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Documents CRITON, Claire 4 résultats

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y
- 42
Cote : I52 CRI PAR
Le traitement antirétroviral aurait une efficacité et des effets secondaires différents en
fonction du sexe d'après quelques études encore peu nombreuses et parfois contradictoires.
Une méta-analyse récente s'est penchée sur 49 essais cliniques contrôlés et randomisés
traitant de l'efficacité des antirétroviraux chez les adultes, publiés entre 1990 et 2000. Elle
montre que la proportion de femmes dans ces études est de seulement 12,25% et que
l'influence du sexe n'a été étudié que dans deux d'entre-elles.
L'intérêt de la communauté médicale s'est essentiellement centré sur la prise en
charge des femmes enceintes et très peu sur la femme d'une façon générale. Si les essais
cliniques confirment la sous-représentation des femmes, c'est que leur inclusion n'a été
recommandée qu'en 1993, craignant que la grossesse et les variations hormonales ne
provoquent des variations dans les résultats.
Des études plus nombreuses et détaillées semblent nécessaires pour explorer les
variabilités pharmacocinétiques et la pharmacodynamique des traitements antiviraux du sida
en fonction du sexe.
Ce chapitre rappelle brièvement les grandes lignes du traitement de l'infection à VIH
en mettant l'accent sur les spécificités de celui-ci chez la femme.
Il reprend les points forts du rapport français d'experts sur la prise en charge
thérapeutique du VIH/sida. Ces recommandations sont
superposables aux recommandations américaines.
Actuellement, l'objectif du traitement antirétroviral doit être de diminuer la mortalité
et la morbidité grâce à une prévention et/ou à une restauration du déficit immunitaire induit
par l'infection par le VIH.[-]
Le traitement antirétroviral aurait une efficacité et des effets secondaires différents en
fonction du sexe d'après quelques études encore peu nombreuses et parfois contradictoires.
Une méta-analyse récente s'est penchée sur 49 essais cliniques contrôlés et randomisés
traitant de l'efficacité des antirétroviraux chez les adultes, publiés entre 1990 et 2000. Elle
montre que la proportion de femmes dans ces études est de seulement 12,25% et ...[+]

V.I.H. ; S.I.D.A. DE LA FEMME ; TRAITEMENT MEDICAL

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- 36
Cote : I52 CRI DEP
Après une phase initiale de primo-infection accompagnée de symptômes dont la durée dépasse rarement trois semaines, l'infection à VIH est ensuite asymptomatique. La seule façon de savoir si l'on est infecté par le VIH est donc de pratiquer un examen biologique appelé communément « test du sida ». Il est important de se faire dépister suite à une prise de risque comme une relation sexuelle non protégée ou une rupture de préservatif, mais aussi simplement pour connaître son statut sérologique par rapport au VIH, par exemple lorsqu'au sein d'un couple stable, on ne souhaite plus utiliser le préservatif ou parce qu'une grossesse est envisagée ou confirmée. Le viol, l'exposition professionnelle et le partage de matériel d'injection sont des situations particulières où la nécessité d'un dépistage est évidente. En effet la précocité du diagnostic permet une meilleure optimisation des traitements, l'amélioration de la qualité de vie des malades et l'augmentation de leur espérance de vie. De plus, la personne séropositive pourra être sensibilisée le plus tôt possible à la nécessité d'utiliser des moyens de prévention pour éviter de transmettre sa maladie. Avoir recours à un dépistage doit toujours être un acte volontaire et responsable, nul ne doit jamais être dépisté à son insu. [-]
Après une phase initiale de primo-infection accompagnée de symptômes dont la durée dépasse rarement trois semaines, l'infection à VIH est ensuite asymptomatique. La seule façon de savoir si l'on est infecté par le VIH est donc de pratiquer un examen biologique appelé communément « test du sida ». Il est important de se faire dépister suite à une prise de risque comme une relation sexuelle non protégée ou une rupture de préservatif, mais aussi ...[+]

DEPISTAGE ; V.I.H. ; S.I.D.A. DE LA FEMME

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- 40
Cote : I52 CRI FAC
Dans le monde entier, la situation épidémiologique montre une augmentation des cas de sida dans la population hétérosexuelle, avec un pourcentage 3 à 8 fois plus important chez les femmes que chez les hommes. À la question « Hommes ou femmes, sommes nous égaux devant les éventuels risques de transmission du VIH lors de rapports sexuels sans préservatif? », nous ne pouvons répondre que par la négative.En effet, les femmes vivent actuellement une situation dramatique sur le plan de la santé publique puisqu'un grand nombre d'entre elles découvre leur séropositivité au virus de l'immunodéficience humaine, souvent à l'occasion d'une grossesse, alors que beaucoup d'hommes responsables des contaminations ne sont pas dépistés et continuent d'infecter d'autres femmes. La plus grande vulnérabilité des femmes vis-à-vis du VIH est due à des facteurs physiologiques et biologiques mais également à des pressions sociales, culturelles et économiques qui ne leur permettent pas d'assurer leur prévention. Pour toutes ces raisons, on assiste à une féminisation de l'épidémie de VIH/sida qui met en exergue les limites de l'émancipation des femmes au niveau de leur sexualité et qui fait prendre conscience des programmes à mettre en œuvre pour qu'elles acquièrent une autonomie sociale et économique indispensable pour lutter contre la passivité, le fatalisme et la soumission.[-]
Dans le monde entier, la situation épidémiologique montre une augmentation des cas de sida dans la population hétérosexuelle, avec un pourcentage 3 à 8 fois plus important chez les femmes que chez les hommes. À la question « Hommes ou femmes, sommes nous égaux devant les éventuels risques de transmission du VIH lors de rapports sexuels sans préservatif? », nous ne pouvons répondre que par la négative.En effet, les femmes vivent actuellement une ...[+]

V.I.H. ; S.I.D.A. DE LA FEMME ; TRANSMISSION

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y
- 69
Cote : I52 CRI SEX
À partir du constat des bénéfices associés à la thérapie antirétrovirale - amélioration des conditions de vie de personnes séropositives, augmentation de leur espérance de vie, etc. - et du fait que la personne séropositive peut désormais envisager la grossesse, l'article indique la nécessité de la prise en charge de ce souhait de fonder une famille par les équipes soignante, tout en soulignant l'importance de la minimisation maximale du risque de contamination et les avantages de la procréation médicalement assistée.[-]
À partir du constat des bénéfices associés à la thérapie antirétrovirale - amélioration des conditions de vie de personnes séropositives, augmentation de leur espérance de vie, etc. - et du fait que la personne séropositive peut désormais envisager la grossesse, l'article indique la nécessité de la prise en charge de ce souhait de fonder une famille par les équipes soignante, tout en soulignant l'importance de la minimisation maximale du risque ...[+]

V.I.H. ; GROSSESSE ; S.I.D.A. DE LA FEMME ; SEXUALITE ; SEXUALITE FEMININE

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