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Le « chemsex » est de plus en plus médiatisé et identifié comme problème de santé publique. Ce terme – pensé pour et par les hommes gays - renvoie à la consommation de psychoactifs en contexte sexuel, avec des produits, des modes de rencontres et de consommation spécifiques. S'il existe en France des structures communautaires où des profesionnel·les peuvent accompagner les hommes ayant des pratiques de chemsex, cela n'existe pas pour les femmes. En prenant en compte la diversité des associations substances/sexualité chez les femmes, cet écrit s'intéresse à celles qui ont des pratiques sexuelles sous psychoactifs légaux ou illégaux. Les Conseiller·ères Conjugales·gaux et Familiales·liaux (CCF) sont peu connu·es de celles-ci et des professionnel·les qu'elles rencontrent. Dès lors, les femmes concernées sont plutôt orientées vers des services d'addictologie, même lorsque leurs pratiques ne relèvent pas forcément de l'addiction. Or cet écrit montre que l'accompagnement en addictologie comporte certaines limites.
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Le « chemsex » est de plus en plus médiatisé et identifié comme problème de santé publique. Ce terme – pensé pour et par les hommes gays - renvoie à la consommation de psychoactifs en contexte sexuel, avec des produits, des modes de rencontres et de consommation spécifiques. S'il existe en France des structures communautaires où des profesionnel·les peuvent accompagner les hommes ayant des pratiques de chemsex, cela n'existe pas pour les femmes. ...
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chemsex ; SEXUALITE ; FEMME ; SEXUALITE FEMININE ; DROGUE ; MEMOIRE ; CONSEIL CONJUGAL ET FAMILIAL