradoxe et un défi : utiliser le genre comme concept pour lutter contre le genre comme système social, sachant que celui-ci pèse aussi sur leur fonctionnement et leurs pratiques comme dans toute organisation sociale
Annie Dussuet, Érika Flahault et Dominique Loiseau
- Le genre est-il soluble dans les associations féministes ? (Introduction)
- Le concept de genre au CIDFF : un outil de travail pour l'insertion
- L'engagement féministe des hommes, entre contestation et reproduction du genre
- Militer en travaillant contre les violences conjugales
- Le Planning familial et la professionnalisation du conseil conjugal et familial : reproduire la norme de genre au nom de la subversion ?[-]
Pour les associations féministes, le genre constitue un redoutable paradoxe et un défi : utiliser le genre comme concept pour lutter contre le genre comme système social, sachant que celui-ci pèse aussi sur leur fonctionnement et leurs pratiques comme dans toute organisation sociale
Annie Dussuet, Érika Flahault et Dominique Loiseau
- Le genre est-il soluble dans les associations féministes ? (Introduction)
- Le concept de genre au CIDFF : un ...[+]

FEMINISME ; ASSOCIATION ; GENRE ; CIDFF ; PLANNING FAMILIAL ; CONSEIL CONJUGAL ET FAMILIAL ; VIOLENCE CONJUGALE

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y
vol. 24 - n° 2 - 140
Cote : NQF 24/2
Ce n'est pas la première fois que NQF publie des textes concernant cette région. Cependant, cette fois-ci, nous avons décidé que tous les textes seraient non seulement centrés sur l'Amérique latine et les Caraïbes, mais qu'ils seraient dans leur totalité écrits par des femmes de la région, et qui plus est, par des femmes engagées à la première personne dans les combats et les réflexions qu'elles présentent. De plus, nous avons choisi de privilégier des voix souvent marginalisées dans le débat, et qui, pourtant, nous semblent particulièrement intéressantes et importantes. Il s'agit des « dissidentes » du mouvement. De celles qui refusent de se laisser aspirer dans le « mainstreaming de genre » néolibéral dont les institutions internationales et les gouvernements nous rabattent les oreilles -pour dissimuler le creusement vertigineux des inégalités liées à la classe, à la « race » et bien évidemment, au sexe. Ces « dissidentes » gardent un esprit critique, elles rêvent d'autre chose que d'être incluses pieds et poings liés dans la « démocratie » libérale blanche et patriarcale.

Qui sont-elles ? Elles sont lesbiennes, Noires, Indiennes, ex-guérillères, syndicalistes, universitaires engagées, féministes autonomes, souvent plusieurs de ces choses à la fois. Mais elles n'en restent pas à des luttes « identitaires », bien au contraire : en partant de leur situation spécifique, elles questionnent les dominant·e·s et le système dans son ensemble. Leurs textes nous renvoient un regard plutôt critique sur le mouvement féministe et lesbien, qui devrait nous aider à nous interroger sur le racisme, le classisme et l'institutionnalisation qui traversent notre mouvement, aussi bien là-bas qu'ici. Et surtout, elles se posent et nous posent la question des alliances que nous pourrions faire, non seulement avec les autres mouvements sociaux, mais aussi entre nous, pour re-donner un peu de radicalité à ce féminisme qui reste, malgré tout, notre seul espoir d'un changement social véritable.

Il y avait beaucoup d'autrices possibles. Nous avons effectué une sélection malheureusement arbitraire, que nous proposons plutôt comme une incitation à aller voir plus loin, à réfléchir et à dialoguer des deux côtés de l'Atlantique. Et pour que le dialogue soit aussi horizontal, nous publions simultanément une version espagnole des textes, qui sera lancée lors de la 10e rencontre féministe latino-américaine et des Caraïbes.[-]
Ce n'est pas la première fois que NQF publie des textes concernant cette région. Cependant, cette fois-ci, nous avons décidé que tous les textes seraient non seulement centrés sur l'Amérique latine et les Caraïbes, mais qu'ils seraient dans leur totalité écrits par des femmes de la région, et qui plus est, par des femmes engagées à la première personne dans les combats et les réflexions qu'elles présentent. De plus, nous avons choisi de ...[+]

FEMINISME ; AMERIQUE LATINE ; CARAIBES ; HISTOIRE ; MEXIQUE ; homosexualité féminine

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V
- 270
Cote : G4 DUS
Cet ouvrage se propose de mettre à jour des "logiques domestiques". Contre l'illusion qui ferait de l'espace et du temps domestiques des lieux délivrés de la contrainte sociale, et partant du constat que les activités domestiques sont un véritable travail imposé aux femmes, il montre comment celles-ci partagent de ce fait des perceptions et des comportements structurés par des "logiques", spécifiques au "domestique".
Pour ce faire, il s'appuie principalement sur une enquête sur les représentations du travail domestique réalisée sous la direction de Madeleine Guilbert d'abord, puis de Michel Verret, auprès de femmes salariées de milieu populaire. Au nom de leur charge domestique, les femmes sont sans cesse soupçonnées de moins s'investir que les hommes dans leur tâche professionnelle, et discriminées sur les marchés de l'emploi.
Paradoxalement, dans les représentations, le travail domestique est insaisissable. Dévalorisé dans tous les sens du terme, il est nié comme travail en même temps qu'assigné aux femmes. Il est ainsi le lieu de "logiques" particulières, faites d'un jeu d'ambivalences entre contrainte et choix. C'est parce qu'il est assigné aux femmes qu'il est invisible pour les hommes. C'est parce qu'il est invisible qu'il est dévalorisé, c'est aussi pour toutes ces raisons qu'il passe aux yeux des femmes elles-mêmes pour un loisir.
Réfractaire au changement, le domestique est aussi un lieu où se construit l'identité des femmes. La libération des femmes vis-à-vis de ses contraintes suppose une construction identitaire alternative, qui passe par la sortie du "domestique", par le salariat ou l'activité militante. [-]
Cet ouvrage se propose de mettre à jour des "logiques domestiques". Contre l'illusion qui ferait de l'espace et du temps domestiques des lieux délivrés de la contrainte sociale, et partant du constat que les activités domestiques sont un véritable travail imposé aux femmes, il montre comment celles-ci partagent de ce fait des perceptions et des comportements structurés par des "logiques", spécifiques au "domestique".
Pour ce faire, il s'appuie ...[+]

FEMME ; TRAVAIL DOMESTIQUE ; SALARIAT ; ENQUETE

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