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Documents TAVERNIER, Jean-Luc 3 résultats

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- n° 1885 - 4


La fécondité « tardive » – à 40 ans ou plus – augmente depuis les années 1980. Auparavant, elle n'avait cessé de diminuer depuis la fin des années 1940. Ce rebond est à replacer dans le mouvement de hausse de l'âge moyen à l'accouchement depuis le milieu des années 1970. Dans les conditions de fécondité par âge de 2019, 100 femmes auraient au total 10 enfants entre 40 et 50 ans.

Parmi les femmes qui travaillent ou ont déjà travaillé, les cadres ont la plus forte fécondité tardive : 11 enfants pour 100 femmes, contre 9 dans les autres groupes sociaux. La fécondité tardive est plus élevée chez les femmes nées à l'étranger que chez celles nées en France. C'est le cas dans chaque groupe social, la différence étant moins marquée surtout parmi les cadres.

Près d'une naissance tardive sur trois survient au sein des couples n'ayant pas d'enfant commun. La moitié ont lieu au sein de couples qui ont déjà un enfant commun vivant au domicile : six fois sur dix, l'enfant né après 40 ans est leur troisième enfant ou plus.
À l'inverse, un quart des bébés issus de grossesses tardives sont les premiers de leur mère, et davantage, un tiers, lorsque celle-ci est cadre.[-]


La fécondité « tardive » – à 40 ans ou plus – augmente depuis les années 1980. Auparavant, elle n'avait cessé de diminuer depuis la fin des années 1940. Ce rebond est à replacer dans le mouvement de hausse de l'âge moyen à l'accouchement depuis le milieu des années 1970. Dans les conditions de fécondité par âge de 2019, 100 femmes auraient au total 10 enfants entre 40 et 50 ans.

Parmi les femmes qui travaillent ou ont déjà travaillé, les ...[+]

DEMOGRAPHIE ; FECONDITE

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- n° 1838 - 4

Sommaire
Des disparités régionales de fécondité.
Un impact de la fécondité des femmes nées à l'étranger limité à l'Île-de-France et aux DOM.
Des femmes moins souvent en couple mais plus fécondes en Île-de-France et en PACA.
Des maternités moins fréquentes au cœur des grandes agglomérations.
Les femmes accouchent plus tard dans les grandes métropoles.
En dix ans, les écarts de fécondité entre régions se sont réduits.
Les écarts d'âges à l'accouchement s'accroissent.
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Sommaire
Des disparités régionales de fécondité.
Un impact de la fécondité des femmes nées à l'étranger limité à l'Île-de-France et aux DOM.
Des femmes moins souvent en couple mais plus fécondes en Île-de-France et en PACA.
Des maternités moins fréquentes au cœur des grandes agglomérations.
Les femmes accouchent plus tard dans les grandes métropoles.
En dix ans, les écarts de fécondité entre régions se sont réduits.
Les écarts d'âges à ...[+]

DEMOGRAPHIE ; FECONDITE ; NAISSANCE ; FRANCE

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- n° 1834 - 4


Au 1ᵉʳ janvier 2021, la France compte 67,4 millions d'habitants. Au cours de l'année 2020, la population a augmenté de 0,3 %. Cette progression est due pour moitié au solde naturel (+ 82 000 personnes), différence entre les nombres de naissances et de décès. Il a fortement baissé du fait de la forte hausse des décès liée à la pandémie de Covid-19.

En 2020, 740 000 bébés sont nés en France. En recul depuis 2015, l'indicateur conjoncturel de fécondité s'établit à 1,84 enfant par femme en 2020. La France reste, en 2018, le pays le plus fécond de l'Union européenne.

En 2020, 658 000 personnes sont décédées en France, soit 7,3 % de plus qu'en 2019. La pandémie de Covid-19 a particulièrement affecté les décès au printemps et en fin d'année. L'espérance de vie à la naissance s'établit à 85,2 ans pour les femmes et à 79,2 ans pour les hommes. Elle diminue nettement par rapport à 2019 (– 0,4 an pour les femmes et – 0,5 an pour les hommes). La baisse est bien plus forte qu'en 2015, année marquée par une forte grippe hivernale (– 0,3 an et – 0,2 an).

En 2020, 148 000 mariages ont été célébrés, en recul de 34 % par rapport à 2019, la pandémie ayant empêché la tenue des célébrations ou incité à les repousser en raison de la limitation du nombre d'invités.[-]


Au 1ᵉʳ janvier 2021, la France compte 67,4 millions d'habitants. Au cours de l'année 2020, la population a augmenté de 0,3 %. Cette progression est due pour moitié au solde naturel (+ 82 000 personnes), différence entre les nombres de naissances et de décès. Il a fortement baissé du fait de la forte hausse des décès liée à la pandémie de Covid-19.

En 2020, 740 000 bébés sont nés en France. En recul depuis 2015, l'indicateur conjoncturel de ...[+]

DEMOGRAPHIE ; FRANCE ; MARIAGE

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